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Notice d'autorité

Agut Damien

  • FRAEPMSHRG-DA
  • Personne
  • Chercheur au CNRS à partir de 2012

Audouze Françoise

  • FRAEPMSHRG-FA
  • Personne
  • Chercheur au CNRS à partir de 1968

Bachelot Luc

  • FRAEPMSHRG-LB
  • Personne
  • Chercheur au CNRS à partir de 1987

Bailloud, Gérard

  • FRAEPMSHRG-GB
  • Personne
  • 1919-2010

Gérard Bailloud était archéologue et spécialiste mondialement connu du Néolithique. Ses recherches scientifiques concernent aussi bien le Néolithique européen que la Préhistoire récente de l’Afrique.

Carrière :
1942-1956 : Employé à la photothèque du Musée de l’Homme (Musée National d’Histoire Naturelle)
1956-1958 : Stagiaire au CNRS
1958-1984 : Attaché puis chargé de recherches au CNRS
1972-1983 : Direction de l’URA 12, équipe mixte CNRS-Université Paris I et chargé de cours à l'université Paris 1

Responsabilités :
1964 - 1983 : Secrétaire général de la SPF
1965 - 1968 : Directeur des Antiquités préhistoriques d’Île de France
1970 : Président de la SPF
1976 : Vice-président de la SPF

Baroin Catherine

  • FRAEPMSHRG-CB
  • Personne
  • Chercheur au CNRS depuis 1977

Baudez Claude-François

  • FRAEPMSHRG-CFB
  • Personne
  • 1932-2013

Claude-François Baudez, archéologue mésoaméricaniste, était directeur de recherche honoraire au CNRS, membre du Laboratoire Archéologie des Amériques (UMR 8096).

1957-1960. Recherches sur le site de Papagayo et dans la vallée du Tempisque (Costa Rica)
1964-1965. Recherches dans la région du golfe de Fonseca et dans la vallée de Comayagua (Honduras)
1967-1969. Fouilles du site de Los Naranjos (Honduras) en collaboration avec Pierre Becquelin)
1971-1973. Fouilles du site de Tonina (Mexique) en collaboration avec Pierre Becquelin
1977-1980. Direction du Projet Archéologique Copan (Honduras)

  1. Fouilles du delta du Diquis (Costa Rica)

Becquelin Pierre

  • FRAEPMSHRG-PB
  • Personne
  • Chercheur au CNRS à partir de ?

Bignon-Lau Olivier

  • FRAEPMSHRG-OBL
  • Personne
  • Chercheur au CNRS depuis ...

Bocquentin Fanny

  • FRAEPMSHRG-FBO
  • Personne
  • Chercheur au CNRS depuis 2005

Braemer Frank

  • FRAEPMSHRG-FB
  • Personne
  • Chercheur au CNRS à partir de 1989

Burnouf Joëlle

  • FRAEPMSHRG-JB
  • Personne
  • Enseignant-chercheur à partir de 1982

Casal Jean-Marie

  • FRAEPMSHRG-JMC
  • Personne
  • 1905-1977

Jean-Marie Casal était conservateur au Musée Guimet, détaché au CNRS, fondateur de la Mission archéologique de l'Indus en 1958.

Diplômé de l’École du Louvre après des études de droits (1945).

Participation à l’école de fouilles de Sir Mortimer Wheeler, directeur général de l'archéologie en Inde, à Brahmagiri (1946).

Reprise des fouilles de Virampatnam-Arikamedu, Inde (territoire de Pondichéry) en collaboration avec son épouse Geneviève Casal, dans le cadre de la Mission archéologique des Indes (1947-1948).

Fouilles des sites funéraires de Mouttrapaléon et Souttoukény, Inde, territoire de Pondichéry (1949-1950).
« Grâce à la publication rapide des rapports de fouilles de ces sites, Jean-Marie et Geneviève Casal apportent de nouveaux éléments sur les rapports de l’empire romain et de l’Inde du sud et sur toute la question des mégalithes et des champs d’urnes du 2ème et 1er siècle avant J.C.» *

Fouilles de Mundigak, Afghanistan (1951-1958).
« Ces fouilles, parallèlement aux recherches soviétiques au Turkestan, ont permis pour la première fois de saisir l’importance de l’Asie centrale sur le plan de l’histoire culturelle des 4ème et 3ème millénaires. Là, J.-M. Casal a su mettre en évidence la mise en place de structures sociales hiérarchisées qui aboutissent, à la période IV du site, à la construction d’un « palais » à colonnade et d’importants remparts. Les fouilles de Mundigak continuent de servir de référence pour tous les travaux sur l’âge du bronze de ces régions.» *

Conservateur au musée Guimet (1957).

