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19. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme lavant son riz dans une canalisation, village de Nojiri , Nagano
22. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une paysanne avec un tapis en paille du riz (mushiro) à Arashiyama, banlieue de la ville de Kyoto
23. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Paysannes du nord de la ville devant le temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
Trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs
Trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs
30. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Le même char vu de côté : fête de Gïon, ville de Kyoto
31. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Des repiqueuses lors de la fêtes du repiquage du riz, à Mukômachi, ville voisine de Kyoto
02. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. Au matin, les deux villageois Kazakh de Berel' qui ont gardé la fouille pendant la nuit rentrent chez eux. Ils montent de petits chevaux qui s'élancent facilement au galop dans la steppe herbue qui pousse à 1 200 m d'altitude
04. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. Au printemps, si l'on porte le regard vers l'ouest, au-delà d'un défilé de la Bukhtarma, on peut voir la ligne de crêtes enneigées des monts Tarbagatay qui forment la frontière avec la RPC. Au premier plan, le kourgane en pierre (23 m de diamètre), dégagé sur son pourtour. En son centre, la fouille est couverte d'une protection en charpente de bois et bâche
Fouilles d'un kourgane gelé sur le site de Berel'
Fouilles d'un kourgane gelé sur le site de Berel'
06. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Une des tranchées qui avaient permis de localiser la fosse funéraire en automne 1998 en observant une partie de la construction de pierre a été réouverte au printemps 1999. La couverture a permis de maintenir le chantier à l'abri
11. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Sébastien Lepetz (CNRS) examinant le rapport entre les crânes des chevaux C et D, alors que les ornements sont encore en place
12. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Sortie du sarcophage de la fosse protégé par du plastique bulle et des planches. Il a été halé à la main sur des planches huilées
Fouilles des blocs gelés à Almaty
Fouilles des blocs gelés à Almaty
16. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Examen d'un organe fraîchement prélevé sur un corps de cheval. Parasitologie, bactériologie, virologie, génétique sont au programme. 40 kg d'échantillons de chevaux ont été rapportés en France (Institut de Pathologie du cheval de l'AFSSA-Dozulé, INRA, Ecole Nationale Vétérinaire de Maison -Alfort)
25. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Cette plaque pendentif est sculptée en forme de deux têtes d'élans adossées aux oreilles énormes et aux bois en palette festonnées, que surmonte un élan en relief à la tête rapportée et aux bois lobés. Un tel ornement se place nettement dans la lignée de représentations d'élans des cultures archéologiques de la Sibérie du sud et de la Mongolie occidentale de l'âge du bronze
28. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de félin dorée placée au-dessus d'un motif ajouré fait de deux têtes d'élans très stylisées. Ce félin qui semble garder les yeux mi-clos sous son voile d'or, dresse vers l'avant ses deux oreilles dont les pavillons dessinent des crosses. Un tel motif est d'origine plutôt chinoise et rappelle certains bronzes de l'époque contemporaine des Royaumes Combattants (Zhou Orientaux)
L'architecture rurale
L'architecture rurale
01. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un village de pêcheurs, près de la ville d'Aïkawa, l'île de sado, Niîgata
04. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un toit recouvert de pierres d’une maison de pêcheurs, près de la ville d’Aïkawa, île de Sado, Niïgata
07. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval de portage, à Furuma, auprès du lac de Nojiri, Nagano
09. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un boeuf de portage, auprès du temple bouddhiste de Myosenji, ville d'Aïkawa, île de Sado, Niïgata
13. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Des tatamis et un coussin
15. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le cadre de la couverture sur le foyer
Les costumes
Les costumes
21. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme rentrant de la cueillette à Ninokura, village situé à 1 km sud-ouest de Kashiwabara, Nagano
28. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le temple shintoïste de Yasaka (Giön) : au premier plan, le bâtiment de danse sacrée et, derrière, le temple principal. Ville de Kyoto
29. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un char en train de changer de direction : fête de Gïon, ville de Kyoto
33. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un prêtre shintoïste, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
04. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 1
09. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 4
10. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 1
Prière et narguilé
Prière et narguilé
Souk al Goma
Souk al Goma
Les couleurs d'Alexandrie (Egypte). Vélos et carrosseries
Les couleurs d'Alexandrie (Egypte). Vélos et carrosseries
Les couleurs d'Alexandrie (Egypte)
Les couleurs d'Alexandrie (Egypte)
02. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 2
17. Les couleurs d’Alexandrie. Prière et narguilé. Ce que je viens faire à Alexandrie, c’est de l’archéologie, des campagnes photographiques sur les sites terrestres ou les sites sous-marins, ainsi que des campagnes photographiques au Musée Gréco-Romain . Alors quand vient le vendredi, le jour du repos, comment encore faire des photographies de cette Egypte ancienne ? Photo 2
Voiles et toiles étoilées
Voiles et toiles étoilées
05. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 2
07. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 1
08. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 2
13. Les couleurs d’Alexandrie. Stop ! Quand je sors du tunnel, après avoir traversé Paris sous terre, je longe sur le campus, les bâtiments A, B,C, D. Alors quand je reviens à Alex, il se produit comme une métamorphose. Je retrouve le soleil, la lumière, les couleurs, et je quitte la peau d’André Pelle pour redevenir Dédé d’Alex
14. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu, jaune, rouge. Je suis persuadé que l’œil, le regard, bénéficient dans les premiers jours d’un moment privilégié, un moment d’étonnement - l’impression d’avoir un œil neuf. C’est à ce moment que les images sont le plus évidentes, après vous passerez à côté sans les voir !
16. Les couleurs d’Alexandrie. Prière et narguilé. Ce que je viens faire à Alexandrie, c’est de l’archéologie, des campagnes photographiques sur les sites terrestres ou les sites sous-marins, ainsi que des campagnes photographiques au Musée Gréco-Romain . Alors quand vient le vendredi, le jour du repos, comment encore faire des photographies de cette Egypte ancienne ? Photo 1
22. Les couleurs d'Alexandrie. Voiles et toiles étoilées. Presque timidement je commencerai par les grandes artères pour m’engager ensuite dans des ruelles plus populaires. Ce que je recherche ? c’est simplement de la couleur ou des formes dans un faisceau de lumière
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