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Vivre avec les rennes. Adaptations biologiques et culturelles : le système renne

L’exposition a été réalisée par la Maison René-Ginouvès (UMS 844) à l’initiative de Claudine Karlin Archéologue (Equipe Ethnologie préhistorique, UMR 7041) durant le printemps 2004.
Conception, numérisation, tirages : Martine Esline (MAE, UMS 844).
Textes : ACI (UMR 6130).
Présence d'une convention de prêt de l'exposition et d'une lettre (2008).

Texte d'introduction
"L’âge du Renne
En contexte préhistorique, le degré de mobilité des groupes humains témoigne directement des modes d’exploitation des territoires. La définition du degré de mobilité permet donc, selon toute vraisemblance, d’appréhender l’extraordinaire adaptation des hommes aux évolutions climatiques majeures qu’a connu la Terre au cours du Quaternaire. La reconstitution des formes de la mobilité est fondée sur la caractérisation fonctionnelle des sites, sur la possibilité de différencier leurs statuts respectifs et leur place dans les stratégies de subsistance, de les lier ainsi les uns aux autres pour reconstituer un modèle d’organisation économique et sociale.

A la fin du Paléolithique, pendant plusieurs millénaires, alors que des conditions climatiques assez drastiques règnent en Europe occidentale, la chasse du Renne semble souvent au cœur de l'économie de subsistance. De ce fait, la traque de cet animal a été systématiquement posée comme le fondement de l’organisation logistique des chasseurs, les autres activités de collecte des denrées végétales et carnées étant considérées comme complémentaires et éventuellement saisonnières. Le degré de mobilité des groupes serait alors liée aux comportements et notamment aux migrations des rennes eux-mêmes.

Les systèmes techniques relevant de ce mode économique, en apparence standardisé, présentent une palette de modalités que l’on peut mettre en relation, entre autres, avec le contexte environnemental, en même temps qu'elle traduit une diversité des organisations sociales. Compte tenu des imprécisions chronologiques propres à ces périodes, il est souvent difficile de distinguer ce qui procède des stratégies d’adaptation à des conditions écologiques particulières (changements climatiques ou particularités géographiques) de ce qui procède de choix culturels.
Les économies du renne, aujourd’hui

Les économies du renne, aujourd’hui
L’immense territoire de la Sibérie permet encore d'observer les comportements d’Hommes et d’animaux évoluant dans des biotopes comparables à ceux des périodes préhistoriques considérées ci-dessus. Par ailleurs, qu'il s'agisse des domaines techniques, sociaux ou symboliques, l’ensemble des traditions des communautés indigènes (Tchouktches, Koriaks, Evenks, Dolganes,…) est fondé sur l’omniprésence du renne.

Pourtant, des différences majeures de logistique et d’organisation peuvent être perçues : elles sont liées pour partie aux spécificités culturelles affichées par les différents groupes mais aussi aux importantes variations des conditions écologiques rencontrées dans cette zone. En effet, entre 63° et 70° de latitude nord, les variations climatiques sont considérables, reproduisant peu ou prou la diversité des biotopes fréquentés par les paléolithiques lors des épisodes froids du Quaternaire. Chacune des biozones présente sa propre spécificité, avec ses contrastes saisonniers et ses ressources potentielles, spécificité primordiale en terme de stratégie de subsistances, puisqu’elle se décline différemment dans le temps et dans l’espace selon que l’on se trouve dans un écosystème ou dans un autre. Il en va de même pour les systèmes techniques et symboliques.

Le monde sibérien permet de faire varier, selon le lieu d'enquête, différents paramètres qui influent sur les systèmes fondés sur l’exploitation du renne. L’objectif du projet est d’élaborer des modèles actualistes interdisciplinaires susceptibles d’être utilisés pour la compréhension des systèmes préhistoriques présentant le même tropisme vers cet animal. Une analyse ethno-archéologique systémique cherche à identifier des faits et des catégories perceptibles à travers les données fournies par l’archéologie (diètes, structures évidentes et latentes, cultures matérielles, représentations symboliques) en observant les réseaux de liens qu'ils entretiennent avec l'ensemble du système vivant.

