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Du 20 au 26 janvier 2014

Photographie n° 20140120_01. John Japhet déploie le drapeau du CHADEMA devant chez lui, le 20/01/2014, à Ndatu.
Photographie n° 20140120_02. Poissons mis à sécher, le 20/01/2014, à Ndatu.
Photographie n° 20140120_03. Vieillard, le 20/01/2014, à Ndatu.
Photographies n° 20140122_01 à 20140122_04. Le 22/01/2014, École KKKT de Poli.
Photographie n° 20140123_01. Le 23/01/2014, Funérailles du Colonel Sila Kaaya, à Nkoanrua.
Photographies n° 20140125_01 à 20140125_04. Le 25/01/2014, à Ndatu, vieille maison de bois, avec bougainvillées et bureau du village.
Photographies n° 20140126_01 à 20140126_24. Le 26/01/2014, Baptême de la petite fille de John Ruben Urio, l’interprète et assistant de C. Baroin, depuis l'épluchage des bananes, la cuisine, jusqu'à la cérémonie dans l'église AMEC et la réception chez le grand-père après le baptême.
CHADEMA est un parti politique conservateur en Tanzanie. C’est l’acronyme pour le Swahili “Chama cha Demokrasia na Maendeleo” qui signifie en anglais Party for Democracy and Progress.
KKKT signifie Kanisa la Kiinjili la Kilutheri Tanzania.
AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

Du 03 au 12 février 2014

Photographies n° 20140203_01 à 20140203_03. Le 03/02/2014, le chairman de Ndatu et sa femme.
Photographies n° 20140204_01 à 20140204_03. Le 04/02/2014, réunion de Vicoba "Nsalalo", à Ndatu.
Photographies n° 20140205_01 à 20140205_07. Le 05/02/2014, C. Baroin et une amie, avec son fils et ses vaches, à Ndatu.
Photographies n° 20140207_01 à 20140207_17. Le 07/02/2014 (vendredi), Marché de Kikatiti, avec Maasai vendant leur bétail, motos taxi attendant leurs clients, bus (daladalas) à l'arrêt, gourdes à vendre, légumes, poissons séchés, céréales, stand Vodacom.
Photographie n° 20140208_01. Le 08/02/2014, le Mont Méru.
Photographies n° 20140209_01 à 20140209_02. Le 09/02/2014, Rizières à Makumira.
Photographie n° 20140212_01. Le 12/02/2014, à Ndatu, Champ de légumes de Marisha, un chef local du groupe d’âge des Kilovio.

Vicoba signifie « Village Community Banks ».

Le 22 février 2014, à Engare Nanyuki, désignation du nouveau chef de boma

Photographies n° 20140222_01 à 20140222_03. Champ de tomates irrigué.

Photographies n° 20140222_04 à 20140222_61. Désignation du nouveau chef de boma (terme masaaï qui signifie "lignage", "maison"), après le décès du précédent. Vues de détails : viande à rôtir, les femmes à l'arrière de la réunion des hommes du clan, distribution des vêtements du mort, distribution des sodas, repas des chefs à l'intérieur.

Photographies n° 20140222_62 à 20140222_63. Centre ville.

Du 04 au 09 mars 2014

Photographies n° 20140304_01 à 20140304_20. Le 04/03/2014, à Poli, réunion du clan Pallangyo; le secrétaire du clan fait le pointage des présents.

Photographies n° 20140305_01 à 20140305_02. Le 05/03/2014, à Ndatu, gamins jouant aux voitures.

Photographies n° 20140307_01 à 20140307_02. Le 07/03/2014, à Tengeru, école moderne et bus scolaire.

Photographie n° 20140308_01. Le 08/03/2014, portrait du « père » des Kilovio Ndesaulo Akyoo sur vidéo.

Photographies n° 20140309_01 à 20140309_02. Le 09/03/2014, cormorans au lac Duluti.

Du 09 au 17 janvier 2014

Photographies n° 20140109_01 à 20140109_08. Le 09/01/2014, à Arusha. Temple Sikh, gare des bus, mosquée, Maasai vendeurs de tanzanite.

Photographies n° 20140112_01 à 20140112_30. Le 12/01/2014, cérémonie de remise du diplôme Honoris causa au bishop Paulo Akyoo, à Usa River, dans une église.

Photographies n° 20140113_01 à 20140113_05. Le 13/01/2014, Agape Women Group, à Mulala, avec ruches et vente de fromages par Mama Anna.

Photographie n° 20140116_01. Le 16/01/2014, Tengeru.

Photographies n° 20140117_01 à 20140117_04. Le 17/01/2014, « Imbaseny school » fondée par Kleopa Akyoo, un pasteur luthérien, à Imbaseny.

Le 1er mars 2014, cérémonie de demande de circoncision des Kilovio à leurs "pères", à Migandini

Photographies n° 20140301_001 à 20140301_004. Le nswa est servi avant la cérémonie
Photographies n° 20140301_006 à 20140301_007. Conseil préalable
Photographies n° 20140301_008 à 20140301_026. Les femmes des Kilovio apportent les bouteilles de soda escortées par les guerriers.
Photographies n° 20140301_023 à 20140301_026. Et le "père" des Kilovio vient à leur rencontre.
Photographies n° 20140301_027 à 20140301_038. Arrivée sur le lieu de la cérémonie.
Photographies n° 20140301_043 à 20140301_049. Demande de circoncision.
Photographies n° 20140301_050 à 20140301_054. Et don des sodas.
Photographie n° 20140301_055. Deux vieillards.
Photographie n° 20140301_056. Le secrétaire général des Kilovio prend la parole.
Photographies n° 20140301_057 à 20140301_109. Dons de couvertures et de pagnes aux épouses, ainsi qu'à la doyenne.
Photographie n° 20140301_111. Côté cuisine.
Photographies n° 20140301_114 à 20140301_124. Repas final à l'ombre.

