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23-30 juin 2010

Photographie n° RIMG0163. Au pied du Mringaringa, Poli, 23 juin 2010.
Photographies n° RIMG0164 à RIMG0166. Le secrétaire du Mringaringa enregistre la contribution des clans aux frais de la prochaine cérémonie d’inauguration du Grand Chef (Nshili nnini), Poli, 23 juin 2010.
Photographies n° RIMG0167 à RIMG0169. Un chef local de clan au bistrot du coin avec un ami, Poli, 23 juin 2010.
Photographie n° RIMG0170. Jeune homme tenant la longue gourde traditionnelle, Kimundo, 23 juin 2010.
Photographies n° RIMG0171 à RIMG0176. Chèvres en abri sur pilotis et préparation du pilau pour une réunion de famille, Akheri, 28 juin 2010..
Photographies n° RIMG0177 à RIMG0179. Chez l'évêque de l'église AMEC d'Akheri, veau mangeant des peaux de banane, Akheri, 29 juin 2010..
Photographies n° RIMG0180 à RIMG0181. Datura stramonium, kimang’wany, plante insecticide, dans le jardin de John Rasia, Patandi, 30 juin 2010.
Photographie n° RIMG0182. « Plante à serpents », ire la shoka, plante insecticide, dans le jardin de John Rasia, Patandi, 30 juin 2010.
Photographie n° RIMG0183. Torrent.

AMEC signifie African Methodist Epsicopal Church.

24-29 juillet 2010

Photographies n° RIMG0263 à RIMG0300. Réception chez le chef suprême des Rwa en remerciement de son inauguration, Kimundo, 24 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0301 à RIMG0311. Meeting du CCM en vue des prochaines élections, Akheri, 26 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0312 à RIMG0315. Entretien d’un canal d’irrigation, vers Seela, 27 juillet 2010.
Photographie n° RIMG0316. Colline cultivée, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0317 à RIMG0319. Enfants et cultures, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0320 à RIMG0325. Meeting du CCM, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0326. Jardin fleuri, Seela, 27 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0327 à RIMG0335. Meeting du CCM pour l’élection des « members of parliament », Patandi, 29 juillet 2010.
Photographies n° RIMG0336 à RIMG0337. L'évêque de l'église AMEC d'Akheri et sa femme, les hôtes de C. Baroin, Patandi, 29 juillet 2010.

Le CCM (Chama Cha Mapinduzi) est le parti unique en Tanzanie.
AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie. Les structures

À l'exception d'un cas, les maisons de Kovačevo n'ont pas été incendiées, ce qui rend leur fouille particulièrement complexe, d'autant que les vestiges ont été retravaillés par l'érosion. La variété des techniques de construction est frappante. Un bâtiment au plan légèrement trapézoïdal exceptionnellement grand avec une surface de 156 m2 date de la deuxième période (Ib) du Néolithique ancien. Les tranchées et trous de poteaux sont bien visibles sur la photographie aérienne générale. Si une partie des habitations est construite à même le sol, d'autres sont aménagées au-dessus d'une fosse faisant office de vide sanitaire, sans doute en raison des conditions humides et pluvieuses de la région, dues au régime climatique méditerranéen. Les sols des habitations sont traditionnellement enduits d'une terre blanche carbonatée, à l'instar du Proche-Orient. Ces enduits sont régulièrement refaits, comme le montre la stratigraphie lorsqu'ils se sont effondrés dans les fosses sous-jacentes. Des espaces étaient ménagés entre les habitations, toutes d'orientation identique. Des fours à voûte et des foyers étaient installés à l'intérieur des bâtiments, pour le chauffage et la cuisson des aliments. Divers autres fosses ont été creusées. Des systèmes de fossés assuraient un drainage. Un puits à eau provient des niveaux du Néolithique moyen et est sans doute l'un des plus anciens connus en Europe. Aucune tombe d'adulte n'a été retrouvée, mais plusieurs tombes d'enfants, dont deux fœtus ou morts nés au fond de poteries, se trouvaient sous ou à côté des maisons. Plusieurs dépôts organisés d'animaux (chien, bucrane de bovidé) paraissent avoir eu une fonction particulière.

