16. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après coupe et séchage, les plantes à sel sont regroupées en meule avant combustion
18. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Le spécialiste baruya filtre les cendres salées à l’eau douce pour en tirer une saumure concentrée
19. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Filtrage des cendres dans des courges munies de bouchons en mousse et récupération de la saumure dans de longs bambous
20. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Cuisson de la saumure dans un long fourneau à tunnel durant 5 jours et 5 nuits jusqu’à obtention de longues barres de sel
22. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Fouille archéologique d’un ancien fourneau abandonné et intégré dans un jardin
25. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Moldavie. Approvisionnement et transport de la saumure naturelle de la source de Lunca
28. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Moldavie. Les bergeries estivales sont très fréquentes près des sources salées
06. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jeune pousse spongieuse sauvage utilisée par les Dani de l’Ouest pour l’extraction du sel
10. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Les pains devront sécher pendant plusieurs semaines avant d’être transportés
14. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Source fortement minéralisée en amont des jardins à sel baruya