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Chemins vers l'Orient

Exposition réalisée par Jöel Suire (Equipe Archéologie de l'Asie centrale, UMR 7041) durant l'été 2002. Les auteurs des tirages photographiques sont Martine Esline et Serge Oboukhoff (MAE, UMS 844).

Texte d'introduction d'André Pelle
"C’est avec le plus grand intérêt que nous vous présentons les Chemins vers l’Orient de Joël SUIRE qui associe à son métier de topographe à la MAE ( umr 7041-ArScAn, Archéologie de l’Asie centrale) un grand intérêt pour l’image. Son itinéraire vers l’Orient commença en Afghanistan, alors qu’il était simple étudiant, avec une mission dirigée par H.P Francfort. Par la suite, son parcours le conduisit vers l’Italie, la Syrie, la Crète et l’Irak… puis au Yémen, au Pakistan et en Chine.

A travers cette exposition, Joël SUIRE a choisi de nous montrer les photographies prises à l'occasion de trois de ses missions :
-La mission archéologique française au XINJIANG en Chine dirigée par Corinne Debaine-Francfort.
-La mission archéologique française au MAKRAN au Pakistan dirigée par Roland Besenval.
-La mission archéologique française dans le JAWF-HADRAMAWT au Yémen dirigée par Marie-Louise Inizan et Serge Cleuziou.

Cette exposition a été conçue et réalisée dans le service photographique de la Maison René-Ginouvès. Nous tenons à remercier Serge Oboukhoff pour ces superbes tirages, ainsi que Martine Esline ."

Exposition pour le 3ème congrès de l'ICAANE (International Congress on the Archaeology of the Ancient Near East), Paris, 15-19 avril 2002

Les auteurs des photographies, textes et légendes sont Luc Bachelot, Jean-François Breton, Serge Cleuziou, Geneviève Dollfus, Christine Kepinski, Odile et Alain Le Brun, Bertille Lyonnet, Sophie Méry, Cécile Michel, Pierre de Miroschedji, Valentine Roux, Sandrine Soriano.

PM5. documents sur support papier.
PM6. documents électroniques.

Reconstitution de l'habitat néolithique à Khirokitia (Chypre)

L'exposition a été conçue et réalisée par Alain Le Brun, Odile Daune-Le Brun (UMR7041, ethnoarchéologie), Fouad Hourani (UMR7041, micromorphologie) et Martine Esline (MAE, UMS 844) au cours de l'été 2002. L'auteur des textes et des légendes est Odile Daune-Le Brun.

Texte d'introduction d' Odile Daune-Le Brun
"Daté du 7 ème millénaire avant J.C. (dates calibrées), le site de Khirokitia, illustre la réussite de l'installation, sans doute dès avant la fin du 9 ème millénaire, sur l'île de Chypre de communautés d'agriculteurs – éleveurs. Il représente l'apogée de ce que l'on appelle le Néolithique pré céramique chypriote.
Les vestiges architecturaux mis au jour donnent la pleine mesure de l'exceptionnelle maîtrise technique des habitants de Khirokitia tant dans le domaine des constructions d'intérêt général — murs d'enceinte successifs, dispositifs d’accès— que dans celui des constructions privées, habitations de plan circulaire, au toit plat.
L’ampleur , la qualité de ces vestiges, le caractère exceptionnel de certains éléments et enfin leur bon état de conservation d’une part, et le développement du tourisme d’autre part, ont décidé le Département des Antiquités de la République de Chypre à entreprendre à partir de 1994 un programme de protection et de mise en valeur du site.
La mission archéologique de Khirokitia (CNRS - ministère des Affaires étrangères, directeur Alain Le Brun - UMR7041) fut tout naturellement appelée à collaborer à la réalisation de ce projet, en particulier pour l’édification, au pied de la colline, en dehors de la zone occupée par les vestiges archéologiques, d'une réplique grandeur nature de constructions dégagées par la mission française : un tronçon du mur d'enceinte, un des dispositifs d'accès au village et cinq éléments d'habitations.
Khirokitia a été inscrit, en 1998, par l’UNESCO au patrimoine mondial.

