01. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. À l'automne, les vallées de l'Altaï occidental connaissent un bref « été indien » qui dore le feuillage des peupliers et les aiguilles des mélèzes. Des bancs de brume s'étalent sur les eaux basses de la Bukhtarma qui s'écoulent vers l'ouest. La Bukhtarma est la seule voie de communication du massif de l'Altaï avec les steppes du côté occidental

• PM01/01
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• 2000

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02. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. Au matin, les deux villageois Kazakh de Berel' qui ont gardé la fouille pendant la nuit rentrent chez eux. Ils montent de petits chevaux qui s'élancent facilement au galop dans la steppe herbue qui pousse à 1 200 m d'altitude

• PM01/02
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• 2000

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03. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. L'élevage des chevaux est resté une tradition chez les Kazakhs de l'Altaï. La terrasse de la Bukhtarma où se trouve la nécropole constitue une belle prairie. Dans le lointain vers l'est s'élèvent les montagnes et les hauts plateaux de l'Altaï, enneigés de août-septembre à juin. Là-bas sur le plateau d'Ukok, à 120 km à vol d'oiseau de Berel' mais en Russie, non loin de la frontière avec la Mongolie et la Chine, les archéologues de Novosibirsk ont fouillé des kourganes au début des années 1990 et notamment celui qui a livré le corps momifié dit de la « chamanesse »

• PM01/03
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04. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. Au printemps, si l'on porte le regard vers l'ouest, au-delà d'un défilé de la Bukhtarma, on peut voir la ligne de crêtes enneigées des monts Tarbagatay qui forment la frontière avec la RPC. Au premier plan, le kourgane en pierre (23 m de diamètre), dégagé sur son pourtour. En son centre, la fouille est couverte d'une protection en charpente de bois et bâche

• PM01/04
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05. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. Après un violent orage de printemps, la pluie et le vent se calment et un arc-en-ciel se dessine dans la brume, au-dessus du camp détrempé. Il sera temps d'éponger, d'écoper, de faire sécher et de réinstaller le matériel qui aurait souffert. Néanmoins, de grandes tentes ont permis de ne pas perdre de temps, de travailler sans interruption tous les jours et même parfois la nuit, grâce à des groupes électrogènes

• PM01/05
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06. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Une des tranchées qui avaient permis de localiser la fosse funéraire en automne 1998 en observant une partie de la construction de pierre a été réouverte au printemps 1999. La couverture a permis de maintenir le chantier à l'abri

• PM01/06
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07. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Dégagement d'un avant-train de cheval sacrifié au fond de la fosse funéraire. Le gel a conservé sur ce vieil étalon le pelage et les os, mais d'autres, mieux protégés du passage des pillards, ont gardé leurs organes et leurs muscles. Cet animal avait été abattu avec son mors en bouche ainsi que des ornements de bride en bois que l'on voit briller in situ

• PM01/07
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08. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Après enlèvement de la toiture de la chambre funéraire, on peut examiner sa construction en planches assemblées par des feuillures, et le sarcophage en place. Ce cercueil, posé sur une plate-forme de petites dalles de pierre, était fermé par un couvercle en bois fixé aux quatre angles par quatre clous ornés de griffons rapaces de bronze

• PM01/08
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09. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. A la fin de la fouille, conditionnement du sarcophage, monoxyle creusé dans un gros mélèze, pour son enlèvement de la fosse

• PM01/09
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10. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Nettoyage de lisibilité et restauration in situ avant emballage des trouvailles faites dans la sépulture par (de gauche à droite) Elena Barinova (CSRL), Jorge Vasquez (Artefact), Danièle Molez (CNRS, UMR 7041)

• PM01/10
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11. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Sébastien Lepetz (CNRS) examinant le rapport entre les crânes des chevaux C et D, alors que les ornements sont encore en place

• PM01/11
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12. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Sortie du sarcophage de la fosse protégé par du plastique bulle et des planches. Il a été halé à la main sur des planches huilées

• PM01/12
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13. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Un bloc gelé, fragment d'un ou plusieurs chevaux, a été découpé in situ comme une quarantaine d'autres et immédiatement emballé, mis dans un camion frigorifique transporté à Almaty (capitale) pour être stocké dans une chambre frigorifique afin de ne pas rompre la chaîne du froid. On voit ici un de ces blocs dégelé pour être fouillé dans des conditions de laboratoire : matériel adapté, température contrôlable, possibilité de tourner autour à plusieurs, meilleures conditions pour le dessin et la photo, meilleur conditionnement des trouvailles et des échantillons

