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Inventaires
Série organique Français
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Organisation des fouilles et correspondance

Les dossiers de correspondance et d'organisation des fouilles sont rangés pour la plupart de façon chronologique. Les années 1931 à 1950 sont réunies en un seul dossier qui correspond à la correspondance des six premières campagnes et aux années d'interruption des fouilles entre 1939 et 1950. Deux dossiers supplémentaires accompagnent ce premier dossier : l'un au sujet de l'organisation du transport par voie maritime pour les six premières campagnes et l'autre concernant l'accident mortel de deux membres de la mission. A l'intérieur des dossiers suivants (de la septième campagne à la vingtième campagne), le classement est thématique puis chronologique et pour quelques dossiers, alphabétique puis chronologique.
Entre les dossiers de campagne de fouilles s'intercale la correspondance des années sans campagne de fouilles : de 1939 à 1950, de 1955 à 1959 et de 1967 et 1973.
Un dossier d'inventaires et catalogues d'objets pour le partage des objets issus des fouilles de Mari entre les musées nationaux d'Alep ou de Damas et le musée du Louvre à Paris, clôture cet ensemble.
Absence de dossier de correspondance et organisation des fouilles pour la vingt et unième campagne de l'automne 1974.

Documentation

  • FA70-FA73, FA74/1-FA74/2, FA75/1-FA75/2, FA77/1-FA77/2, FA78, FA79/1-FA79/2, FA80/1-FA80/2, FA81, FA82/1-FA82/2, FA83-FA89, FA90/1-FA90/2, FA91-FA98, FA99/1-FA99/2, FA100-FA106, FA107/1-FA107/2
  • Série organique
  • 1964-2006
  • Fait partie de Françoise Audouze. Ethnologie préhistorique

Direction de la revue "Les Nouvelles de l'archéologie"

La revue " Les Nouvelles de l'Archéologie " a été créée en 1979 par la Fondation de la Maison des sciences de l'homme. Anick Coudart, Jean-Paul Demoule et Jean-Paul Farrugia font partie des membres fondateurs. Entre 1985 et 1988, puis de 1993 à 2001, Anick Coudart est directrice de la publication. Dans l'éditorial du premier numéro intitulé "Pourquoi Les Nouvelles de l'Archéologie ?", le comité de rédaction de la revue définit les raisons de sa création : "L'information scientifique est en crise. A travers la multiplicité des institutions et le foisonnement des centres de recherche, la communication se fait mal, en archéologie, peut-être plus qu'ailleurs. Dispersés entre des établissements aux statuts fort divers, éloignés des centres de décision du fait même de leurs activités de terrain, les archéologues français qu'ils travaillent en métropole ou à l'étranger sont souvent mal informés des procédures administratives financières et autres qui régissent leur discipline. Bien plus, l'information scientifique, qu'il s'agisse de l'organisation de congrès, de tables rondes, des politiques de financement ou de recrutement est souvent peu accessible. "Les Nouvelles de l'Archéologie" chercheront à répondre à ce besoin d'information et de communication" ("Les Nouvelles de l'Archéologie", n°0, juillet 1979, p.4). Mais dès les années 80, la revue n'a pas seulement un rôle de promotion de l'information scientifique et de coordination entre les différentes composantes de l'archéologie (archéologie métropolitaine, archéologie étrangère et archéologie française à l'étranger). Elle est également un lieu de réflexion sur la discipline archéologique elle-même : ses objectifs, ses pratiques, son organisation, ses évolutions. Elle est aussi un lieu de débat scientifique et politique entre archéologues, professionnels ou bénévoles, étudiants, chercheurs de disciplines connexes. Elle est enfin un interlocuteur des institutions qui gèrent l'archéologie française. Jusqu'en 1981, la Fondation de la Maison des sciences de l'homme assure seule le financement de la revue alors que sa production est réalisée par des chercheurs bénévoles. A partir de 1982, des subventions du Ministère de la Culture (Sous-direction de l'archéologie) et du Ministère des Affaires étrangères sont obtenues. La parution du numéro 12 à l'été 1983 marque la fin de la gratuité des " Nouvelles de l'Archéologie ". Puis, en 1988, un contrat est signé entre les Editions Errances et la Fondation de la Maison des sciences de l'homme. La revue reste alors sous la responsabilité du Comité de rédaction mais les éditions Errances prennent en charge sa production et sa diffusion. Une nouvelle formule éditoriale est alors mise en œuvre. Dès l'origine, la revue est conçue en deux parties : la première partie comprend généralement un dossier sur un thème d'actualité proposé par un ou deux rédacteurs. Leur éditorial est suivi de divers articles relatifs au thème choisi ; la deuxième partie est consacrée à la diffusion d'informations sur des thèmes variés : enseignement et formation ; organisation et conduite de la recherche ; financement ; débouchés, emplois, nominations, distinctions ; actualités, recherches en cours ; colloques, congrès, tables rondes ; publications ; vulgarisation, diffusion, audiovisuel, site Internet ; expositions ; informations administratives. Anick Coudart a participé activement au fonctionnement de cette revue, tant sur le plan scientifique qu'administratif, comme en témoignent les dossiers qu'elle a constitués entre 1980 et 2003.

Correspondance

Lettres, courriels, télécopies, notifications de crédits, conventions, demandes et autorisations de sortie d’échantillons archéologiques, circulaires, formulaires, curriculum vitae, attestations, lettres de candidature, invitations.
Présence d’un contrat d’auteur (2004), d’une candidature à l’appel d’offres Syrie-Jordanie lancé par le département SHS du CNRS (2006) et de comptes rendus de réunion (2011).
Présence de 2 courriers plus anciens (1984, 1989) à la cote LB80.