Les missions au cours desquelles ont été prises ces photographies ont été largement soutenues par l'Institut Français pour la Recherche et la Technologie Polaire (IFRTP), aujourd'hui Institut Paul Emile Victor (IPEV), et aidée, pour Ethno-Renne, par le Ministère des Affaires Étrangères. C'est sur l'ensemble des résultats obtenus qu'a été construit l'ACI TTT Adaptations biologiques et culturelles, le système renne, à laquelle participent des archéologues, des anthropologues, des ethnologues."

Trois millénaires de civilisation entre Colombie et Equateur. La région de la Tumaco La Tolita

L'exposition a été réalisée par J.-F Bouchard (UMR 8096 Archéologie des Amériques, Nanterre) et P. Usselman (UMR 6012, Maison de la Géographie, Montpellier) au printemps 2003.
Numérisation et tirages numériques : Martine Esline (MAE, UMS 844).

Texte d'introduction de J.-F Bouchard et P. Usselman
"La région Tumaco La Tolita comprend environ 400 kilomètres sur la côte nord équatorial du Pacifique, de part et d'autre de la frontière entre la Colombie et l'Equateur. Ces basses terres, situées entre l'Océan et la Cordillère occidentale, ont été occupées, il y a près de trois milliers d'années par des groupes amérindiens. En marge des grandes aires culturelles préhispaniques du Pérou et de la Méso-amérique, cette région a vu se développer des civilisations d'une grande originalité, au milieu d'un environnement souvent déconcertant aux yeux de ceux qui la découvrent.
Le brillant passé de ces populations est illustré en particulier par la principale phase culturelle, appelée Tumaco La Tolita qui s'épanouit dans ces milieux tropicaux humides entre environ 300 avant J.C. et 300 après J.C.
Après cette période exceptionnelle, les populations amérindiennes connurent des difficultés à trouver un équilibre stable et semblent avoir connu une récession drastique socioculturelle. Au XVIe siècle, les conquistadors menés par Pizarro, partis de Panama à la recherche des richesses des Andes préhispaniques, atteignirent d'abord ces rivages, mais sans vraiment les chercher à les occuper. Néanmoins, dans les siècles qui suivirent, ce furent colons occidentaux et des afro-américains qui prirent
le contrôle de ces basses terres du Pacifique. Ces nouveaux occupants, aux origines si différentes, y ont introduit leurs propres modèles socio culturels et économiques dont les impacts ont souvent été plus destructeurs que positifs. L'entrée récente de technologies modernes n'est pas toujours synonyme d'amélioration car le milieu naturel et les groupes humains traditionnels sont très menacés par cette modernisation.
Les recherches menées par JF Bouchard (UMR 8096, MAE Nanterre) et P. Usselmann (UMR 6012, Maison de la Géographie, Montpellier) croisent les visions de l'archéologie et la géographie, Elles montrent l'histoire de cette région depuis son peuplement indigène jusqu'à nos jours et suggèrent que l'avenir raisonné de ces basses terres ne devrait pas se construire sans la connaissance de son passé indigène."

Tombe 641

Relevé 1. Plan annoté des restes humains, n° 1 (non légendé, s. d.).
Relevé 2. Plan annoté des restes humains de la tombe 641, n° 2 (auteur : Anita Furshpan, s. d.)
Relevé 3. Plan des restes humains, mobiliers et architecture, n° 3 (non légendé, s. d.).
Relevés 4-6. Plan annoté des restes humains (non légendé, s. d.).
Relevé 7. Plan de la tombe 641, n° JP20 (1965).
Relevé 8. Dessin de matériel céramique (non légendé, s. d.).