• PM01/13
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14. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Vétérinaires et zoologues au travail (Claire Puyalto-Moussu de l'AFSSA-Dozulé, Sébastien Lepetz et un collègue kazakhstanais). Il s'agissait de pratiquer une véritable autopsie sur des cadavres de chevaux, mais en « transcodant » la méthode habituelle pour l'adapter à des vestiges déformés

• PM01/14
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15. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Un prélèvement délicat effectué par Sébastien Lepetz

• PM01/15
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16. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Examen d'un organe fraîchement prélevé sur un corps de cheval. Parasitologie, bactériologie, virologie, génétique sont au programme. 40 kg d'échantillons de chevaux ont été rapportés en France (Institut de Pathologie du cheval de l'AFSSA-Dozulé, INRA, Ecole Nationale Vétérinaire de Maison -Alfort)

• PM01/16
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17. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. L'archéozoologue Nurumov mesure un os de cheval

• PM01/17
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18. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Caroline Relier, restauratrice (UTICA) au travail sur un prélèvement : il s'agit de séparer l'artefact de l'organique et de donner à chacun le traitement qui lui est propre

• PM01/18
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19. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Sur l'encolure d'un cheval dont on distingue bien la robe, apparaissent en place, malgré le temps et les manipulations des blocs, des éléments de parure en bois doré qui n'ont pas bougé, comme cette tête de félin. Tout est relzvé avec précision afin de restituer par le suite le harnachement de chaque cheval avec la plus grande précision possible

• PM01/19
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20. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Danièle Molez dessine un griffon en ronde-bosse, sculpté dans du bois avec des ajouts de cuir et crin

• PM01/20
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21. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. L'un des griffons qui surmonte les clous des angles du sarcophage. Il s'agit du type de griffon rapace, aux ailes éployées

• PM01/21
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22. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Routine de l'archéologue (Henri-Paul Francfort, Directeur de recherches au CNRS, UMR 7041) : voir et reconstituer ce qui a été cassé autrefois. Ici ce sont le pillage et l'inhumation secondaire qui ont occasionné des dégâts, mais certains objets se sont également probablement brisés lors du dépôts des chevaux au fond de la fosse ou même dans l'affaissement d'un début de décomposition qui a précédé le premier (et définitif) gel du premier hiver

• PM01/22
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23. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de griffon rapace tenant dans son bec recourbé une tête de mouflon. Derrière les têtes prennent place un rang de perles et une sorte de crinière rayonnante ébouriffée. Cette plaque présente une version réduite aux seules têtes d'une scène très répandue dans les arts des steppes, dite de la « prédation », où un carnassier (terrestre ou avien) attaque un herbivore. Mais ici, le schéma général de la composition comme le décor formé par les perles et les mèches rayonnantes de la crinière dérivent de l'art perse achéménide d'Iran

• PM01/23
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24. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de mouflon partiellement dorée sous une barrette perlée. Là encore, c'est vers l'empire perse qu'il faut chercher l'origine de la manière de tailler cette tête, au rendu précis de l'œil, de la bouche et de la narine et dont la corne porte cinq groupes de trois incisions en chevron pour symboliser les anneaux de croissance

• PM01/24
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25. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Cette plaque pendentif est sculptée en forme de deux têtes d'élans adossées aux oreilles énormes et aux bois en palette festonnées, que surmonte un élan en relief à la tête rapportée et aux bois lobés. Un tel ornement se place nettement dans la lignée de représentations d'élans des cultures archéologiques de la Sibérie du sud et de la Mongolie occidentale de l'âge du bronze

• PM01/25
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26. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Barrette de mors aux mouflons. Cette pièce de harnachement était sur le même cheval que la pendeloque au mouflon. Les barrettes ou ailes de mors étaient fixées dans des anneaux aux extrémités du mors, à l'extérieur de la bouche du cheval. Les brides en cuir de la têtière s'y rattachaient

• PM01/26
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27. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Face de félin dont la partie inférieure dessine une sorte de barbe étalée en forme de palmette. La palmette, inconnue dans les arts plus anciens de la région, a été adoptée d'après des modèles moyen-orientaux

• PM01/27
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28. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de félin dorée placée au-dessus d'un motif ajouré fait de deux têtes d'élans très stylisées. Ce félin qui semble garder les yeux mi-clos sous son voile d'or, dresse vers l'avant ses deux oreilles dont les pavillons dessinent des crosses. Un tel motif est d'origine plutôt chinoise et rappelle certains bronzes de l'époque contemporaine des Royaumes Combattants (Zhou Orientaux)

