Aperçu avant impression Fermer

Affichage de 25444 résultats

Inventaires
Français
Aperçu avant impression Affichage :

3392 résultats avec objets numériques Afficher les résultats avec des objets numériques

Colloque international "Mobilités grecques : migrations, réseaux, contacts en Méditerranée, VIIIe‐IIIe siècle av. J.‐C.", Nanterre, Maison de l'archéologie et ethnologie René‐Ginouvès, 1er et 2 juin 2012

Intitulé de la communication de D. Agut : "Cartographie des relations des cités [avec] les Saïtes et les indépendants".

Textes préparatoires de la communication et de la publication, documentation.

Des peintures rupestres d'Afrique australe

L'exposition a été réalisée sur proposition de Manuel Gutierrez, (équipe Afrique, UMR 7041 ArScAn) durant l'hiver 2011-2012.
Conception, tirages : Martine Esline, (MAE, USR 3225).
Textes : Manuel Gutierrez.

Texte d'introduction de M. Gutierrez
"L'art rupestre, peintures, gravures et sculptures sur des parois rocheuses,est présent sur la presque totalité du continent africain. Nous avons choisi parmi cette grande diversité, quatre pays d'Afrique, au sud de l'équateur pour présenter ici quelques images. Ces pays sont : Afrique du Sud, Angola, Botswana et Namibie. Et pour une question d'espace, sur chaque pays nous avons sélectionné une infime quantité de sites et d'images.

La création artistique africaine est ancienne et pour certains auteurs, il faudrait voir dans les bifaces et la taille de la pierre les premiers vestiges des capacités artistiques des hommes. Pour d'autres, des traces d'ocre trouvées dans des niveaux pré-acheuléens seraient une indication du goût pour les couleurs, voire de l'utilisation des pigments picturaux à des fins artistiques. Toutefois, la chronologie de l'art rupestre d'Afrique n'est pas encore définitive bien que des tentatives variées aient été entreprises pour placer cette création artistique dans le temps.
Elles vont de la subjectivité, "très haute ancienneté", jusqu'à des mesures isotopiques des pigments picturaux en laboratoire.

En ce qui concerne les motivations des artistes, les avis sont aussi variés que les auteurs qui ont abordé le sujet et aussi divers que les époques qui ont vu appraître leurs publications. Il y a ainsi des auteurs qui cherchent à l'extérieur du continent les "influences", tandis que pour d'autres c'est du nord, de l'Egypte, voire de Crête que l'influence se serait diffusée vers le sud du continent. Aujourd'hui, la plupart des chercheurs est néanmoins d'accord pour considérer l'art rupestre du continent comme une production locale.

Par rapport aux interprétations, la diversité d'avis est aussi très grande, elle va de la magie de la chasse pour interpréter certaines scènes jusqu'à la pratique chamanique pour comprendre certains personnages hybrides. Pour cette dernière hypothèse les influences se sont fait sentir jusqu'en Europe!

Enfin la conservation et la mise en valeur des sites d'art rupestre est également très inégale sur l'ensemble du continent. Au nord par exemple, de vastes zones ont été classées Parc National et, dans certains cas, ils sont inscrits sur la liste du patrimoine de l'humanité de l'UNESCO. Dans d'autres cas, on constate un grand oubli des sites dont les dégradations sont importantes, voire irréversibles. L'étude et la protection de ce patrimoine unique sont dons des priorités."

Afrique du Sud

Les sites d'art rupestre d'Afrique du Sud sont très nombreux, ils se comptent par milliers.L'extension du territoire, 1 222 000 km2, et la longue durée des occupations humaines font que la création artistique sur parois rocheuses est très diversifiée et doit correspondre à des auteurs et à des époques différentes. Il est aussi très probable que les finalités et significations des figures en présence soient également variées. Il serait donc illusoire de proposer une seule interprétation pour l'ensemble de cette partie du continent.
Les informations sur l'art rupestre d'Afrique du Sud sont anciennes puisque dès 1873, J. Orpen signale l'existence de peintures rupestres dans le Drakensberg mais aussi la familiarité des San de la région avec les figures peintes. Cette connaissance des auteurs de certaines peintures et de leur signification, permet de proposer des interprétations sur des bases solides.

Journée d’étude Images, Identité, Territoires, Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie, Nanterre, le 15 décembre 2011

Programme, texte de communication, textes préparatoires de publication, notes de travail, documentation.
Intitulé de la communication de Luc Bachelot : Territoire sans frontière et identité aux limites : le paradigme de l’image au Proche-Orient ancien.

Catalogue original des transcriptions avec remarques et annotations

Une fiche par ostracon, parfois avec photographie imprimée.
Les Ostraca ont été numérotés une première fois à la sortie de fouilles avec un numéro provisoire à 3 ou 4 chiffres, précédé parfois des lettres "NP" signifiant "numéro provisoire"; les ostraca ont été numérotés une seconde fois par un numéro d'inventaire à 4 chiffres : c'est l'ordre dans lequel sont classés les ostraca, et donc les fiches de description, les photographies et les fichiers image; les autres sigles que l'on rencontre font référence à des lieux ("MT", " NB", etc.).

Résultats 301 à 350 sur 25444