Tirages photographiques isolés

Tirages 7 à 38. 32 tirages photographiques non légendés (sans numéro de négatif, sans auteur, s.d.).
Tirages 39-40. Bolas du IV b1 (cliché Musée de l’Homme, 1950 ?).
Tirage 41-43. Incisives de cheval (cliché Musée de l’Homme, s.d.).
Tirage 44. Tirage non légendé (cliché Musée de l’Homme, s.d.).
Tirages 45-46. Fossile IV b1, B10 (cliché A. Leroi-Gourhan, sans numéro de négatif, s.d.).
Tirages 47-48. H A 10, IV 61 (cliché A. Leroi-Gourhan, sans numéro de négatif, 1975).
Tirage 49. Vue des objets représentés sur les tirages 45 à 48 (sans auteur, s.d.).
Tirages 50-51. Négatifs 5408-1 et 5408-2 (clichés Yonne Républicaine ? 1955).
Tirages 52-53. Vestiges osseux sur le sol d’un habitat moustérien (clichés A. Leroi-Gourhan, sans numéro de négatif, s.d.) .
Tirage 54. IV b6 (sans auteur, sans numéro de négatif, 1949).
Tirage 55. Porte d'entrée de la Grotte de l'Hyène [1946-1958].
Tirages 56-64. Coupes stratigraphiques (sans numéro de négatif et sans auteur, [1946-1958]).
Tirages 65-86. Tirages non légendés correspondant aux négatifs n° 975, 982, 1056, 1115, 1208, 1212, 1214, 1215, 1216, 1217, 1218, 1260, 1262, 1263, 1313, 1371, 1663 (sans auteur, s.d.).
Tirages 87-95. Tirages non légendés, sans numéro de négatifs (sans auteur, s.d.).

Il s'agit en majorité de tirages grand format.

Tirages photographiques

Tirages 1-2. RHP, grotte du Bison (sans auteur, 1958).
Tirage 3. Non légendé (sans auteur, s.d.).
Tirage 4. c-d-e-f, vue d’ensemble (sans auteur, s.d.).
Tirage 5. Détail dans c-d-e-f (sans auteur, s.d.).
Tirages 6 à 15. Tirages non légendés, sans auteur, s.d.
Les tirages ne portent pas de numéros de négatifs.