Du 23 au 27 mars 2014

Photographies n° 20140323_01 à 20140323_03. Le 23/03/2014, à Poli. Le tribunal, devant le mont Meru, avec le mringaringa (arbre sous lequel ont lieu toutes les grandes réunions).

Photographies n° 20140324_01 à 20140324_16. Le 24/03/2014, à Ndatu. Vente de salades, sentier menant à une maison, avec haie d'isaale, vaches et chèvres à l'étable, potager de légumes, élevage de poulets, chèvres sur pilotis.

Photographies n° 20140327_01 à 20140327_03. Le 27/03/2014, à Akheri, réservoir pour irrigation et filtre, sur la ferme de Jehovahroy Kaaya.

Du 27 janvier au 1er février 2014

Photographies n° 20140127_01 à 20140127_07. Le 27/01/2014, à Ndatu. Deux vieux Akyoo dans une veillée de deuil et une femme devant son ancienne maison.
Photographies n° 20140128_01 à 20140128_09. Le 28/01/2014, réunion du Vicoba "Nsalalo", à Ndatu.
Photographie n° 20140129_01. Le 29/01/2014, labour avec tracteur, à Ndatu.
Photographies n° 20140130_01 à 20140130_02. Le 30/01/2014, devise affichée à Karatu Estate, Ndatu.
Photographies n° 20140201_01 à 20140201_12. Le 01/02/2014 (samedi), réunion d'information sur les Vicoba au Bethel du KKKT, de Maji ya Chai.

Vicoba signifie « Village Community Banks ».
KKKT signifie Kanisa la Kiinjili la Kilutheri Tanzania.

Le samedi 22 mars 2014, à Ulonga, remise du ndata au chef local des Kilovio

Photographies n° 20140322_001 à 20140322_015. Danses des voisins Arusha.
Photographies n° 20140322_016 à 20140322_022. Arrivée des Kilovio avec les caissons de soda.
Photographie n° 20140322_025. Les VIP à la tribune, la sono.
Photographies n° 20140322_027 à 20140322_035. Remise de Bibles aux leaders et leurs épouses.
Photographies n° 20140322_042 à 20140322_069. Le ndata passe de main en main, d'un chef à l'autre...
Photographies n° 20140322_070 à 20140322_084. ... avant d'être remis au nouveau chef par le "père" des Kilovio, Ndesaulo Melita Akyoo.
Photographies n° 20140322_087 à 20140322_093. Remise de couvertures au nouveau chef et son assistant ...
Photographies n° 20140322_094 à 20140322_095. ... et de pagnes à leurs épouses.
Photographies n° 20140322_096 à 20140322_109. Autres remises de couvertures, de pagnes et de guirlandes.
Photographies n° 20140322_110 à 20140322_123. Discours de l'assistant du Nshili Nnini.
Photographie n° 20140322_124. Le chef des Kilovio d'Ulonga et sa femme, avec C. Baroin.

Du 14 au 20 février 2014

Photographies n° 20140214_01 à 20140214_07. Le 14/02/2014, à Kilala, nids de serins dans un arbre et construction d'une maison.
Photographies n° 20140215_01 à 20140215_15. Le 15/02/2014 (samedi), Marché de Tengeru.
Photographie n° 20140219_01. Le 19/02/2014, à Singisi, Ndesaulo Melita Akyoo, le père générationnel de tous les Kilovio, devant sa maison avec John Urio, l’interprète et assistant de C. Baroin.
Photographies n° 20140220_01 à 20140220_05. Le 20/02/2014, près de Kilimanjaro Airport, plaine inondée en pays maasai, après l'orage.

Du 23 au 25 février 2014, à Momella et Engare Nanyuki

Photographies n° 20140223_01 à 20140223_05. Le 23/02/2014, à Momella (Engare Nanyuki). Catherine Baroin et la famille de Peterson, le premier interprète de C. Baroin dans les années 1990, devant le mont Meru.

Photographies n° 20140224_01 à 20140224_08. Le 24/02/2014, à Momella (Engare Nanyuki). Maison de terre devant le mont Meru, un chef de clan, spray sur champ de tomates, et la maison occupée par C. Baroin lors de sa première mission en 1992.

Photographies n° 20140225_01 à 20140225_20. Le 25/02/2014, à Engare Nanyuki. Irrigation des champs de tomates, spray, cultures, maison de torchis, décoration d'un bouchon de calebasse, le village de Nasula, une vendeuse de tomates, et la rivière Waato ou Engare Nanyuki river.

Du 14 au 19 mars 2014

Photographies n° 20140314_01 à 20140314_03. Réunion de conciliation entre deux lignages Pallangyo, après un accident, à Ndatu, le 14/03/2014.

Photographie n° 20140314_04. Portrait du chef du clan pour le ward de Poli, le 14/03/2014.

Photographies n° 20140314_05 et 20140314_06. Réunion de conciliation entre deux lignages Pallangyo, après un accident, à Ndatu, le 14/03/2014.

Photographie n° 20140314_07. L’interprète de C. Baroin et sa petite fille, le 14/03/2014.

Photographies n° 20140314_08 à 20140314_11. Mama Siyoi (la femme de Kleopa Akyoo chez qui C. Baroin logeait durant la mission) dans sa cuisine, le 14/03/2014.

Photographies n° 20140315_01 à 20140315_03. Le 15/03/2014, à Njoro. Port de fourrage et c hamp de maïs et haricot.

