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- Jean-Louis Huot. Du Village à l'Etat au Proche- et Moyen-Orient, 361 résultats
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Inventaires
23. Les couleurs d'Alexandrie. Voiles et toiles étoilées. Mais l’on peut toujours délirer sur dix ans de photographies où chaque image fonctionne d’une manière autonome si c’est pour les laisser dans une boîte à chaussures! Pour faire une exposition il faut trouver un fil conducteur. Un sens, une logique ! ou je ne sais quoi d’autre !
22. Les couleurs d'Alexandrie. Voiles et toiles étoilées. Presque timidement je commencerai par les grandes artères pour m’engager ensuite dans des ruelles plus populaires. Ce que je recherche ? c’est simplement de la couleur ou des formes dans un faisceau de lumière
21. Les couleurs d'Alexandrie. Souk al Goma. Peu importe, tout le monde y est bien sympathique et je ne m’expose qu’à accepter un thé sur le banc d’un pas de porte en tentant d’expliquer ma démarche à quelques jeunes Alexandrins
20. Les couleurs d'Alexandrie. Souk al Goma. Ces matins-là, je retrouve ma lumière, mes couleurs, des gens commencent à sortir, de petits commerces s’ouvrent. L’idéal serait d’être seul ! mais de toute façon je ne me suis pas levé assez tôt pour l’être, et puis l’on n’est jamais seul dans Alexandrie !
19. Les couleurs d'Alexandrie. Souk al Goma. Puis je me perds dans Alex. Peu importe le lieu, un taxi me ramènera toujours « shara Batalsa » à l’appartement du Centre d’Etudes Alexandrines
18. Les couleurs d'Alexandrie. Souk al Goma. Le vendredi matin la ville est calme. Mon œil y est à nouveau neuf. Je pars à pied de la rue des Ptolémées (shara Batalsa) pour aller m’importe où. Ou bien je prends un taxi vers le « souk al goma » (les puces du vendredi)
17. Les couleurs d’Alexandrie. Prière et narguilé. Ce que je viens faire à Alexandrie, c’est de l’archéologie, des campagnes photographiques sur les sites terrestres ou les sites sous-marins, ainsi que des campagnes photographiques au Musée Gréco-Romain . Alors quand vient le vendredi, le jour du repos, comment encore faire des photographies de cette Egypte ancienne ? Photo 2
16. Les couleurs d’Alexandrie. Prière et narguilé. Ce que je viens faire à Alexandrie, c’est de l’archéologie, des campagnes photographiques sur les sites terrestres ou les sites sous-marins, ainsi que des campagnes photographiques au Musée Gréco-Romain . Alors quand vient le vendredi, le jour du repos, comment encore faire des photographies de cette Egypte ancienne ? Photo 1
14. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu, jaune, rouge. Je suis persuadé que l’œil, le regard, bénéficient dans les premiers jours d’un moment privilégié, un moment d’étonnement - l’impression d’avoir un œil neuf. C’est à ce moment que les images sont le plus évidentes, après vous passerez à côté sans les voir !
13. Les couleurs d’Alexandrie. Stop ! Quand je sors du tunnel, après avoir traversé Paris sous terre, je longe sur le campus, les bâtiments A, B,C, D. Alors quand je reviens à Alex, il se produit comme une métamorphose. Je retrouve le soleil, la lumière, les couleurs, et je quitte la peau d’André Pelle pour redevenir Dédé d’Alex
12. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 3
11. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 2
10. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 1
09. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 4
08. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 2
07. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 1
06. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 3
05. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 2
04. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 1
03. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 3
02. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 2
01. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 1
33. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un prêtre shintoïste, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
32. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un bambou qui va être coupé à la fête, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
31. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Des repiqueuses lors de la fêtes du repiquage du riz, à Mukômachi, ville voisine de Kyoto
30. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Le même char vu de côté : fête de Gïon, ville de Kyoto
29. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un char en train de changer de direction : fête de Gïon, ville de Kyoto
28. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le temple shintoïste de Yasaka (Giön) : au premier plan, le bâtiment de danse sacrée et, derrière, le temple principal. Ville de Kyoto
27. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. La pagode du temple bouddhiste de Myosenji, à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
26. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Bâtiment latéral du temple shintoïste de Heiän, ville de Kyoto
25. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Un petit temple à l’entrée d’un cimetière, avec son faîtage de bois sculpté à Kashiwabara, Nagano
24. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le bâtiment central du temple bouddhiste de Myosenji à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
23. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Paysannes du nord de la ville devant le temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
22. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une paysanne avec un tapis en paille du riz (mushiro) à Arashiyama, banlieue de la ville de Kyoto
21. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme rentrant de la cueillette à Ninokura, village situé à 1 km sud-ouest de Kashiwabara, Nagano
20. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Deux paysannes ouvrant leur boutique de plein air dans une foire. Temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
19. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme lavant son riz dans une canalisation, village de Nojiri , Nagano
18. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. L’allée centrale de Zenkoji, temple bouddhiste situé dans la ville de Nagano
17. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu couvert par un futon et une planhe. On remarque sur celle-ci une théière et deux tasses sur un plateau
16. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu (foyer), vu de côté
15. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le cadre de la couverture sur le foyer
14. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Un foyer dans une chambre
13. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Des tatamis et un coussin
12. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Fenêtre d'une écurie de cheval à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano
11. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Des cadres de vers à soie séchant après usage sur un mur de maison, à Segikawa, village situé à 3 km au nord de celui de Nojiri, Nagano
10. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval, une charrette et un chasse-mouches à Akagawa, village situé à 2 km au nord de celui de Nojiri, Nagano
09. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un boeuf de portage, auprès du temple bouddhiste de Myosenji, ville d'Aïkawa, île de Sado, Niïgata
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