Techniques de fouilles

Diapositive 1. Grotte de l’Hyène, technique de décapage, André Leroi-Gourhan et Isabelle Roux (cliché J. Vertut, 1954)
Diapositive 2. Pelle et brouette pour enlèvement des niveaux stériles (cliché A. Leroi-Gourhan, 1958).
Diapositive 3. Grotte du Renne, technique de décapage (cliché A. Leroi-Gourhan, 1963).
Diapositive 4. Grattoir de zingueur et tiroir (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 5. Grattoir et pince (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 6. Petite spatule (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 7. Pinceau (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 8. Perpendicule (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 9. Cadre pour fouille en suspension (cliché A. Leroi-Gourhan, 1963).
Diapositive 10. Grotte du Renne ou du Bison, carroyage suspendu (cliché J. Vertut, s.d.).
Diapositive 11. Grotte du Renne, décapage pente de l’avant (cliché A. Leroi-Gourhan, 1960).
Diapositive 12. Grotte du Renne, décapage (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositives 13-15. Evacuation des déblais de la R.G.S (clichés A. Leroi-Gourhan, 1958).
Diapositive 16. Moteur du petit train pour évacuation des déblais de la R.G.S. (cliché A. Leroi-Gourhan, 1958).
Diapositive 17. Evacuation des déblais « Edeinofoutographe » (cliché A. Leroi-Gourhan, 1958).
Diapositive 18. Envoi des déblais au bord de l’eau (cliché A. Leroi-Gourhan, 1956).
Diapositive 19. Grotte de l’Hyène, évacuation des déblais en train (cliché A. Leroi-Gourhan, 1956).
Diapositive 20. Moteur d’évacuation déblais de l’Hyène (cliché D. Dornier, 1956).
Diapositives 21-22. Grotte du Renne IX, consolidation d’un sol (clichés A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 23. Consolidation d’un os avec plâtre (cliché J. Vertut ?, 1952).
Diapositive 24. Utilisation de la paraffine (cliché A. Leroi-Gourhan, s.d.).
Diapositive 25. Consolidation d’un os au polymul, Lamotte et Coiffard (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 26. Plâtre d’un bassin de cheval (cliché A. Leroi-Gourhan, 1954).
Diapositive 27-28. Plâtre d’un os de mammouth (clichés J. Vertut ?, 1952).
Diapositive 29. Couverture de plastique (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositive 30. Couverture de planches (cliché A. Leroi-Gourhan, 1963).
Diapositive 31. Couverture de terre (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositive 32. Chantier après remblayage (cliché A. Leroi-Gourhan, 1958).
Diapositives 33-35. Topographie à la planchette (clichés A. Leroi-Gourhan, 1959-1960).
Diapositive 36. Installation du réseau, Roger Humbert (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositive 37. Courbes de niveau de l’abri du Lagopède (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositive 38. Courbes de niveau du Bison (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositive 39. Cadres pour courbes (cliché A. Leroi-Gourhan, 1960).
Diapositive 40. Cadre pour fouille en suspension (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 41-42. Cadre pour courbes et relevés (clichés A. Leroi-Gourhan, 1960-1961).
Diapositive 43. Réseau matérialisé (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositive 44. Réseau suspendu (cliché A. Leroi-Gourhan, 1956).
Diapositives 45-46. Cadres pour relevés (clichés A. Leroi-Gourhan, 1956, 1958).
Diapositive 47. Relevé des pièces (cliché A. Leroi-Gourhan, 1958).
Diapositive 48. Plan de chantier (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositive 49. Cahier de fouille (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositive 50. Edeinographe (cliché A. Leroi-Gourhan, 1953).
Diapositive 51. Tamisage au bord de la Cure (cliché A. Leroi-Gourhan, 1958).
Diapositives 52-54. Marquage (clichés A. Leroi-Gourhan, 1959, 1962).
Diapositive 55. Tri d’esquilles (cliché A. Leroi-Gourhan, 1955).
Diapositive 56. Coupe témoin pour UV (cliché A. Leroi-Gourhan, 1953).
Diapositive 57. Lampe de Wood (cliché A. Leroi-Gourhan, 1959).
Diapositives 58-63. Grotte de l’Hyène, coupe aux UV (clichés A. Leroi-Gourhan, 1953).
Diapositives 64-67. Résistivité (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositive 68. Boîte à pollens (sans auteur, 1958).

Restes humains

Les tirages et les planches ne sont pas légendés.
Présence de numéros de négatifs pour 2 planches.
Auteurs des photographies : A. Leroi-Gourhan, Musée de l’Homme (cliché Pasquino et sans auteur).
Les noms des auteurs ne sont pas indiqués pour certaines photographies.

Relevés d'ensemble, tirages

Relevé 1. Plan non légendé, représentant le secteur Sud (s. d.).
Relevés 2-3. Plan du secteur nord, niveau 2A avec phasage 2A1, 2A2, 2A3 (s. d.).
Relevé 4. Plan de situation de Munhata et de Neve Ur, n° I (s. d.).
Relevé 5. Plan des campagnes 1962-1963, n° II.
Relevé 6. Plan de la campagne de 1964. n° III.
Relevé 7. Plan de la campagne de 1964. n° III (réduction).
Relevés 8-10. Plans du secteur Nord, niveau 2A, n° IV (s. d.).
Relevé 11. Plan du secteur Nord, niveau 2B, n° V (s. d.).
Relevés 12-13. Plans du secteur Nord, niveau 3, n° VI (1966).
Relevé 14. Plan du secteur Nord, n° VII (1965).
Relevé 15. Coupe A, A' – B, B', n° VIII (1965).
Relevés 16-17. Plans du secteur Nord, niveau 2, n° IX (1966).
Relevés 18-19. Plans du secteur Nord, n° X (s. d.).
Relevé 20. Plan du secteur Nord, n° XI (s. d.).
Relevés 21-22. Coupes A-B, secteur Nord, n° XII (1966).
Relevés 23-24. Plans d'ensemble final 1962-1967, n° XIV (1967).
Relevé 25. Plan du locus 514 (s. d.).