Photographie n° 20140316_01. Le 16/03/2014, à Kimundo, nids sur fil électrique.

Photographie n° 20140317_01. Annonce de la coopérative pour la vente de café, le 17/03/2014, à Ndatu.

Photographies n° 20140317_02 à 20140317_04. Café dans la demonstration farm de la coopérative, le 17/03/2014, à Ndatu.

Photographies n° 20140317_05 à 20140317_06. Enfants chassant des larves d'insectes dans des trous, sous les feuilles de bananier, le 17/03/2014, à Ndatu.

Photographie n° 20140317_07. Bassins de pisciculture chez un fermier de Ndatu, le 17/03/2014.

Photographies n° 20140319_01 à 20140319_06. Le 19/03/2014 (mercredi), à Poli. Réunion du Comité Central, dit mringaringa, avec portraits des chefs du mringaringa et de Nkasiyoi, la femme qui promeut la langue ki-rwa.

DVD de chants en Ki-Rwa

DVD de chants en Ki-Rwa (signifie la langue des Rwa) interprétés par le groupe de musique de Madame Nkasiyoi Pallangyo « ee-Yeiyo » (52 minutes 58 secondes). Copyright VEEMBI VA TIKISI SIRI YA SURA, Recorded and edited by GMT Technologies (GMTT), Arusha, Tanzania.

La Nouvelle-Guinée

Dans le Jura français, des regroupements de villages fortifiés préhistoriques ont été observés autour de sources salées, suggérant un intérêt particulier pour le sel dès le Néolithique. Mais, en toute rigueur, il n'était pas possible de démontrer une véritable production de sel, en l'absence totale de structures ou de déchets d'évaporation en terre cuite. Avec Pierre et Anne-Marie Pétrequin (UMR 6249), nous nous sommes alors tournés vers les populations des Hautes Terres de Nouvelle-Guinée (Papua, Indonésie), cultivateurs de tubercules et éleveurs de porc, pour construire un modèle ethnoarchéologique (missions du MAEE 1994-1996). Il a été enrichi par une mission chez les Baruya, producteurs de grandes barres de sel très réputées chez les Anga (Papouasie Nouvelle-Guinée, 1995, resp. A. Coudart, UMR 8215).
Chez les Dani de l'Ouest (Papua), l'exploitation collective des sources salées, loin de leur territoire, est assurée par des expéditions de jeunes guerriers qui vont récolter des plantes sauvages spongieuses, les tremper dans l'eau de la source salée aménagée en bassin, puis les brûler et enfin conditionner le sel cendreux obtenu en pains agglomérés.
Chez les Baruya (PNG), l'exploitation se fait sur place à partir des cendres d'une plante à croissance rapide repiquée dans des zones irriguées par des ruisseaux bordés de sources fortement minéralisées. C'est le travail d'un spécialiste qui, par ses pouvoirs magiques et son savoir-faire technique pour les opérations de lixiviation, d'évaporation et de cristallisation, est reconnu comme tel. Il est le seul capable de fabriquer, dans un long fourneau à tunnel, de longues barres de sel blanc.
Dans les deux cas, l'exploitation du sel se fait sans utilisation de récipient, ni de terre cuite, et produit d'importantes accumulations cendro-charbonneuses qui ont été recherchées ailleurs, en Europe, aux abords de sources salées et identifiées au moyen de sondages profonds comme dans le Jura dès le Néolithique.

La Moldavie

Dans le Nord-Est de la Roumanie, au pied des Carpates orientales, on dénombre plus de 200 sources salées qui sont encore entretenues et utilisées de façon régulière principalement sous forme liquide. Plusieurs d'entre elles présentent des vestiges archéologiques d'exploitation remontant au Chalcolithique (Ve et VIe millénaires av. J.-C.), mais également dès le tout premier Néolithique (milieu VIe millénaire). L'exploitation actuelle de ces sources salées, en dehors de toute mécanisation, organisation économique et réglementation juridique, offre l'occasion rare, sinon unique en Europe, de mener des recherches ethnoarchéologiques dans des conditions proches, pour certains aspects, des sociétés préindustrielles.
Depuis 2003, nous menons (mission du MAEE et projet ID-CNCS) une prospection systématique de ces ressources et une série d'enquêtes aussi bien sur les sources salées, dans les villages que dans les bergeries. Ces informations ethnographiques de première main permettent aujourd'hui d'enrichir les hypothèses archéologiques autour des relations évidentes entretenues entre les émergences d'eau salée et les communautés sur divers aspects : chasse du gibier sauvage, modes d'approvisionnement, modes d'utilisation (alimentation humaine et animale, conservation des aliments et des fourrages, halothérapie, symbolique), organisation sociale des exploitations et des pratiques d'échange et de troc…

Afrique du Sud

Les sites d'art rupestre d'Afrique du Sud sont très nombreux, ils se comptent par milliers.L'extension du territoire, 1 222 000 km2, et la longue durée des occupations humaines font que la création artistique sur parois rocheuses est très diversifiée et doit correspondre à des auteurs et à des époques différentes. Il est aussi très probable que les finalités et significations des figures en présence soient également variées. Il serait donc illusoire de proposer une seule interprétation pour l'ensemble de cette partie du continent.
Les informations sur l'art rupestre d'Afrique du Sud sont anciennes puisque dès 1873, J. Orpen signale l'existence de peintures rupestres dans le Drakensberg mais aussi la familiarité des San de la région avec les figures peintes. Cette connaissance des auteurs de certaines peintures et de leur signification, permet de proposer des interprétations sur des bases solides.