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie. Le matériel archéologique

Environ quarante tonnes de matériel archéologique ont été enregistrées sur le site de Kovačevo. La céramique représente plus de 1,6 million de tessons (23 tonnes), lesquels ont été systématiquement enregistrés, sous la responsabilité de Laure Salanova. Une division préliminaire en quatre périodes a été proposée, les deux premières étant antérieures à la culture Karanovo I. Les traitements statistiques détaillés, et notamment la sériation, sont encore en cours. Les décors sont pour l'essentiel peints en blanc sur rouge, mais d'autres techniques minoritaires sont attestées. Une analyse technologique de la poterie a été réalisée par Louise Gomart, et une analyse fonctionnelle par Julien Vieugué, qui a montré en particulier la présence de résidus d'os pilés en bouillie. Outre le matériel de broyage (Hara Prokopiou, Caroline Hamon) et l'outillage poli (Pierre Allard), de provenance locale, le matériel lithique comprend l'abondant mais ingrat quartz local (Frédéric Abbès), et le silex provenant des Rhodopes, à environ 50 à 100 km de distance ; il est étudié à la fois du point de vue technologique et typologique (Pierre Allard, Raphaële Guilbert), et tracéologique (Maria Gurova). L'outillage osseux (Isabelle Sidéra) montre d'incontestables affinités avec l'Anatolie, tant dans les formes (cuillers, crochets) que dans les techniques. La parure utilise le marbre, le coquillage, l'os, les roches tenaces et l'argile et comprend surtout des bracelets, des perles et de pendentifs. Les figurines humaines, surtout féminines, sont en argile, rarement en marbre, et systématiquement brisées ; les figurines animales sont rares et plus sommaires. On note aussi des sceaux en argile (pintadéras, la plus importante collection des Balkans) et de petites tables en argile dites « autels ». Parmi la faune, étudiée par Norbert Benecke, les animaux domestiques dominent largement (95%), et comprennent à leur tour 80 % de moutons et chèvres, espèce non indigène en Europe. Les restes végétaux (Elena Marinova) indiquent la culture des céréales, mais aussi d'autres plantes, comme la gesse.

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie. L'Equipe

Le choix a été dès le début de faire une mission « lourde », d'au minimum deux mois par ans, totalisant en 25 années près de 55 mois de présence sur place. Ce fut la première mission archéologique française en Bulgarie depuis le début du XXe siècle, et la plus importante en cours dans un pays de l'Europe centrale ou orientale. Le cadre institutionnel est franco-bulgare, associant le CNRS, l'Université de Paris I, le ministère français des Affaires étrangères (principal financeur), l'Institut archéologique de l'Académie bulgare des sciences et le Musée historique de Blagoevgrad. Les responsables de la mission sont Marion Lichardus et Jean-Paul Demoule du côté français, et actuellement Liliana Perničeva et Vasil Nikolov du côté bulgare, ainsi que Malgoržata Grębska-Kulova et Lilijana Kulov. Le site a été aussi pendant ces 25 ans une école de fouille aux activités très complètes et environ 200 étudiants de différents niveaux et de différentes universités, françaises et étrangères, s'y sont succédés. La main d'œuvre ouvrière, composée à l'origine de lycéens organisés en « brigades » a été remplacée à partir de 1990 par des ouvriers salariés. L'ensemble du personnel mobilisé pour chaque campagne de fouille comptait donc couramment un minimum d'une cinquantaine de personnes, étudiants et chercheurs étant logés dans une vaste base de fouille, un bâtiment scolaire réhabilité, dans le village de Katunci. Les changements politiques, dans une zone à l'origine très sensible, car frontalière et très contrôlée, ont sensiblement amélioré les conditions de vie sur place, et plus encore depuis que la Bulgarie a rejoint l'Union européenne. Des chercheurs de nombreuses institutions participent à l'étude du matériel recueilli, dont les UMR 7041 (Nanterre), 7055 (Nanterre), 7209 (Museum), 6130 (Nice), 5809 (Bordeaux), 5594 (Valence), 5133 (Lyon) du CNRS, le Deutsches Archäologisches Institut (Berlin), l'Université catholique de Louvain (Institut des sciences archéologiques), la Frei Universität de Berlin (Institut de chimie anorganique), l'Institut archéologique de l'académie slovaque des sciences, le Musée d'Histoire naturelle de Sofia, l'Institut de géophysique de l'Académie bulgare des sciences.

05-09 juin 2010

Photographies n° RIMG0050 à RIMG0057. Défilé, Arusha, samedi 5 juin 2010.
Photographies n° RIMG0058 à RIMG0068. En famille chez les Indiens, Arusha, 6 juin 2010.
Photographies n° RIMG0069 à RIMG0076. Chez l'évêque de l’église AMEC d’Akheri, Akheri, 7 et 8 juin 2010.
Photographies n° RIMG0077 à RIMG0083. L'évêque de l’église AMEC d’Akheri avec ses vaches et ses ruches dans les arbres, Kikwe, 9 juin 2010.

AMEC signifie African Methodist Episcopal Church.

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