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14. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu, jaune, rouge. Je suis persuadé que l’œil, le regard, bénéficient dans les premiers jours d’un moment privilégié, un moment d’étonnement - l’impression d’avoir un œil neuf. C’est à ce moment que les images sont le plus évidentes, après vous passerez à côté sans les voir !
13. Les couleurs d’Alexandrie. Stop ! Quand je sors du tunnel, après avoir traversé Paris sous terre, je longe sur le campus, les bâtiments A, B,C, D. Alors quand je reviens à Alex, il se produit comme une métamorphose. Je retrouve le soleil, la lumière, les couleurs, et je quitte la peau d’André Pelle pour redevenir Dédé d’Alex
12. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 3
11. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 2
10. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 1
09. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 4
08. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 2
07. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 1
06. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 3
05. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 2
04. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 1
03. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 3
02. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 2
01. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 1
33. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un prêtre shintoïste, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
32. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un bambou qui va être coupé à la fête, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
31. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Des repiqueuses lors de la fêtes du repiquage du riz, à Mukômachi, ville voisine de Kyoto
30. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Le même char vu de côté : fête de Gïon, ville de Kyoto
29. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un char en train de changer de direction : fête de Gïon, ville de Kyoto
28. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le temple shintoïste de Yasaka (Giön) : au premier plan, le bâtiment de danse sacrée et, derrière, le temple principal. Ville de Kyoto
27. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. La pagode du temple bouddhiste de Myosenji, à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
26. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Bâtiment latéral du temple shintoïste de Heiän, ville de Kyoto
25. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Un petit temple à l’entrée d’un cimetière, avec son faîtage de bois sculpté à Kashiwabara, Nagano
24. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le bâtiment central du temple bouddhiste de Myosenji à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
23. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Paysannes du nord de la ville devant le temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
22. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une paysanne avec un tapis en paille du riz (mushiro) à Arashiyama, banlieue de la ville de Kyoto
21. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme rentrant de la cueillette à Ninokura, village situé à 1 km sud-ouest de Kashiwabara, Nagano
20. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Deux paysannes ouvrant leur boutique de plein air dans une foire. Temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
19. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme lavant son riz dans une canalisation, village de Nojiri , Nagano
18. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. L’allée centrale de Zenkoji, temple bouddhiste situé dans la ville de Nagano
17. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu couvert par un futon et une planhe. On remarque sur celle-ci une théière et deux tasses sur un plateau
16. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu (foyer), vu de côté
15. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le cadre de la couverture sur le foyer
14. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Un foyer dans une chambre
13. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Des tatamis et un coussin
12. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Fenêtre d'une écurie de cheval à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano
11. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Des cadres de vers à soie séchant après usage sur un mur de maison, à Segikawa, village situé à 3 km au nord de celui de Nojiri, Nagano
10. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval, une charrette et un chasse-mouches à Akagawa, village situé à 2 km au nord de celui de Nojiri, Nagano
09. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un boeuf de portage, auprès du temple bouddhiste de Myosenji, ville d'Aïkawa, île de Sado, Niïgata
08. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Une charrette et des femmes à Ohara, village suburbain au nord de Kyoto
07. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval de portage, à Furuma, auprès du lac de Nojiri, Nagano
06. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Toit de chaume d’une ferme à Segikawa, village situé à 3 km nord de celui de Nojiri, Nagano
05. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une rue dans un village de pêcheurs, à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
04. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un toit recouvert de pierres d’une maison de pêcheurs, près de la ville d’Aïkawa, île de Sado, Niïgata
03. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une cour de ferme à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano
02. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un groupe de fermes à Okubo, village situé à 1.5 km sud de celui de Nojiri, Nagano
01. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un village de pêcheurs, près de la ville d'Aïkawa, l'île de sado, Niîgata
33. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Plaque pendentif sculptée, Les détails sont bien visibles car cette vue priviligie la plaque en bas-relief qui montre les deux têtes d'élans divergentes, aux immenses oreilles (comparer aux bois) et le corps aux pattes repliées de l'élan sans sa tête
32. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Plaque de ceinture dépouillée de sa feuille d'or. Elle représente, dans un cadre une scène de prédation dans laquelle un tigre attaque un cerf à l'échine brisée. Par une convention stylistique qui n'est répandue que dans l'Altaï et les régions avoisinantes à l'âge de fer, les arrière-trains des deux animaux sont renversés et leurs pattes postérieures, sabots ou griffes, tournées vers le haut. On notera aussi, bien visible sur l'épaule du cerf, un motif ornemental en « point parenthèse » connu dans l'art achéménide de la Bactriane (Afghanistan du nord et Tadjikistan du sud)
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