Angola

Les recherches actuelles en Angola montrent l'existence d'une cinquantaine de sites d'art rupestre sur l'ensemble du territoire. La diversité de peuples qui habitent le pays et l’extension de territoire, 1248000 km2, sont sans doute à l'origine de la diversité de l'art rupestre du pays. De la même manière que dans d'autres régions du continent, il est très probable que les motivations des artistes et donc les significations des figures soient très variées. Il faut donc tenir compte de ces données pour aborder l'interprétation de l'art de cette partie de l'Afrique.
Les publications sur l'art rupestre d'Angola sont relativement anciennes et c'est en 1818 que J. Tuckey signale l'existence d'un site d'art rupestre sur la rive gauche du fleuve Zaïre/Congo. Depuis cette date d'autres sites ont été découverts, en particulier au sud du pays. Il est fort probable que des campagnes de prospection sur des zones peu connues du point de vue artistique rendraient l'actuelle carte des sites beaucoup plus fournie.

Namibie

Bien que la Namibie soit un pays semi-désertique, il compte des massifs rocheux riches en sites d'art rupestre. Ils se trouvent aussi bien au nord qu'au sud de son vaste territoire, 825000 km2. Au nord c'est notamment dans le massif du Drakensberg que l'on trouve de très nombreux sites de peintures rupestres. Les gravures rupestres sont également très nombreuses et l'on trouve une forte concentration dans l'ensemble de Twyfelfontein, au nord du pays.

A l'autre extrémité du pays, le site d'Apollo 11, dans les montagnes Huns, a livré des plaques en pierre couvertes de peintures représentant des animaux et qu'à l'époque de leur découverte, au milieu des années 1970, étaient considérées comme le plus ancien témoignage de la création artistique africaine (26 000 BP).

L'interprétation de la l'art rupestre de la Namibie a fait l'objet de nombreuses approches et l'un des sites emblématiques des difficultés qui entourent cette partie de l'étude de l'art rupestre est sans doute la grotte Maack devenue, par un concours de circonstances, la "grotte de la dame blanche".

Colloque "Regards scientifiques sur l'Afrique. Nouvelles méthodes, nouvelles données en sciences humaines", musée du Quai Branly, 17-18 novembre 2011

Catherine Baroin était dans le comité organiseur du colloque. Elle a aussi présenté cette communication : "Internet au service de la science : histoire et fonctionnement du réseau Méga-Tchad".
Programme, texte du projet de colloque, textes préparatoires de la communication et de la publication, texte publié.

Botswana

Pays enclavé du centre de l'Afrique Australe, le Botswana est surtout connu par l'existence des populations Khoi-San et par l'existence d'une île végétale au milieu du désert de Kalahari, le delta de l'Okavango.

Bien que d'une superficie relativement réduite par rapport à ses voisins, 582000 km2, le pays compte de nombreux sites d'art rupestre dont certains ont été signalés dès le milieu des années 1800. Toutefois, il faut attendre les années 1980 pour voir apparaître des publications scientifiques concernant cet aspect de l'archéologie du pays.

Parmi les ensembles les plus remarquables, il faut signaler Tsodilo Hills au nord du pays. Quatre collines qui comptent de très nombreuses figures peintes, souvent exposées aux intempéries. Parmi les animaux peints, il est important de signaler la présence d'au moins deux cétacés et d'un palmipède marin. La distance qui sépare Tsolido Hills de l'océan Indien et de l'océan Atlantique implique que ces mammifères n'ont jamais fréquenté la région. L'art rupestre n'est donc pas une illustration de la faune régionale, mais une activité créatrice humaine avant tout.

10-11 juin 2010

Photographies n° RIMG0084 à RIMG0086. La femme de l'évêque de l’église AMEC d’Akheri coupe les feuilles de bananiers pour nourrir ses vaches, Akheri, 10 juin 2010.
Photographies n° RIMG0087 à RIMG0088. Menuisiers, Akheri, 10 juin 2010.
Photographies n° RIMG0089 à RIMG0091. Enseigne pour salon de coiffure, portrait de Barack Obama, Kimundo, 10 juin 2010.
Photographie n° RIMG0092. Bananiers et Mont Meru, Kimundo, 10 juin 2010.
Photographie n° RIMG0093. Chez une veuve, Kimundo, 10 juin 2010.
Photographies n° RIMG0094 à RIMG0095. Femmes coupant la viande, restaurant sur la route d’Akheri, 11 juin 2010.

AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

13-18 juin 2010

Photographies n° RIMG0120 à RIMG0126. Service religieux à l’église AMEC d’Akheri, 13 juin 2010.
Photographie n° RIMG0127. Arrêts de bus sur la route goudronnée, Patandi, 15 juin 2010.
Photographie n° RIMG0128. Le Mringaringa, arbre sous lequel ont lieu toutes les grandes réunions, Poli, 16 juin 2010.
Photographies n° RIMG0129 à RIMG0130. Réunion du Comité Central, dit Mringaringa, Poli, 16 juin 2010.
Photographies n° RIMG0131 à RIMG0132. Femmes se rendant au marché pour vendre leurs denrées (dont bananes), Poli, 16 juin 2010.
Photographie n° RIMG0133. Bananeraie et pancarte d’église pentecôtiste, Kimundo, 16 juin 2010.
Photographies n° RIMG0134 à RIMG0136. Chef avec ses bâtons, devant sa maison, Akheri, 17 juin 2010.
Photographies n° RIMG0137 à RIMG0138. Cahier de comptes du secrétaire du Mringaringa, Kimundo, 17 juin 2010.
Photographies n° RIMG0139 à RIMG0142. Plantes à usage symbolique (de gauche à droite : miinsi, makyengere , et isali) , Kimundo, 18 juin 2010.

AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

17 juillet 2010, cérémonie d'inauguration du chef suprême des Rwa à Poli

Photographies n° RIMG0036 à RIMG0041. Les guerriers munis de leurs lances se rassemblent sur la place ; à droite le chœur des femmes arrive en dansant, en file indienne, avec, au milieu d'elles, la musicienne traditionnelle.

Photographies n° RIMG0042 à RIMG0045. Danses et frappe de la timbale, danse des femmes, les hommes se joignent aux femmes pour danser.

Photographies n° RIMG0046 à RIMG0049. La génération des guerriers, les Kilovio, se met en place avec son drapeau pour faire son entrée ; ils sont accompagnés des danseuses, et brandissent épées et drapeau ; leur cortège est suivi des danseuses et de la joueuse de timbale.

Photographie n° RIMG0050. À l'arrière du bâtiment du tribunal, l'espace des cuisines.

Photographie n° RIMG0051. Les notables arrivent et s'installent sous le dai : au centre avec son chapeau jaune, Wilson Kaaya, chef du clan Kaaya, tenant son bâton et son chasse mouche, suivi d'Afuraeli Naiman Mungure, président temporaire du conseil suprême (mringaringa).

Photographie n° RIMG0052. Arrivée, derrière les précédents, d'Ezrom Sumari le futur chef suprême (en bleu) et de son assistant Wilson Mbise (en costume gris) et derrière eux de leurs épouses et de celles d'autres notables.

Photographie n° RIMG0053. Le trône du chef suprême.

Photographies n° RIMG0054 et RIMG0055. Arrivée des chefs de clans.

Photographies n° RIMG0056 et RIMG0057. Sous le dai, à la tribune, se tiennent d'Ezrom Sumari le futur chef suprême (en bleu) et son assistant Wilson Mbise (en costume gris), avec leurs épouses.

Photographies n° RIMG0059 à RIMG0061. Arrivée des guerriers vers la tribune, et à gauche le vidéoman.

Photographies n° RIMG0062 à RIMG0064. Les guerriers ont pris place avec leur drapeau ; le drapeau des guerriers est présenté : "rika la kilovio meru", et la lance est plantée en terre.

Photographie n° RIMG0065. Le futur chef suprême à la tribune, avec son assistant et son épouse. Noter la parabole de la maison derrière les bananiers.

Photographie n° RIMG0066. Installation du drapeau des guerriers devant la tribune.

Photographies n° RIMG0067 et RIMG0068. La base du piquet de l'étendard est taillée pour être fichée en terre. Noter le reporter avec son appareil photo, et les épées des guerriers portées à la ceinture.

Photographies n° RIMG0069 et RIMG0070. Les guerriers et leur étendard devant la tribune ; derrière eux, l'assistance s'est assise face à la tribune.

Photographie n° RIMG0071. Premier discours d'Afuraeli Naiman Mungure, président temporaire du conseil suprême et de la cérémonie. Noter les lances des guerriers fichées en terre.

Photographies n° RIMG0072 à RIMG0074. Vue d'ensemble pendant le discours d'Afuraeli Naiman Mungure. Remarquer l'arbre majestueux, le symbolique mringaringa, et le trône en attente à gauche.

Photographie n° RIMG0075. Autre discours ; Les guerriers sont assis sur des fauteuils en plastique. Face à eux, de gauche à droite, Afuraeli Naiman Mungure, Jacob Kaaya le secrétaire du Conseil suprême, son assistant Luka (en bleu avec drap maasai), et le trésorier du Conseil suprême Ephata Nnko.

Photographie n° RIMG0076. Vue d'ensemble.

Photographie n° RIMG0077. L’assistance face à la tribune.

Photographie n° RIMG0078. Les spectateurs, et debout un homme à l'accoutrement pseudo maasai.

Photographie n° RIMG0079. Notables invités, assis sous un dai.

Photographie n° RIMG0080. Raphael Nnko et son épouse canadienne.

Photographies n° RIMG0081 à RIMG0083. Les chefs de clans se mettent en place devant la tribune. Le trône du chef suprême est placé devant celle-ci.

Photographies n° RIMG0084 à RIMG0086. Les chefs de clans alignés derrière le trône, en face des guerriers.

Photographies n° RIMG0087 à RIMG0089. Le futur chef suprême, Ezrom Sumari, s'est assis sur le trône. Derrière lui les chefs de clans. Au bout à droite, le "père" des Kilovio, en costume gris, agite son chasse mouche en signe de bénédiction.

Photographies n° RIMG0090 à RIMG0093. Les chefs de clans derrière le futur chef suprême, Ezrom Sumari. Noter leurs bâtons (ndata), insignes de chefs. L'un des chefs brandit le bâton qui sera remis au chef suprême, en signe de sa fonction. Le bâton passe de main en main, d'un chef de clan à l'autre.

Photographies n° RIMG0094 à IMG0096. Le chef de la cérémonie Afuraeli Naiman Mungure qui tient en main un micro, fait un discours avant de remettre son bâton au chef suprême, qui est assis sur son trône. Noter les femmes assises au fond, avec leurs colliers d'apparât maasai. Le chef de la cérémonie tend le bâton vers le chef suprême.

Photographies n° RIMG0097 et RIMG0098. L’assistance avec, au fond au centre, le tribunal de Poli.

Photographies n° RIMG0099 à RIMG0111. Le chef suprême s'est levé pour recevoir son bâton, insigne de sa fonction. A partir de la photo n° RIMG0108, des chasse-mouches sont agités derrière le chef.

Photographies n° RIMG0112 et RIMG0113. Le président de la cérémonie, Afuraeli Naiman Mungure, remet au chef suprême son bâton. Noter les rainures du bâton sous la boule, signes distinctifs du bâton de chef suprême.