Ces relevés sont des tirages des originaux conservés à la cote JP957 sauf les relevés 1 à 3 dont les originaux n’ont pas été conservés.
Seuls les relevés n°1 et n°2 ont été numérisés.

Relevés d'ensemble originaux

Relevé 1. Plan de situation de Munhata et de Neve Ur, n° I (s. d.).
Relevé 2. Plan des campagnes 1962-1963, n° II.
Relevé 3. Plan de la campagne de 1964, n° III.
Relevé 4. Plan du secteur Nord, niveau 2A, n° IV (s. d.).
Relevé 5. Plan du secteur Nord, niveau 2B, n° V (s. d.).
Relevé 6. Plan du secteur Nord, niveau 3, n° VI (1966)
Relevé 7. Plan du secteur Nord, n° VII (1965).
Relevé 8. Coupe A, A' – B, B', n° VIII. (1965)
Relevé 9. Plan du secteur Nord, niveau 2, n° IX (1966).
Relevé 10. Plan du secteur Nord, n° X (s. d.).
Relevé 11. Plan du secteur Nord, n° XI (s. d.).
Relevé 12. Coupe A-B, secteur Nord, n° XII (1966).
Relevé 13. Plan du secteur Sud, n° XIII (s. d.).
Relevé 14. Plan d'ensemble final 1962-1967, n° XIV (1967).
Relevé 15. Plan des campagnes 1962-1963.
Relevé 16. Plan incomplet et non légendé, représentant le secteur Nord (s. d.).
Relevés 17-18. Plan non légendé, représentant le secteur Sud (s. d.).
Relevé 19. Plan non légendé, représentant les secteurs Nord et Sud (s. d.).
Relevé 20. Plan du locus 851 (s. d.).
Relevé 21. Plan non légendé d’un chantier non identifié, carroyage C-D-E-3-4-5-6-7 (s. d.).
Relevé 22. Plan non légendé, représentant un détail du secteur Nord (s. d.).
Relevé 23. Plan de la structure niveau 5, secteur sud (s. d.).
Relevé 24. Plan du locus 514 (s. d.).
Relevé 25. Plan non légendé, représentant le secteur Nord et des contours d’architecture (s. d.).
Relevé 26. Plan de répartition topographique, secteur Nord (s. d.).
Relevé 27. Plan schématique (première partie), non légendé, représentant le schéma topographique du secteur Sud (s. d.).
Relevé 28. Plan schématique (deuxième partie), non légendé, représentant le schéma topographique du secteur Sud (s. d.).
Relevé 29. Plan schématique, non légendé, représentant le schéma topographique des secteurs nord et sud (s. d.).
Relevé 30. Plan schématique, non-légendé, représentant le carroyage des secteurs nord et sud (s. d.).
Relevé 31. Coupe de la campagne 1964, M18-M17.
Relevé 32. Coupe Est-Ouest de la tranchée Sud (s. d.).
Relevé 33. Coupe Nord-Sud en 15, coté ouest, n° A (s. d.).
Relevé 34. Coupe A.A'.B., secteur Nord. (s. d.).
Relevé 35. Coupe Q16-17, face Nord (s. d.).
Relevé 36. Coupe non légendée, représentant une variante non phasée de la coupe 35 (s. d.).
Relevé 37. Coupe non légendée, représentant les carrés L16-M16 (s. d.).
Relevé 38. Coupe non légendée, représentant les carrés M17-M16 (s. d.).
Relevé 39. Coupe schématique non légendée, représentant une coupe théorique avec niveaux et phasage (s. d.).
Relevé 40. Carte topographique (non légendée) du Levant Sud (s. d.).
Relevé 41. Carte (non légendée) de situation de Munhata et de Neve Ur (s. d.).
Relevé 42. Plan topographique non légendé (s. d.).

