Affichage de 46 résultats

Inventaires
Dossier Image
Aperçu avant impression Affichage :

46 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Grotte du Lagopède

Diapositives 1 à 4. Courbes de niveau au début (clichés A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositives 5 à 9. Sondage Ouest (clichés A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositives 10 et 11. Vue générale avec foyer (clichés A. Vila, 1962).
Diapositive 12. Vue générale (cliché A. Vila, 1962).
Diapositive 13. Vue générale (cliché A. Leroi-Gourhan, 1963).
Diapositives 15 à 20. Fin du sondage et coupe (clichés A. Vila, 1963).
Diapositive 21. Niveau II et coupe (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositives 22 et 29. Couche 3, F26 (clichés A. Vila, 1963).
Diapositive 30. Couche 3, F26-27 (clichés A. Leroi-Gourhan, 1963).
Diapositive 31. Couche III, foyer F26 (cliché A. Vila, 1963).
Diapositive 32. Couche III, foyer F25-26 (cliché A. Vila, 1963).
Diapositives 33 à 42. Couche D, F26 (clichés A. Vila, 1963).

Grotte du Lion

Diapositive 1. Sol dégagé avant le début des fouilles (cliché A. Leroi-Gourhan, s.d.).
Diapositives 2 à 4. Tranchée d’exploration (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositive 5. Sol de la falaise (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 6 à 9. Tranchée d’exploration (clichés A. Vila, 1961).
Diapositives 10 à 17. A28-29, coupe du chemin et plaquettes (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 18 et 19. A39, décapage (clichés A. Vila, 1961).
Diapositive 20. Coupe à -92 (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 21 à 23. A39, -145, coupe jusqu’aux sables (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositive 24. Sol de A39 (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositive 25. A-B30-34, -312, bloc de remblai (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 26 et 27. A-B30-34, blocs de remblai (clichés A. Vila, 1961).
Diapositives 28 et 29. A-B32-33, fond de la tranchée (clichés A. Vila, 1961).

Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan

L’exposition a été conçue et réalisée par André Pelle (MAE, UMS 844) durant l'hiver 2000-2001.
Les textes et légendes sont d’Arlette Leroi-Gourhan et d’Ichiro Yamanaka.
Les auteurs des tirages photographiques sont Martine Esline et Serge Oboukhoff (MAE, UMS 844).

Texte d'introduction d'Arlette Leroi Gourhan et d’Ichiro Yamanaka
" C’est en mars 1937, après un mois de navigation, qu’André et Arlette Leroi-Gourhan arrivent à Kobé avec, en poche, une bourse d’étudiant obtenue du Japon. Ils vont parcourir toutes les îles, des grandes forêts du Hokkaïdo aux volcans du Kiou Siou. Les japonais voyageaient alors beaucoup, grâce à des petites lignes de chemins de fer complétées par un vaste réseau d’autobus ; les auberges étaient nombreuses. André Leroi-Gourhan qui lisait le chinois, devait maintenant apprendre à lire les mêmes signes en japonais et, surtout le parler. Sur une colline de Kyoto, notre maison dominait les grands toits des temples shintoïstes ou bouddhistes et les ruelles de la vieille ville. A cette époque, les fouilles préhistoriques étaient peu développées et c’est surtout en tant qu’ethnologue qu’André Leroi-Gourhan, particulièrement attiré par les techniques, prendra des certaines de photos. Les maisons dont les toits changent d’une région à l’autre, les détails concernant les pilotis, comme sous notre maison de Nojiri, les installations intérieures avec les différents murs à glissières, la richesse architecturale des temples, qu’ils soient parmi les plus importants ou perdus dans la forêt, les constructions de minuscules ponts de bois dans les rizières. Chaque détail était objet de réflexion. Le harnachement des chevaux l’a, par exemple, beaucoup étonné par sa diversité : très différent sur l’animal de prestige, celui qui court pour un temple, le cheval déifié en bronze grandeur nature ou celui qui travaille dans les rizières. Si, en 1937, Tokyo était déjà influencé par l’Occident, il n’était pas pensable à Kyoto de rencontrer une femme ne portant pas le kimono et, dans la plus grande partie du pays, les traditions restaient très vivaces. Sur le bateau du retour, André Leroi-Gourhan s’était fixé un nombre d’heures de travail journalier pour rédiger, à chaud, l’apport de ces deux années d’exploration du mode de vie japonais et les questions qu’il soulevait. Nous étions en mai 1939, après 1945, tout écrit sur le Japon fut interdit et le manuscrit inachevé se retrouva au fond d’un tiroir. C’est en partie celui qui, 62 ans après, accompagnera les photos prises à l’époque.