LB80. Années 1993-2002.
LB81. Années 2003-2012.

Cours et conférences

Après une première thèse intitulée "Habitations gauloises et villas latines de la cité des Médiomatrices", soutenue en 1906 à l’École des hautes études, Albert Grenier est maître de conférence en Grammaire antique à la Faculté des Lettres de Nancy. Il prépare alors sa thèse de doctorat sur la protohistoire de Bologne. Entre 1914 et 1918, Albert Grenier est mobilisé en tant qu'officier d'infanterie. Après la guerre, en 1919, la chaire d'antiquités gallo-romaines et rhénanes est créée pour lui à la Faculté des Lettres de l'Université de Strasbourg. Albert Grenier y enseignera jusqu'en 1935. Quelques manuscrits de cours ainsi que des notes de travail témoignent de ses premières années d'enseignement entre 1919 et 1925. En 1935, Albert Grenier occupe la chaire d'antiquités nationales au Collège de France, rétablie pour lui après la mort de Camille Jullian. Parallèlement, il assure la direction de la section Antiquités de la Gaule celtique et romaine à l’École des hautes études. Il mènera ce double enseignement jusqu'en 1945, à Paris et à l'Université de Montpellier où la chaire du Collège de France est transférée durant la seconde guerre mondiale. Les textes de cours conservés couvrent les années d'enseignement au Collège de France et l'année 1932-1933 durant laquelle Camille Jullian, alors malade, demande à Albert Grenier de le suppléer.

Organisation de la recherche archéologique

A la suite de la "loi Carcopino" (1941) relative à la réglementation de l'archéologie en France, le CNRS est chargé de la nouvelle organisation des fouilles et des publications. Pour cela, sont créés le Comité technique de la recherche archéologique en France, la XVe Commission du CNRS et la revue "Gallia". Ces trois organes sont présidés par Albert Grenier. C'est dans le cadre de cette nouvelle organisation de l'archéologie qu'en 1949, le CNRS demande à Albert Grenier de mener une enquête sur l'activité et l'orientation scientifique des sociétés académiques ou savantes intéressées par l'archéologie et la Préhistoire. L'objectif de cette enquête est de fixer à l'échelon national, l'état de l'activité scientifique et d'offrir un soutien aux Sociétés. Les courriers échangés avec les directeurs des circonscriptions ainsi que les questionnaires remplis par les sociétés savantes constituent la plus grande part des documents conservés.

Codirection de la Mission archéologique franco-syrienne de Khirbet el Umbashi (Syrie)

  • FB80/1-FB80/5, FB81-FB83, FB84/1, FB84/2/1-FB84/2/6, FB84/3, FB85-FB86, FB90-FB94, FB100-FB107, FB108/1-FB108/6, FB109-FB111, FB120-FB131, FB136/1-FB136/22, FB137/1-FB137/11, FB138/1-FB138/11, FB139/1-FB139/3, FB140/1-FB140/3, FB150/1-FB150/12, FB151/1-FB151/16, FB152/1-FB152/2, FB153/1-FB153/14, FB154/1-FB154/38, FB155/1-FB155/23, FB156/1-FB156/10, FB157/1-FB157/9, FB158/1-FB158/12, FB162-FB164, FB170-FB172, FB180-FB191, FB200-FB204, FB210-FB213
  • Série organique
  • 1933-2002
  • Fait partie de Frank Braemer. Archéologie du Proche-Orient hellénistique et romain

Mission archéologique franco-syrienne de Khirbet el Umbashi

Dossiers d'étude

  • ARLG10/1-ARLG10/4, ARLG11/1-ARLG11/2, ARLG12/1-ARLG12/4, ARLG13/1-ARLG13/4, ARLG14/1-ARLG14/6, ARLG15/1-ARLG15/2, ARLG20/1-ARLG20/6, ARLG21/1-ARLG21/2, ARLG22/1-ARLG22/2, ARLG23-ARLG25, ARLG26/1-ARLG26/9, ARLG27, ARLG28/1-ARLG28/7, ARLG29/1-ARLG29/2, ARLG30, ARLG31/1-ARLG31/6, ARLG32-ARLG33, ARLG40/1-ARLG40/3, ARLG45/1-ARLG45/5, ARLG46/1-ARLG46/4, ARLG47/1-ARLG47/4, ARLG48-ARLG49, ARLG50/1-ARLG50/3, ARLG51
  • Série organique
  • 1883-2001
  • Fait partie de Arlette Leroi-Gourhan. Ethnologie préhistorique

Missions d'étude

  • MLI69, MLI70/1, MLI70/2/1-MLI70/2/5, MLI70/3, MLI71/1/1-MLI71/1/2, MLI71/2/1-MLI71/2/19, MLI73/1-MLI73/2, MLI74/1-MLI74/2, MLI75/1/1-MLI75/1/14, MLI75/2/1-MLI75/2/14, MLI76, MLI77/1/1-MLI77/1/14, MLI77/2-MLI77/3, MLI78/1/1-MLI78/1/5, MLI78/2, MLI79, MLI80/1/1-MLI80/1/8, MLI80/2, MLI81/1-MLI81/3, MLI82-MLI183, MLI84/1-MLI84/2
  • Série organique
  • 1981-2000
  • Fait partie de Marie-Louise Inizan. Préhistoire et technologie

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