Détaché au CNRS (1958).

Directeur de la Mission archéologique de l’Indus (1958-1974).

Fouilles d’Amri, Pakistan (1959-1962).
« Il travail à Amri, dans la vallée de l’Indus, où il met au point une remarquable séquence stratigraphique depuis les niveaux de la culture d’Amri jusqu’aux couches supérieures de la civilisation de l’Indus. L’évolution de la céramique harappéenne au cours des périodes IIIA, IIIB et IIIC d’Amri fournit des données de chronologie relative que l’absence de fouilles stratigraphiques à Moenjo-daro ou Chanhujo-daro n’avait pas permis de discerner.» *

Fouilles de Nindowari, Baluchistan méridional, Pakistan (1962-1965).
« Il commence à dégager un ensemble monumental construit en pierres, à établir une séquence des styles céramiques de Nal et de Kulli, et à étudier les rapports de la culture de Kulli et de la civilisation de l’Indus.» *

Fouilles de Pirak, Plaine de Kachi, Pakistan (1968-1974).
« Il commence à fouiller Pirak, premier site où apparaît une séquence d’occupation continue pour les périodes post-harappéennes dans ces régions.» *

Directeur de recherche au CNRS (1969).

*Jarrige Jean-François, "Jean-Marie Casal (1905-1977)" dans J. E. Van Lohuizen-De Leeuw, South Asian Archaeology 1975, Leiden, 1979, p. 1-2.

Centre archéologique de Pincevent

  • FRAEPMSHRG-PI
  • Collectivité
  • Depuis 1964

En 1964, suite à la découverte du premier habitat paléolithique de plein air en Europe, l’État achète le terrain de Pincevent et confie la gestion du site et des fouilles au professeur André Leroi-Gourhan.
En 1983, le Centre archéologique de Pincevent est lauréat du concours départemental du patrimoine et reçoit la somme de 15 000 F. A partir de cet événement, est créée une association loi 1901 portant de nom de Centre archéologique de Pincevent. Cette association, dirigée par André Leroi-Gourhan jusqu'en 1985 puis par Gilles Gaucher, assure la gestion des fouilles. Jusqu'en 1979, le Centre archéologique de Pincevent ne gère que le site de Pincevent. A partir des années 1980, il gère aussi des programmes de recherche et d'autres opérations de terrain.
Les crédits proviennent principalement du Ministère de la Culture et le personnel dépend en grande majorité du CNRS. En 1994, l’État, la région Ile-de-France et le département prévoient plus de quatre millions de francs pour l'aménagement du site de Pincevent. Cet aménagement sera en partie réalisé en 2000.

Repères chronologiques concernant l'aménagement du site :
Année 1965. Édification sur le site de deux bâtiments préfabriqués et de huit hangars. Le terrain est enclos et doté d'un gardien. Deux salles d'exposition sont aménagées : l'une autour du premier grand moulage de sol préhistorique (80 m2) réalisé au monde, l'autre consacrée aux occupations du site depuis le paléolithique et aux activités des magdaléniens.
Années 1966-1967. Demande de moyens à la région pour l'hébergement des fouilleurs (aménagement d'une quarantaine de chambres, d'une salle à manger, de sanitaires et d'une cuisine) et pour l'aménagement d'une des deux salles d'exposition construites en 1965. Cette demande n'a pas abouti.
Année 1988. Le site est classé " monument historique ".
Année 1989. Un projet d'aménagement est inscrit au contrat plan État-région Ile-de-France. Il est prévu d'aménager un lieu de recherche sur la période magdalénienne digne de l'importance du site et de la qualité des chercheurs accueillis et la réalisation d'un lieu d'animation essentiellement tourné vers le milieu scolaire. 16 millions de francs de travaux sont prévus. Ce projet n'a pas abouti.
Année 1994. Le Directeur du patrimoine (Ministère de la Culture) décide que des bâtiments doivent être construits pour l'hébergement et le travail des archéologues.
Année 1995. Pincevent est déclaré " site archéologique d'intérêt national "
Année 2000. Les constructions prévues en 1994 sont en partie réalisées grâce aux participations de l'Etat (2 millions de francs), de la Région (2 millions de francs), et du Département (700 000 francs). Des bungalows de bois posés sur plots sont construits. Ils comprennent une cuisine/salle à manger, quatre unités de douches/sanitaires et trois unités de huit chambres et six dortoirs pour les chercheurs et les stagiaires.
Année 2000. Projet de construction d'un abri de fouilles pour la protection d'une nouvelle zone de fouilles sur le site.