Présence d'une liste de légendes correspondant aux 14 premiers relevés, classée en fin d'article.

Relevés d'ensemble annotés

Relevé 1. Plan général des secteurs Nord et Sud, avec phasage, niveaux I, IIa, IIb, III, IV et V (non légendé et s. d.).
Relevé 2. Plan du secteur Sud avec annotations topographiques ou de carroyage (non légendé et s. d.).
Relevé 3. Plan des niveaux 1 à 5, secteur Sud (s. d.).
Relevé 4. Plan du secteur Sud avec localisation des figurines animales et humaines (non légendé et s. d.).
Relevé 5. Plan du secteur Nord avec localisation des figurines animales et humaines (non légendé et s. d.).
Relevé 6. Plan (réduction) d’une partie du secteur Nord avec annotations de phasage (non légendé et s. d.).
Relevé 7. Plan du secteur Sud avec architecture schématique (non légendé et s. d.).
Relevé 8. Plan de la structure en plâtre du locus 789 (s. d.).
Relevé 9. Plan du layer I, EB I, secteur Sud (s. d.).
Relevé 10. Plan des secteurs Nord et Sud, avec phasage PPNB, 2B SHGolan, 2A, EB (non légendé et s. d.).
Relevé 11. Plan du secteur Nord avec liste des structures identifiées (non légendé et s. d.).
Relevé 12. Plan du secteur Nord 1966.
Relevé 13. Plan du secteur Sud, avec phasage I, II, III, IV (non légendé et s. d.).

Ces relevés sont tous des tirages des originaux conservés à la cote JP957.

Recherches franco-bulgares sur le site néolithique de Kovacevo en Bulgarie

L'exposition a été réalisée au cours de l'hiver 2010-2011, sur proposition de Marion Lichardus, Jean-Paul Demoule (Equipe Protohistoire Européenne (UMR 7041 ArScAn) et Laure Salanova (UMR 7055)
Conception, tirages : Fanny Bastien, Martine Esline, (MAE, USR 3225).
Auteur des textes : Jean-Paul Demoule.

Texte d'introduction de Marion Lichardus et J.-P. Demoule
"La mission de Kovačevo (Bulgarie) a été entreprise en 1986 dans le cadre de l'enseignement et de l'équipe de Protohistoire européenne de l'Université de Paris I et du CNRS. Jusque-là, les fouilles de cette équipe s'étaient concentrées dans le Bassin parisien (vallée de l'Aisne, notamment) et en Belgique, à l'extrémité du courant de colonisation néolithique danubien. Ce courant provenait du Proche-Orient ; il avait pénétré en Europe et pris pied dans la péninsule balkanique au cours de la seconde moitié du VIIe millénaire. C'est pourquoi les responsables de la mission, Marion Lichardus-Itten et Jean-Paul Demoule, choisirent d'ouvrir une fouille sur un site du néolithique le plus ancien des Balkans. La vallée de la Struma (Strymon), fleuve du sud-ouest de la Bulgarie qui se jette dans la mer Égée, fut choisie parce qu'elle est l'un des axes de pénétration les plus commodes depuis la côte vers l'intérieur des Balkans, et parce qu'elle était alors fort peu connue. L'unique site de cette époque, Kovačevo, venait d'y être découvert et sondé dans le cadre d'une mission bulgaro-polonaise. Il fut donc retenu pour une fouille d'ampleur.