Photographies n° RIMG0114 à RIMG0119. Le chef suprême, Ezrom Sumari, tient solennellement son bâton tandis que le "père" des Kilovio agite son chasse mouche en signe de bénédiction. Un autre chef fait de même.

Photographies n° RIMG0120 à n° RIMG0122. Le chef suprême, Ezrom Sumari, tient son bâton à côté de son épouse.

Photographie n° RIMG0123. Le président de la cérémonie, Afuraeli Naiman Mungure, serre la main au chef suprême.

Photographie n° RIMG0124. Le chef du clan Kaaya, Wilson Kaaya (au chapeau jaune) avance.

Photographie n° RIMG0125. Les guerriers sont toujours en place.

Photographies n° RIMG0126 à n° RIMG0130. Remise du chasse mouche au chef suprême.

Photographies n° RIMG0132 à n° RIMG0140. Un chapeau est brandi qui passe de main en main avant d'être remis au chef suprême.

Photographies n° RIMG0141 à n° RIMG0142. Le chef suprême, Ezrom Sumari, coiffé de son chapeau.

Photographies n° RIMG0143 à n° RIMG0152. Un drap maasai est déployé pour en draper le chef suprême.

Photographies n° RIMG0153 à n° RIMG0162. Un pagne de luxe (en wax) est déballé pour en draper l'épouse du chef suprême, qui a droit à un discours par une vieille femme.

Photographie n° RIMG0163. L’assistant du chef suprême s'assied sur une chaise près du trône, pour être officialisé à son tour.

Photographies n° RIMG0164 à n° RIMG0170. Un bâton passe d'un chef de clan à l'autre, de main en main, avant d'être remis au chef suprême qui le donne à son assistant.

Photographies n° RIMG0171 à n° RIMG0176. Puis le chasse mouche passe de main en main à son tour avant d'être remis au chef suprême qui le donne à son assistant.

Photographies n° RIMG0177 à n° RIMG0180. Le chasse mouche emballé, destiné à l'assistant du chef suprême passe de main en main à son tour, d'un chef de clan à l'autre puis au chef suprême.

Photographie n° RIMG0181. Le chef suprême donne son chasse mouche à son assistant Wilson Mbise.

Photographie n° RIMG0183 à n° RIMG0184. Un drap maasai est déballé, que le chef suprême va donner à son assistant.

Photographies n° RIMG0185 à n° RIMG0188. D’autres cadeaux passent de main en main : les attachés cases que l'assistant du chef suprême va donner au secrétaire du conseil suprême Jacob Kaaya, puis à son assistant secrétaire Luka, et ensuite au trésorier du conseil suprême Ephata Nnko.

Photographie n° RIMG0189. D’autres cadeaux passent de main en main : les attachés cases que l'assistant du chef suprême va donner au secrétaire du conseil suprême Jacob Kaaya, puis à son assistant secrétaire Luka, et ensuite au trésorier du conseil suprême Ephata Nnko. De gauche à droite : Jacob Kaaya le secrétaire du conseil suprême, tenant son attaché case, son assistant Luka, et en blouson noir le trésorier Ephata Nnko.

Photographies n° RIMG0190 à n° RIMG0194. D’autres cadeaux passent de main en main : les attachés cases que l'assistant du chef suprême va donner au secrétaire du conseil suprême Jacob Kaaya, puis à son assistant secrétaire Luka, et ensuite au trésorier du conseil suprême Ephata Nnko.

Photographie n° RIMG0195 à n° RIMG0196. C'est le tour des cadeaux aux épouses, dont plusieurs sont absentes. L'une d'elle, celle de Luka, s'insère dans le rang pour recevoir son cadeau.

Photographie n° RIMG0197. Jacob Kaaya, le secrétaire du conseil suprême, reçoit un pagne pour sa femme.

Photographies n°RIMG0198 à RIMG0203). Un pagne est apporté, déballé et entouré sur les épaules de la femme de Luka.

Photographies n° RIMG0204 à RIMG0206. Le trésorier Ephata Nnko reçoit à son tour, de deux vieilles femmes, un pagne pour son épouse.

Photographies n° RIMG0207 à RIMG0218. D’autres épouses ou veuves de notables reçoivent divers pagnes.

Photographies n° RIMG0219 à RIMG0226. Jeremiah Issangya, ancien secrétaire général du conseil suprême, reçoit un coupon pour se faire faire un pantalon.

Photographies n° RIMG0227 à RIMG0231. Pui l’épouse de Jeremiah Issangya, reçoit un pagne.

Photographies n° RIMG0232 à n° RIMG0238. Retour à la tribune où le chef suprême et sa femme, le cou orné de colliers de bougainvillées, reçoivent d'autres cadeaux : un gros colis emballé et des colliers de fleurs artificielles.

Photographie n° RIMG0239. Pour le banquet final, le chef suprême et son assistant, avec leurs épouses, s'installent à une tribune à l'intérieur du tribunal de Poli (où le Conseil suprême tient d'habitude ses réunions).

Photographie n° RIMG0240. Découpe de l' "african cake" réservé aux notables.

Photographies n° RIMG0241 à n° RIMG0244. Pour le banquet final, le chef suprême et son assistant, avec leurs épouses, s'installent à une tribune à l'intérieur du tribunal de Poli (où le Conseil suprême tient d'habitude ses réunions).

Photographies n° RIMG0245 à n° RIMG0247. Les invités de marque à l'intérieur du tribunal de Poli.

Photographies n° RIMG0248 à n° RIMG0251. Quelques guerriers posent pour la photographie à l'extérieur du tribunal, avant leur départ.