Centre d'analyse documentaire pour l'archéologie

  • FRAEPMSHRG-CADA
  • Collectivité
  • 1957-1970

Le Centre d'analyse documentaire pour l'archéologie (CADA) a été créé par le CNRS le 20 décembre 1957 sous la direction de Jean-Claude Gardin. Sa création fait suite à une mission de documentation archéologique constituée en1955 dans le cadre de l'Institut français d'archéologie de Beyrouth dirigé par Henri Seyrig. L'objectif de cette mission était d'établir à titre expérimental des fichiers sur cartes perforées, relatifs à divers domaines de l'archéologie et de montrer comment ces fichiers pouvaient faciliter les recherches documentaires.
Les résultats aboutissent à l'établissement définitif de la mission à Paris sous le nom de Centre mécanographique de documentation archéologique puis de Centre d'analyse documentaire pour l'archéologie.
La vocation du CADA est de "promouvoir les méthodes d'analyse descriptive et de traitement automatique de la documentation archéologique" (Gardin J.-C., Le calcul et la raison. Essais sur la formalisation du discours savant, Paris, 1991, p. 46). Deux axes complémentaires que Jean-Claude Gardin qualifie de "sémiologique" et de "mathématique" (ouv. cité p.47) seront développés : le premier vise à élaborer des méthodes de représentation des données archéologiques et à créer des langages normalisés, le second consiste à mettre au point des méthodes d'exploitation de ces données sur ordinateur pour construire automatiquement des typologies ou des classifications.

Le CADA est d'abord domicilié 52 rue Cardinet puis rue du Maroc à Paris.
A partir de 1964, le CADA possède un bureau à Marseille.

Centre de formation aux recherches ethnologiques

  • FRAEPMSHRG-CFRE
  • Collectivité
  • 1946-1973

André Leroi-Gourhan crée le Centre de formation aux recherches ethnologiques (CFRE) en 1946. Il est reconnu institutionnellement en 1948.
En 1965, le centre est rattaché à l'Institut d'ethnologie qui est dissout en 1973. Ses activités sont alors prises en charge par le Muséum national d'histoire naturelle.

Centre de recherches archéologiques du CNRS

  • FRAEPMSHRG-CRA
  • Collectivité
  • 1972-2000

Le Centre de recherches archéologiques (CRA), créé en 1972 et installé à Valbonne Sophia Antipolis (06) en 1975, était une fédération d'équipes de recherche réparties sur l'ensemble du territoire français.

Cercle de recherches et d'études préhistoriques

  • FRAEPMSHRG-CREP
  • Collectivité
  • 1975-Post. 2001

Le Cercle de Recherches et d’Etudes Préhistoriques était une association loi 1901. Créée en 1975, cette association a pour but de promouvoir les recherches en préhistoire ainsi que la publication et la diffusion d’ouvrages scientifiques relatifs à cette discipline. Jacques Tixier en a été le président depuis sa création jusqu’en 1988 au moins. En 1982, le siège se trouvait à Paris dans le 13è arrondissement puis en 1988 au CNRS à Meudon. Lorsque le Laboratoire Préhistoire et Technologie a déménagé à Nanterre, le CREP a été hébergé à la Maison de l’archéologie et de l’ethnologie René-Ginouvès.

Chambon Philippe

  • FRAEPMSHRG-PC
  • Personne
  • Chercheur au CNRS à partir de 2001

Chantier de Corbiac, Vignoble 2, commune de Bergerac (Dordogne)

  • FRAEPMSHRG-CV2
  • Collectivité
  • 1987-1989

A la suite d’une demande de coopération de la DRAP Aquitaine à l’ERA 28 du Centre de Recherches Archéologiques, J. Tixier dirige la fouille de sauvetage d’une des concentrations de silex découverte en 1985 par la DRAP. Le gisement paléolithique est appelé CV2 (Corbiac, Vignoble 2). Trois campagnes d’un mois chacune ont eu lieu en été 1987, 1988 et 1989.

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