D'après les ramassages de surface et les prospections électriques, le site couvre environ 6 hectares, avec une stratification maximale de trois mètres, mais avec des parties plus érodées, car le site occupe une pente. Il se trouve sur la terrasse d'un affluent de la Struma, la Pirinska Bistrica, descendu des montagnes du Pirin qui culminent à près de 3.000 mètres ; il n'est qu'à quelques kilomètres de la frontière grecque. La stratégie choisie a été d'ouvrir une grande surface, de près de 1.700 m2, complétée par une série de 12 sondages qui précisent l'étendue et la stratigraphie du site. Tous les sédiments ont été tamisés et une attention particulière a été portée aux analyses géo-archéologiques, conduites par Jacques-Léopold Brochier et Jean-François Berger de façon expérimentale et pionnière afin de comprendre le processus de formation des couches. Les travaux de terrain se sont déroulés de 1986 à 2007 et la mission est actuellement dans la phase d'études et de publication.

L'occupation principale date donc du Néolithique ancien, entre 6200 et 5400 environ – ce que confirment les dates au radiocarbone et par archéomagnétisme. Elle est suivie par une occupation plus courte du néolithique moyen, après 5400, avec la céramique noire cannelée caractéristique de cette période. Après une interruption, le site est à nouveau densément occupé au Bronze ancien local (milieu du IVe millénaire), avec des éléments de fortification et une poterie qui évoque à la fois Ezero en Thrace bulgare, et les niveaux Dikili Tash III et Sitagroi IV-V, sites grecs peu éloignés. Enfin des traces sporadiques de l'âge du Fer, de l'Antiquité et même des guerres balkaniques sont présentes.

Ces niveaux du Néolithique ancien sont désormais les mieux étudiés pour le sud-ouest de la Bulgarie, le nord de la Grèce et la Macédoine yougoslave. Ils appartiennent à un faciès culturel qui s'étend sur la Macédoine occidentale grecque (Giannitsa), la Macédoise yougoslave (Anzabegovo) et toute la Bulgarie du sud-ouest. Ce faciès est antérieur à la culture de Karanovo I, avec laquelle commence, sur ce site de référence, le néolithique dans la grande plaine bulgare. Il se présente comme un village assez densément occupé, avec des maisons rectangulaires utilisant différentes techniques de construction et qui aura perduré pendant près d'un millénaire. L'occupation tend à se dilater au cours du temps, les phases les plus anciennes étant regroupées en bordure de terrasse."

Exposition et photographies de Marion Lichardus-Itten, Jean-Paul Demoule, Martine Esline.

Les auteurs de la photographie en ligne sont Marion Lichardus et Jean-Paul Demoule.

Profils d'objets. Approches d'anthropologues et d'archéologues, VIIe colloque international de la Maison René-Ginouvès

Exposition réalisée par Fabienne Wateau (UMR 7186 LESC) et Martine Esline (MAE, USR 3225).

Texte d'introduction de F. Wateau
"Les objets parmi nous
Les objets dont il est question dans ce colloque sont parmi nous. La plupart proviennent de nos terrains ou chantiers de fouille, matière à penser qui nous aide à lire la société. Certains, trop fragiles ou trop précieux, sont des répliques, fabriquées en argile, ou des moulages en résine. Disposés dans des vitrines, sur les bancs, ou encore posés ou suspendus dans le hall, tous ces objets qui ont pu venir au colloque sont ici. Ils s'élèvent au nombre de seize. Les dix autres, restés sur le terrain ou déjà conservés dans des musées, étaient impossible à déplacer. Tous sont représentés en photographies. Vous découvrirez leurs détails, vous y apprendrez un peu de leur usages et destinations. Restent encore aux objets à être contés et racontés lors de ces journées."