Absence des photographies n° RIMG0058, RIMG0131 et RIMG0182.

21-22 juin 2010

Photographies n° RIMG0143 à RIMG0144. Homme portant des feuilles de bananiers, Kimundo, 21 juin 2010.
Photographies n° RIMG0145 à RIMG0149. Nkoalisambu Secondary School, C. Baroin avec des collégiennes, Ndoombo, 21 juin 2010.
Photographies n° RIMG0150 à RIMG0152. Cultures et vue sur la plaine, Ndoombo, 21 juin 2010.
Photographies n° RIMG0153 à RIMG0154. Champs avec démarcations, Ndoombo, 21 juin 2010.
Photographie n° RIMG0155. Ornières sur la route de Ndoombo, 21 juin 2010.
Photographies n° RIMG0156 à RIMG0157. Paysages de collines, Shimbumbo, 22 juin 2010.
Photographie n° RIMG0158. Plantation d’un bananier, Shimbumbo, 22 juin 2010.
Photographies n° RIMG0159 à RIMG0160. Portrait d'un vieux chef local de la classe d’âge des Seuri, Kimundo, 22 juin 2010.
Photographies n° RIMG0161 à RIMG0162. Ward Land Tribunal, Kimundo, 22 juin 2010.

04-13 juillet 2010

Photographie n° RIMG0711. Sunday school à l’église AMEC, Ndoombo, dimanche 4 juillet 2010.
Photographie n° RIMG0001. Rivière (Malala ?), Singisi, 5 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0002 à RIMG0006. Funérailles, Akheri, 6 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0007 à RIMG0009. Une institutrice avec ses enfants et C. Baroin, Akheri, 6 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0010 à RIMG0023. Levée de deuil d'un Rwa marié à une Masaï décédé le 5 juillet 2010, à Monduli (pays Masaï), 8 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0024 à RIMG0028. Réunion pour le partage d’un héritage, Akheri, 9 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0029 à RIMG0034. Funérailles, Nkoanrua, 12 juillet 2010.
Photographie n° RIMG0035. Bananiers avant d’être replantés, Akheri, 13 juillet 2010.

AMEC signifie African Methodist Epsicopal Church.

23-30 juin 2010

Photographie n° RIMG0163. Au pied du Mringaringa, Poli, 23 juin 2010.
Photographies n° RIMG0164 à RIMG0166. Le secrétaire du Mringaringa enregistre la contribution des clans aux frais de la prochaine cérémonie d’inauguration du Grand Chef (Nshili nnini), Poli, 23 juin 2010.
Photographies n° RIMG0167 à RIMG0169. Un chef local de clan au bistrot du coin avec un ami, Poli, 23 juin 2010.
Photographie n° RIMG0170. Jeune homme tenant la longue gourde traditionnelle, Kimundo, 23 juin 2010.
Photographies n° RIMG0171 à RIMG0176. Chèvres en abri sur pilotis et préparation du pilau pour une réunion de famille, Akheri, 28 juin 2010..
Photographies n° RIMG0177 à RIMG0179. Chez l'évêque de l'église AMEC d'Akheri, veau mangeant des peaux de banane, Akheri, 29 juin 2010..
Photographies n° RIMG0180 à RIMG0181. Datura stramonium, kimang’wany, plante insecticide, dans le jardin de John Rasia, Patandi, 30 juin 2010.
Photographie n° RIMG0182. « Plante à serpents », ire la shoka, plante insecticide, dans le jardin de John Rasia, Patandi, 30 juin 2010.
Photographie n° RIMG0183. Torrent.

AMEC signifie African Methodist Epsicopal Church.

24-29 juillet 2010

Photographies n° RIMG0263 à RIMG0300. Réception chez le chef suprême des Rwa en remerciement de son inauguration, Kimundo, 24 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0301 à RIMG0311. Meeting du CCM en vue des prochaines élections, Akheri, 26 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0312 à RIMG0315. Entretien d’un canal d’irrigation, vers Seela, 27 juillet 2010.
Photographie n° RIMG0316. Colline cultivée, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0317 à RIMG0319. Enfants et cultures, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0320 à RIMG0325. Meeting du CCM, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0326. Jardin fleuri, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0327 à RIMG0335. Meeting du CCM pour l’élection des « members of parliament », Patandi, 29 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0336 à RIMG0337. L'évêque de l'église AMEC d'Akheri et sa femme, les hôtes de C. Baroin, Patandi, 29 juillet 2010.

Le CCM (Chama Cha Mapinduzi) est le parti unique en Tanzanie.
AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie. Les structures

À l'exception d'un cas, les maisons de Kovačevo n'ont pas été incendiées, ce qui rend leur fouille particulièrement complexe, d'autant que les vestiges ont été retravaillés par l'érosion. La variété des techniques de construction est frappante. Un bâtiment au plan légèrement trapézoïdal exceptionnellement grand avec une surface de 156 m2 date de la deuxième période (Ib) du Néolithique ancien. Les tranchées et trous de poteaux sont bien visibles sur la photographie aérienne générale. Si une partie des habitations est construite à même le sol, d'autres sont aménagées au-dessus d'une fosse faisant office de vide sanitaire, sans doute en raison des conditions humides et pluvieuses de la région, dues au régime climatique méditerranéen. Les sols des habitations sont traditionnellement enduits d'une terre blanche carbonatée, à l'instar du Proche-Orient. Ces enduits sont régulièrement refaits, comme le montre la stratigraphie lorsqu'ils se sont effondrés dans les fosses sous-jacentes. Des espaces étaient ménagés entre les habitations, toutes d'orientation identique. Des fours à voûte et des foyers étaient installés à l'intérieur des bâtiments, pour le chauffage et la cuisson des aliments. Divers autres fosses ont été creusées. Des systèmes de fossés assuraient un drainage. Un puits à eau provient des niveaux du Néolithique moyen et est sans doute l'un des plus anciens connus en Europe. Aucune tombe d'adulte n'a été retrouvée, mais plusieurs tombes d'enfants, dont deux fœtus ou morts nés au fond de poteries, se trouvaient sous ou à côté des maisons. Plusieurs dépôts organisés d'animaux (chien, bucrane de bovidé) paraissent avoir eu une fonction particulière.