Ethnoarchéologie et micromorphologie

Ces reconstitutions ont été réalisées dans une optique ethno-archéologique, en confrontant “en direct” les interprétations proposées à partir des données archéologiques aux solutions techniques de l’architecture traditionnelle de Chypre. Elles sont le résultat d’une collaboration étroite, sur le terrain, entre des archéologues et des maçons ayant, eux, une longue expérience de l'utilisation, dans un même contexte géographique et climatique, des mêmes matériaux de construction qu'au néolithique : pierre, terre et végétaux.
L’intérêt de cette démarche a été de proposer des solutions techniques éprouvées en réponse à des problèmes spécifiques (exemple: la fabrication de briques crues sans moule ou celle d’un cerclage à partir d’une canne), de soulever des problèmes inattendus (exemple : la composition d’un badigeon), d’appréhender avec un nouveau regard la documentation archéologique et de poser de nouvelles questions, en particulier concernant la terre à bâtir.
L’examen attentif et en direct des différentes phases de fabrication de la terre à bâtir a montré qu’il existe, dans les pratiques traditionnelles de Chypre, des relations entre le choix des matériaux utilisés (sédiments et stabilisants), les techniques de fabrication (préparation des matériaux, pourcentage des différents composants, degré de malaxage et d'humidification) et l’emploi projeté (briques, mortiers, toiture, enduits ...)
En était-il de même au Néolithique ?
Pour répondre à cette question il était nécessaire de revenir aux documents archéologiques : associée à l’analyse des macrorestes et des empreintes de végétaux, la micromorphologie, qui s’attache à la fois à caractériser les matériaux (sédiments et végétaux) et à analyser les relations existant entre eux, a permis de toucher au plus près les techniques de fabrication de la terre à bâtir."

On notera que les tirages photographiques papier de l'exposition ne sont pas conservés au service des archives.

Prises de vue de matériels archéologiques. Détails et macro-traces

Exposition de l'été 2006.
Serge Oboukhoff (MAE, UMS 844) a réalisé les photographies avec un appareil numérique de 6 millions de pixels.

Texte d'introduction d'André Pelle
"Depuis plusieurs années, les expositions se succèdent dans le hall de la Maison René-Ginouvès. Elles présentent les recherches des équipes dans leurs diversités.
Nous avons le choix de valoriser, chaque été, le travail photographique d’un agent en particulier, pourvu que les images présentées ne s’éloignent pas trop du terrain ou des thèmes de recherches engagés dans notre Maison.
Certaines équipes, comme l’UMR 7055 « Préhistoire et archéologie » anciennement basée à Meudon, connaissent Serge Oboukhoff depuis longtemps. Les photographies qu’ils présente aujourd’hui viennent également de sa collaboration avec l’UMR 8096 « Archéologie des Amériques » et l’UMR 7041 « Archéologie et sciences de l’Antiquité . Nous les regarderons comme de la matière ayant donné des formes fonctionnelles. Terre, pierre, os, …statuettes, outils… Matière et forme macro-photographiées puis agrandies, pour leur lecture, au-delà des possibilités de perception de l’œil nu. Le rendu photographique peut nous sembler irréel si l’on ne possède pas la connaissance de la demande du chercheur à son photographe : « Serge est-il possible de voir toutes les facettes de cet outil ? . Les prises de vue réalisées avec ces instructions s’éloigneront alors de celles qui rechercheraient la fonction de l’objet.
Comment façonner la lumière pour faire ressortir la matière ? Si l’on pose cette question à Serge Oboukhoff, il nous répond que « la meilleure source est le soleil. Que l’objet est fait pour être vu sous celui-ci. Le photographe dans son studio de prise de vue ne ferait alors que reproduire le soleil ! On a tous vu sur nos terrains archéologiques, le chantier se contraster au soleil montant ; Devenir illisible au zénith ; puis l’on a choisi la lumière douce du soleil levant ou un ciel légèrement brumeux pour réaliser nos images. On a cherché du détail dans les hautes et les basses lumières en utilisant un soleil tamisé. Même un jour, on a regretté de ne pouvoir tourner un peu le soleil pour qu’il éclaire plus correctement une coupe ou une structure ! C’est de la même façon que Serge Oboukhoff tourne et oriente son unique source de lumière artificielle sur son sujet, recherchant l’angle d’incidence idéal, évitant la lumière directe débouchant une ombre trop sombre à l’aide d’une simple feuille de papier blanc mais sans trop l’approcher pour ne pas tuer le contraste."

Itinéraires de Belleville à Djerba de femmes juives tunisiennes vivant en France. Photographie et anthropologie

L'exposition a été conçue et réalisée par Martine Esline (MAE, UMS 844) dans le cadre du 5ème colloque de la Maison René-Ginouvès qui a eu lieu en été 2008. L'auteur des photographies, textes et légendes est Sylvaine Conord (UPR 034, Laboratoire d'anthropologie urbaine, Nanterre).