Après la parution de son premier ouvrage, la civilisation du renne ( 1936), une bourse de deux ans au Japon est proposée à André Leroi-Gourhan. C’est ainsi qu’il quitte avec sa jeune femme Marseille le 12 mars 1937. Leur bateau fait escale à Naples (Pompeï), Port-Saïd, Ceylan, Singapour, et Hong-Kong, puis à Shanghai. Ils arrivent finalement au Japon, le 19 avril. Ils choisissent de séjourner à Kyoto et s’installent sur la colline de Kujosan ; dans une maison dont les fenêtres dominent la ville, ancienne capitale du pays du Soleil Levant. C’est l’époque où une nouvelle discipline naît : l’ethnologie. Leroi-Gourhan essayera de saisir les apports offerts par les nouvelles façons de voir de cette science au Japon. Ils passent leur premier été, en juillet- août 1937, au bord du lac de Nojiri, juste au nord de la ville de Nagano, dans un coin montagnard du Japon central. C’est autour de leur maison estivale qu’il récoltera des documents sur la vie agricole. Puis, en septembre 1937, le couple partira sur l’île de Sado où André Leroi-Gourhan observera des hameaux de pêcheurs. Kyoto et Nara sont deux anciennes villes qui gardent, encore en ce temps-là, la belle tradition japonaise. C’est principalement dans cette région que Leroi-Gourhan prends de nombreuses photos des fêtes, des actes religieux, de la vie cérémonielle ainsi que quotidienne, et les techniques. Ils célèbrent le Nouvel An de 1938 dans le village montagnard de Daïsenji, tottori, dans le Honshu de l’ouest. A.Leroi-Gourhan va ensuite à Matsuë dans le département voisin de Tottori, et dans l’île de Kyushu : Fukuoka, Dazaifu, Kumamoto, où il gravit le célèbre volcan en activité d’Aso, en mars 1938. Au cours de l’été 1938, le couple part à Gifu et à Nagoya, dans le Honshu du centre, puis, au mois d’août et septembre, voyage au Hokkaïdo, le pays des Aïnous. Pour le Nouvel An de 1939, ils reviennent dans le village enneigé de Daïsenji. En dehors de ces voyages, A.Leroi-Gourhan doit aller plusieurs fois à Tokyo. Il y étudie, en juillet 1937, les collections archéologiques à l’Institut d’Anthropologie de l’Université Impériale de Tokyo, participe, en janvier 1938, aux fouilles à l’amas de coquille de Kami, attribué à l’époque Jomon, et négocie enfin avec l’Association pour l’Avancement de la Culture Internationale qui lui demande d’organiser l’exposition sur « L’ethnologie du Japon » au Musée de Trocadéro à Paris. Il s’agit d’une manifestation de propagande du pays à l’occasion des Jeux Olympiques de 1940 qui devaient avoir lieu à Tokyo. C’est ainsi qu’il parcouru le Japon, notant la variété de la richesse des formes dans les différentes provinces. Pour les détails techniques, les nombreuses photos – plus de 1600 en fait- , plus explicites qu’un texte, ont précédé l’observation et l’analyse. L’étude des objets, jointe à la possibilité de noter les gestes qui accompagnaient leur fabrication et leurs usages, a élargi cette voie nouvelle qui permettait de lier l’ethnologie à la préhistoire. Dans un milieu naturel inchangé depuis 2000ans, le Japon avait conservé ses techniques ancestrales. Cela permit à A. Leroi-Gourhan de rassembler une importante documentation sur les éléments marquant des méthodes traditionnelles. Les ouvrages de L’homme et la matière, puis, Milieu et techniques qu’il publiera en 1943 et en 1945 doivent beaucoup aux documents enregistrés au Japon. Les événements de l’année 1939 le forcent à un inévitable retour en France, bouleversant des mois de travail. Mais il subsiste malgré tout cette importante documentation photographique encore utilisable de nos jours."

