03. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. La source salée de Sosiga est utilisée localement pour imprégner des végétaux sauvages comestibles
09. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après avoir été réduites en poudre, les concrétions salées sont humidifiées et agglomérées en pains cylindriques chez les Moni ou quadrangulaires chez les Dani
12. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jeune guerrier Dani de l’Ouest, non marié, soignant son affichage. Les pains de sel lui serviront à participer aux échanges et aux paiements compensatoires
13. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Paysage (et jardins) du pays baruya (Eastern Highlands, Papouasie Nouvelle-Guinée)
30. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Moldavie. Consommation à l’étable de fourrage préalablement arrosé de saumure naturelle
07. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Les plantes, gorgées de sel par trempage, sont brûlées sur un bûcher de bois durs produisant peu de charbons de bois
08. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après combustion, les petites concrétions salées sont triées minutieusement une par une, parmi les charbons de bois et la cendre
11. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Production de pains de sel pour 1 homme après 15 jours d’exploitation
16. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après coupe et séchage, les plantes à sel sont regroupées en meule avant combustion
18. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Le spécialiste baruya filtre les cendres salées à l’eau douce pour en tirer une saumure concentrée