Texte d'introduction de Sylvaine Conord
"Ces images témoignent d'une rencontre avec un petit groupe de femmes juives tunisiennes lors de leurs rendez-vous réguliers dans les cafés bellevillois parisiens. Agées de 60 à 80 ans au moment de la recherche (échelonnée sur cinq ans, elle s'acheva en l'an 2000), elles souhaitaient oublier les soucis de vies laborieuses souvent marquées par des problèmes de santé. La plupart habitaient le quartier populaire de Hafsia à Tunis, et en France elles furent ouvrières, cantinières, couturières, élevant en moyenne quatre à cinq enfants. Grâce au rôle de photographe qu'elles m'attribuèrent, elles me conduisirent sur différents lieux de Belleville à Deauville, de Paris à Juan-les-pins puis jusqu'en Israël et en Tunisie à l'occasion du pèlerinage Lag ba Omer . J'ai choisi dans le cadre de cette exposition qui se divise en deux parties de montrer d'une part des aspects de leur vie en région parisienne, et d'autre part le retour de certaines d'entre elles dans leur pays natal.

Le pèlerinage annuel Lag ba Omer où des rabbins vénérés sont célébrés avec ferveur et joie, est l'occasion de perpétuer croyances et pratiques populaires. De nombreuses bougies sont allumées, des dons distribués, des foulards multicolores semés de paillettes dorées achetés à Belleville ou chez le magasin Tati sont déposées sur la Menorah , des œufs sont posés dans une grotte ancienne, autant de gestes, telles des offrandes, répétés avec l'espoir de l'accomplissement de vœux.

De retour à Paris, ces Juives tunisiennes reprennent leurs habitudes bellevilloises. Et pourtant elles n'habitent plus ce quartier d'accueil suite à l'attribution de logements sociaux en proche banlieue ou au Nord du 19 ème arrondissement. Cela ne les empêche pas de se déplacer pour fréquenter quotidiennement les cafés, les commerces et les synagogues de Belleville.

L'objectif de ce travail n'était pas d'écrire une monographie. Il s'agissait d'explorer les différentes fonctions de la photographie dans le cadre d'une démarche ethnographique. La méthode consiste à enregistrer de manière systématique des cadrages variés pris sous différents angles afin de constituer une sorte de carnet de bord visuel complété par la réalisation d'entretiens et la tenue d'un journal de terrain écrit, car l'image seule ne se suffit pas à elle-même dans le cadre d'une démarche anthropologique. Il s'agit plutôt ici de considérer les images collectées comme autant "d'observations visuelles" mémorisées qui peuvent servir à fournir des informations sur les faits observés. La photographie devient un instrument de recherche à part entière. Les images récoltées sont subjectives, limitées dans leur cadrage et dans ce qu'elles montrent (qui n'est finalement que la partie visible des faits). Mais au moment du traitement des données, celles-ci peuvent êtres utiles à la remémoration de certains détails (gestes, décors, regards, ornements, objets rituels, individus présents, etc.), que l'œil nu et sélectif de l'anthropologue, n'aura pas pu tous mémoriser. La photographie comprise comme objet, pratique et méthode intégrée à toutes les phases du processus d'investigation permet de capter différents instants variables dans le temps et dans l'espace."

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie

L'exposition a été réalisée au cours de l'hiver 2010-2011, sur proposition de Marion Lichardus, Jean-Paul Demoule (Equipe Protohistoire Européenne (UMR 7041 ArScAn) et Laure Salanova (UMR 7055)
Conception, tirages : Fanny Bastien, Martine Esline, (MAE, USR 3225).
Auteur des textes : Jean-Paul Demoule.

Texte d'introduction de Marion Lichardus et J.-P. Demoule
"La mission de Kovačevo (Bulgarie) a été entreprise en 1986 dans le cadre de l'enseignement et de l'équipe de Protohistoire européenne de l'Université de Paris I et du CNRS. Jusque-là, les fouilles de cette équipe s'étaient concentrées dans le Bassin parisien (vallée de l'Aisne, notamment) et en Belgique, à l'extrémité du courant de colonisation néolithique danubien. Ce courant provenait du Proche-Orient ; il avait pénétré en Europe et pris pied dans la péninsule balkanique au cours de la seconde moitié du VIIe millénaire. C'est pourquoi les responsables de la mission, Marion Lichardus-Itten et Jean-Paul Demoule, choisirent d'ouvrir une fouille sur un site du néolithique le plus ancien des Balkans. La vallée de la Struma (Strymon), fleuve du sud-ouest de la Bulgarie qui se jette dans la mer Égée, fut choisie parce qu'elle est l'un des axes de pénétration les plus commodes depuis la côte vers l'intérieur des Balkans, et parce qu'elle était alors fort peu connue. L'unique site de cette époque, Kovačevo, venait d'y être découvert et sondé dans le cadre d'une mission bulgaro-polonaise. Il fut donc retenu pour une fouille d'ampleur.