• PM01/28
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29. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Barrette de mors à protomés d'élan, l'élan est coiffé de grands bois en palette festonnés à l'arrière et lobés à l'avant ; son museau aux grosses lèvres pend de manière caractéristique et on a gardé le détail de l'appendice charnu qui pend sous la mandibule. L'oreille, allongée vers l'arrière, trace un pont entre la tête et les bois, permettant au sculpteur de donner plus de solidité à son œuvre. Ces protomés d'élans sont obtenus par des procédés de stylisation savants qui dégagent l'essentiel du thème sélectionné. Le contraste entre la tête encore revêtue d'or et celle qui a perdu son enrobage d'étain est grand : la qualité de l'ouvrage n'est perceptible que sur la seconde

• PM01/29
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30. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Frontal orné d'une face de félin sur les pattes arrière, griffues, de deux autres félins de profil. On a trouvé sur l'un des chevaux trois de ces objets, jusqu'ici inconnus dans le répertoire des Scythes de l'Altaï

• PM01/30
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31. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Pendeloque à deux protomés de cerfs bouche ouverte. L'étroitesse de la pièce a conduit à une réduction de l'ampleur des bois, réduits à trois andouillers qui se recourbent sur le merrain, donnant une meilleure cohésion à l'objet, mais rappelant aussi de tels rendus d'andouillers sur des bronzes ou même des pétroglyphes d'Asie centrale. Les yeux sont agrandis, comme les oreilles et un détail « naturaliste » stylisé : les meules à la racine des bois

• PM01/31
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32. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Plaque de ceinture dépouillée de sa feuille d'or. Elle représente, dans un cadre une scène de prédation dans laquelle un tigre attaque un cerf à l'échine brisée. Par une convention stylistique qui n'est répandue que dans l'Altaï et les régions avoisinantes à l'âge de fer, les arrière-trains des deux animaux sont renversés et leurs pattes postérieures, sabots ou griffes, tournées vers le haut. On notera aussi, bien visible sur l'épaule du cerf, un motif ornemental en « point parenthèse » connu dans l'art achéménide de la Bactriane (Afghanistan du nord et Tadjikistan du sud)

• PM01/32
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33. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Plaque pendentif sculptée, Les détails sont bien visibles car cette vue priviligie la plaque en bas-relief qui montre les deux têtes d'élans divergentes, aux immenses oreilles (comparer aux bois) et le corps aux pattes repliées de l'élan sans sa tête

• PM01/33
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01. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un village de pêcheurs, près de la ville d'Aïkawa, l'île de sado, Niîgata

• PM02/01
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02. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un groupe de fermes à Okubo, village situé à 1.5 km sud de celui de Nojiri, Nagano

• PM02/02
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03. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une cour de ferme à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano

• PM02/03
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04. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un toit recouvert de pierres d’une maison de pêcheurs, près de la ville d’Aïkawa, île de Sado, Niïgata

• PM02/04
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05. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une rue dans un village de pêcheurs, à Aïkawa, île de Sado, Niïgata

• PM02/05
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06. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Toit de chaume d’une ferme à Segikawa, village situé à 3 km nord de celui de Nojiri, Nagano

• PM02/06
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07. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval de portage, à Furuma, auprès du lac de Nojiri, Nagano

• PM02/07
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• 2000

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08. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Une charrette et des femmes à Ohara, village suburbain au nord de Kyoto

• PM02/08
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09. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un boeuf de portage, auprès du temple bouddhiste de Myosenji, ville d'Aïkawa, île de Sado, Niïgata

• PM02/09
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10. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval, une charrette et un chasse-mouches à Akagawa, village situé à 2 km au nord de celui de Nojiri, Nagano

• PM02/10
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11. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Des cadres de vers à soie séchant après usage sur un mur de maison, à Segikawa, village situé à 3 km au nord de celui de Nojiri, Nagano

• PM02/11
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• 2000

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12. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Fenêtre d'une écurie de cheval à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano

• PM02/12
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• 2000

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13. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Des tatamis et un coussin

• PM02/13
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• 2000

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14. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Un foyer dans une chambre

• PM02/14
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• 2000

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15. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le cadre de la couverture sur le foyer

• PM02/15
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• 2000

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16. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu (foyer), vu de côté

• PM02/16
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• 2000

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17. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu couvert par un futon et une planhe. On remarque sur celle-ci une théière et deux tasses sur un plateau

• PM02/17
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• 2000

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