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie. Le matériel archéologique

Environ quarante tonnes de matériel archéologique ont été enregistrées sur le site de Kovačevo. La céramique représente plus de 1,6 million de tessons (23 tonnes), lesquels ont été systématiquement enregistrés, sous la responsabilité de Laure Salanova. Une division préliminaire en quatre périodes a été proposée, les deux premières étant antérieures à la culture Karanovo I. Les traitements statistiques détaillés, et notamment la sériation, sont encore en cours. Les décors sont pour l'essentiel peints en blanc sur rouge, mais d'autres techniques minoritaires sont attestées. Une analyse technologique de la poterie a été réalisée par Louise Gomart, et une analyse fonctionnelle par Julien Vieugué, qui a montré en particulier la présence de résidus d'os pilés en bouillie. Outre le matériel de broyage (Hara Prokopiou, Caroline Hamon) et l'outillage poli (Pierre Allard), de provenance locale, le matériel lithique comprend l'abondant mais ingrat quartz local (Frédéric Abbès), et le silex provenant des Rhodopes, à environ 50 à 100 km de distance ; il est étudié à la fois du point de vue technologique et typologique (Pierre Allard, Raphaële Guilbert), et tracéologique (Maria Gurova). L'outillage osseux (Isabelle Sidéra) montre d'incontestables affinités avec l'Anatolie, tant dans les formes (cuillers, crochets) que dans les techniques. La parure utilise le marbre, le coquillage, l'os, les roches tenaces et l'argile et comprend surtout des bracelets, des perles et de pendentifs. Les figurines humaines, surtout féminines, sont en argile, rarement en marbre, et systématiquement brisées ; les figurines animales sont rares et plus sommaires. On note aussi des sceaux en argile (pintadéras, la plus importante collection des Balkans) et de petites tables en argile dites « autels ». Parmi la faune, étudiée par Norbert Benecke, les animaux domestiques dominent largement (95%), et comprennent à leur tour 80 % de moutons et chèvres, espèce non indigène en Europe. Les restes végétaux (Elena Marinova) indiquent la culture des céréales, mais aussi d'autres plantes, comme la gesse.

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie. L'Equipe

Le choix a été dès le début de faire une mission « lourde », d'au minimum deux mois par ans, totalisant en 25 années près de 55 mois de présence sur place. Ce fut la première mission archéologique française en Bulgarie depuis le début du XXe siècle, et la plus importante en cours dans un pays de l'Europe centrale ou orientale. Le cadre institutionnel est franco-bulgare, associant le CNRS, l'Université de Paris I, le ministère français des Affaires étrangères (principal financeur), l'Institut archéologique de l'Académie bulgare des sciences et le Musée historique de Blagoevgrad. Les responsables de la mission sont Marion Lichardus et Jean-Paul Demoule du côté français, et actuellement Liliana Perničeva et Vasil Nikolov du côté bulgare, ainsi que Malgoržata Grębska-Kulova et Lilijana Kulov. Le site a été aussi pendant ces 25 ans une école de fouille aux activités très complètes et environ 200 étudiants de différents niveaux et de différentes universités, françaises et étrangères, s'y sont succédés. La main d'œuvre ouvrière, composée à l'origine de lycéens organisés en « brigades » a été remplacée à partir de 1990 par des ouvriers salariés. L'ensemble du personnel mobilisé pour chaque campagne de fouille comptait donc couramment un minimum d'une cinquantaine de personnes, étudiants et chercheurs étant logés dans une vaste base de fouille, un bâtiment scolaire réhabilité, dans le village de Katunci. Les changements politiques, dans une zone à l'origine très sensible, car frontalière et très contrôlée, ont sensiblement amélioré les conditions de vie sur place, et plus encore depuis que la Bulgarie a rejoint l'Union européenne. Des chercheurs de nombreuses institutions participent à l'étude du matériel recueilli, dont les UMR 7041 (Nanterre), 7055 (Nanterre), 7209 (Museum), 6130 (Nice), 5809 (Bordeaux), 5594 (Valence), 5133 (Lyon) du CNRS, le Deutsches Archäologisches Institut (Berlin), l'Université catholique de Louvain (Institut des sciences archéologiques), la Frei Universität de Berlin (Institut de chimie anorganique), l'Institut archéologique de l'académie slovaque des sciences, le Musée d'Histoire naturelle de Sofia, l'Institut de géophysique de l'Académie bulgare des sciences.

05-09 juin 2010

Photographies n° RIMG0050 à RIMG0057. Défilé, Arusha, samedi 5 juin 2010.
Photographies n° RIMG0058 à RIMG0068. En famille chez les Indiens, Arusha, 6 juin 2010.
Photographies n° RIMG0069 à RIMG0076. Chez l'évêque de l’église AMEC d’Akheri, Akheri, 7 et 8 juin 2010.
Photographies n° RIMG0077 à RIMG0083. L'évêque de l’église AMEC d’Akheri avec ses vaches et ses ruches dans les arbres, Kikwe, 9 juin 2010.

AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

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