D'après les ramassages de surface et les prospections électriques, le site couvre environ 6 hectares, avec une stratification maximale de trois mètres, mais avec des parties plus érodées, car le site occupe une pente. Il se trouve sur la terrasse d'un affluent de la Struma, la Pirinska Bistrica, descendu des montagnes du Pirin qui culminent à près de 3.000 mètres ; il n'est qu'à quelques kilomètres de la frontière grecque. La stratégie choisie a été d'ouvrir une grande surface, de près de 1.700 m2, complétée par une série de 12 sondages qui précisent l'étendue et la stratigraphie du site. Tous les sédiments ont été tamisés et une attention particulière a été portée aux analyses géo-archéologiques, conduites par Jacques-Léopold Brochier et Jean-François Berger de façon expérimentale et pionnière afin de comprendre le processus de formation des couches. Les travaux de terrain se sont déroulés de 1986 à 2007 et la mission est actuellement dans la phase d'études et de publication.

L'occupation principale date donc du Néolithique ancien, entre 6200 et 5400 environ – ce que confirment les dates au radiocarbone et par archéomagnétisme. Elle est suivie par une occupation plus courte du néolithique moyen, après 5400, avec la céramique noire cannelée caractéristique de cette période. Après une interruption, le site est à nouveau densément occupé au Bronze ancien local (milieu du IVe millénaire), avec des éléments de fortification et une poterie qui évoque à la fois Ezero en Thrace bulgare, et les niveaux Dikili Tash III et Sitagroi IV-V, sites grecs peu éloignés. Enfin des traces sporadiques de l'âge du Fer, de l'Antiquité et même des guerres balkaniques sont présentes.

Ces niveaux du Néolithique ancien sont désormais les mieux étudiés pour le sud-ouest de la Bulgarie, le nord de la Grèce et la Macédoine yougoslave. Ils appartiennent à un faciès culturel qui s'étend sur la Macédoine occidentale grecque (Giannitsa), la Macédoise yougoslave (Anzabegovo) et toute la Bulgarie du sud-ouest. Ce faciès est antérieur à la culture de Karanovo I, avec laquelle commence, sur ce site de référence, le néolithique dans la grande plaine bulgare. Il se présente comme un village assez densément occupé, avec des maisons rectangulaires utilisant différentes techniques de construction et qui aura perduré pendant près d'un millénaire. L'occupation tend à se dilater au cours du temps, les phases les plus anciennes étant regroupées en bordure de terrasse."

Exposition et photographies de Marion Lichardus-Itten, Jean-Paul Demoule, Martine Esline.

Les auteurs de la photographie en ligne sont Marion Lichardus et Jean-Paul Demoule.

Des peintures rupestres d'Afrique australe

L'exposition a été réalisée sur proposition de Manuel Gutierrez, (équipe Afrique, UMR 7041 ArScAn) durant l'hiver 2011-2012.
Conception, tirages : Martine Esline, (MAE, USR 3225).
Textes : Manuel Gutierrez.

Texte d'introduction de M. Gutierrez
"L'art rupestre, peintures, gravures et sculptures sur des parois rocheuses,est présent sur la presque totalité du continent africain. Nous avons choisi parmi cette grande diversité, quatre pays d'Afrique, au sud de l'équateur pour présenter ici quelques images. Ces pays sont : Afrique du Sud, Angola, Botswana et Namibie. Et pour une question d'espace, sur chaque pays nous avons sélectionné une infime quantité de sites et d'images.

La création artistique africaine est ancienne et pour certains auteurs, il faudrait voir dans les bifaces et la taille de la pierre les premiers vestiges des capacités artistiques des hommes. Pour d'autres, des traces d'ocre trouvées dans des niveaux pré-acheuléens seraient une indication du goût pour les couleurs, voire de l'utilisation des pigments picturaux à des fins artistiques. Toutefois, la chronologie de l'art rupestre d'Afrique n'est pas encore définitive bien que des tentatives variées aient été entreprises pour placer cette création artistique dans le temps.
Elles vont de la subjectivité, "très haute ancienneté", jusqu'à des mesures isotopiques des pigments picturaux en laboratoire.