Mobilier

Diapositives 01-02. Dharih 1992, V1, Autel 8.243. .
Diapositives 03-04. Dharih 1996, V1, bétyle 8.242.
Diapositive 05. Dharih 1987, bloc DH87 sur 1 trouvé en ?, Ifapo.FV.71.35.
Diapositive 06. Dharih 1998, S2.BB20.D2, fragment petit autel marbre, face.
Diapositives 07-09. Dharih 1998, S2.CC.9.148, statuette marbre.
Diapositives 10-11. Dharih 2004, S10D, bloc 12.204, table offrande.
Diapositive 12. Dharih 2001, xxxD1, reliquaire en marbre (provenance : remblais de la rampe est) vu de dessus.
Diapositive 13. Dharih 2001, xxxD1, reliquaire en marbre (provenance : remblais de la rampe est) vu de côté.
Diapositive 14. Dharih 1985, S3.F.P8, bloc à rainures, Ifpo-FV-71-34.

Objets des tombes de l'âge du Bronze

Sélection de tirages papier des planches originales de dessins d'objets correspondant aux objets découverts dans la tombe 641 de Munhata.
Présence de dessins d'objets provenant des tombes 1001 et 1002 du site de O. Bira.
Ces tirages numérotés de 1 à 15, correspondent respectivement aux planches n° 50, 52, 55 à 64, 68, 70 et 72.

Planches photographiques isolées

Planche 1. Figures 3 et 4 non légendées de la chronique Vaufrey (s.d.).
Planche 2. Assemblage de tirages non légendé (s.d.).
Planche 3. Arcy, H, chantier en D9-10, Karst A-Z 12-13 (1955).
Planche 4. Arcy H 56-9, E-F-G-10 ; Arcy 56, H10-11, F9-E-F-10, surface du IV B6, coupe de B2-3-4-5 ; Arcy H 56-12-13, E-F-10, décapage IV B6 ; Arcy, H 56-14, E-F10, IV B6, décapage ; Grotte de l’Hyène (1956).
Planche 5. Planche non légendée (s.d.).
Planche 6. F9 au fond, décapage en D9-10, E9-10, surface du IVb6 ; suçoir en E10 ; suçoir en E9, détail ; suçoir en E9, vue générale ; vue de la coupe en E8 (1955).
Planche 7. Grotte de l’Hyène, décapage du IV b1 en F8 ; vue générale F9-F8-E8 ; coupe en F9 après enlèvement du IV a ; F9, coupe, terrier au centre, le décapage est arrêté sur le IV b1 (1955).
Planche 8. Planche non légendée (s.d).
Planche 9. Détail du Karst (plancher) en Y12 ; Karst en Y10-11-12 ; coupe des sables et galets en Y11-12 ; sondage paroi karst Y11-12 ; paroi Nord du sondage en Y-Z-A-12-13 (1955).
Planche 10. Planche non légendée (s.d.).
Planche 11. Planche-contact non légendée (s.d.).

Les planches ne portent ni numéro de négatif ni mention d’auteur.

Résultats 21 à 30 sur 46