En ce qui concerne les motivations des artistes, les avis sont aussi variés que les auteurs qui ont abordé le sujet et aussi divers que les époques qui ont vu appraître leurs publications. Il y a ainsi des auteurs qui cherchent à l'extérieur du continent les "influences", tandis que pour d'autres c'est du nord, de l'Egypte, voire de Crête que l'influence se serait diffusée vers le sud du continent. Aujourd'hui, la plupart des chercheurs est néanmoins d'accord pour considérer l'art rupestre du continent comme une production locale.

Par rapport aux interprétations, la diversité d'avis est aussi très grande, elle va de la magie de la chasse pour interpréter certaines scènes jusqu'à la pratique chamanique pour comprendre certains personnages hybrides. Pour cette dernière hypothèse les influences se sont fait sentir jusqu'en Europe!

Enfin la conservation et la mise en valeur des sites d'art rupestre est également très inégale sur l'ensemble du continent. Au nord par exemple, de vastes zones ont été classées Parc National et, dans certains cas, ils sont inscrits sur la liste du patrimoine de l'humanité de l'UNESCO. Dans d'autres cas, on constate un grand oubli des sites dont les dégradations sont importantes, voire irréversibles. L'étude et la protection de ce patrimoine unique sont dons des priorités."

Diapositives

10 photographies prises en marge de la mission chez les Boudouma du lac Tchad à Nguigmi (Niger).

Diapositive 1. Vue sur un campement Boudouma.
Diapositive 2. Campement Boudouma, tas de poisson en morceaux.
Diapositive 3. Préparation des filets de pêche.
Diapositive 4. Pêcheur s’apprêtant à lancer son filet.
Diapositives 5-6. Fabrication d’une pirogue.
Diapositives 7-8. Navigation sur le lac avec les pirogues en papyrus.
Diapositives 9-10. Débitage du poisson.

Présence de 2 diapositives non identifiées, libellées "duplicatas" :
Diapositive n° 1972 V 18. Homme à dos de chameau.
Diapositive portant le n°3. Trois enfants.

Mission au Kanem et en Ennedi (Tchad)

En mars 2002, C. Baroin a effectué une mission de reconnaissance dans diverses régions du pays Toubou (Kanem, Bahr-el-Ghazal, Djourab, Ennedi) qu'elle n'avait pas eu l'occasion de visiter jusque-là.
Ce voyage lui a permis de constater l'uniformité de la langue et du mode de vie des Daza, la prospérité de l'élevage mais aussi le dénuement de populations entièrement livrées à elles-mêmes et l'absence quasi-totale d'infrastructures sanitaires, scolaires et routières au Nord du Tchad.
Au cours de cette mission, C. Baroin a accompagné l'association " Toubou du Sahara ", une association française qui se consacre au soutien des écoles nomades, lors d'une tournée de distribution de fournitures scolaires.
C. Baroin a également expérimenté un itinéraire touristique mis en place par un groupe de Tchadiens.

Reportage photographique sur le village de Yogoum

Photographie n° CB63_01. Paillotte pour recevoir les invités.
Photographie n° CB63_02. L'homonyme de C. Baroin, Catherine, née lors de son séjour à Yogoum en 1969.
Photographie n° CB63_03. Le dispensaire de Yogoum.
Photographie n° CB63_04. Le chef.
Photographies n° CB63_05 et CB63_06. Le puits.
Photographie n° CB63_07. La première épouse du chef et son fils.
Photographie n° CB63_08. Le fils du chef (à gauche) et deux autres hommes.
Photographie n° CB63_09. Paysage près de Yogoum avant les pluies.
Photographie n° CB63_10. Vache peule sur la piste près de Yogoum avant les pluies.
Photographie n° CB63_11 à CB63_18. Vues du village.

XIVème colloque Méga-Tchad «L’Homme et la santé dans le bassin du lac Tchad », Université de Bayreuth (Allemagne), 15 - 17 avril 2010

Appel à communications, liste des participants, résumés des communications, consignes aux auteurs, texte de la communication de C.Baroin « Soigner la gale des chameaux : pratiques vétérinaires des Toubous, anciennes et modernes », fichier de présentation.

Administration de l'association

Texte préparatoire des statuts, déclaration d'association, déclaration de modification d'association, comptes rendus et procès-verbaux des assemblées générales, rapports moraux, rapports financiers, listes des membres, fichiers des adhérents, appels pour cotisation, courriels, lettres, logos, textes de présentation du réseau, proposition de colloque pour 2007.

Membre de l'association Toubous du Sahara

Courriels, appels à dons, rapport moral, convocations, photographies, bilan financier, documents relatifs aux impacts de l'exploitation du pétrole au nord est du Niger, notamment sur la hausse de la mortalité des camelins dans les localités de Tintouman, Galmayanga, Hadara, Gani, Aromi, Banda et Laharit.

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