Plans généraux

Plans 1-2 et tirages photographiques 1-2. Plans de situation des travaux en 1950 et tirages photographiques du plan et d’une coupe (sans auteur, 1950).
Plans 3-4. Topographie des grottes d’Arcy (sans auteur, 1961).
Plan 5. Relevé au 1/100 des grottes bordant La Cure, du Lion au Cheval, pour l’établissement d’un plan général et de coupes par rapport à La Cure (sans auteur, 1961-1962).
Tirage photographique 3 et plans 6-7. Tirage photographique, plan original de situation des grottes préhistoriques d’Arcy-sur-Cure et tirage (sans auteur, s.d.).
Plan 8. Profil général altitude Cure et zéro des différentes grottes (sans auteur, 1961-1962).
Plans 9-12. Topographie des grottes des Ours, du Trilobite, de l’Hyène, du Lion, du Loup et Galerie Schoepflin (Hesse, Michel Egloff, Ichon, sans auteur, 1962 et s.d.).
Plans 13-19. Tirages des plans des grottes du Lion, Loup, Bison, Renne, Galerie Schoepflin, Ours, Trilobite, Hyène et Cheval (Roger Humbert, s.d.).
Plan 20. Plan du réseau, grotte des Fées, grotte des deux cours à l’échelle 1:500 (Groupe spéléologique et préhistorique Parat, 1963).
Plan 21. Non légendé (sans auteur, 1960).
Présence de deux feuilles de repères topographiques (sans auteur, 1961) classées en fin de dossier.

Planches photographiques isolées

Planche 1. Figures 3 et 4 non légendées de la chronique Vaufrey (s.d.).
Planche 2. Assemblage de tirages non légendé (s.d.).
Planche 3. Arcy, H, chantier en D9-10, Karst A-Z 12-13 (1955).
Planche 4. Arcy H 56-9, E-F-G-10 ; Arcy 56, H10-11, F9-E-F-10, surface du IV B6, coupe de B2-3-4-5 ; Arcy H 56-12-13, E-F-10, décapage IV B6 ; Arcy, H 56-14, E-F10, IV B6, décapage ; Grotte de l’Hyène (1956).
Planche 5. Planche non légendée (s.d.).
Planche 6. F9 au fond, décapage en D9-10, E9-10, surface du IVb6 ; suçoir en E10 ; suçoir en E9, détail ; suçoir en E9, vue générale ; vue de la coupe en E8 (1955).
Planche 7. Grotte de l’Hyène, décapage du IV b1 en F8 ; vue générale F9-F8-E8 ; coupe en F9 après enlèvement du IV a ; F9, coupe, terrier au centre, le décapage est arrêté sur le IV b1 (1955).
Planche 8. Planche non légendée (s.d).
Planche 9. Détail du Karst (plancher) en Y12 ; Karst en Y10-11-12 ; coupe des sables et galets en Y11-12 ; sondage paroi karst Y11-12 ; paroi Nord du sondage en Y-Z-A-12-13 (1955).
Planche 10. Planche non légendée (s.d.).
Planche 11. Planche-contact non légendée (s.d.).

Les planches ne portent ni numéro de négatif ni mention d’auteur.

Objets des tombes de l'âge du Bronze

Sélection de tirages papier des planches originales de dessins d'objets correspondant aux objets découverts dans la tombe 641 de Munhata.
Présence de dessins d'objets provenant des tombes 1001 et 1002 du site de O. Bira.
Ces tirages numérotés de 1 à 15, correspondent respectivement aux planches n° 50, 52, 55 à 64, 68, 70 et 72.

Mobilier

Diapositives 01-02. Dharih 1992, V1, Autel 8.243. .
Diapositives 03-04. Dharih 1996, V1, bétyle 8.242.
Diapositive 05. Dharih 1987, bloc DH87 sur 1 trouvé en ?, Ifapo.FV.71.35.
Diapositive 06. Dharih 1998, S2.BB20.D2, fragment petit autel marbre, face.
Diapositives 07-09. Dharih 1998, S2.CC.9.148, statuette marbre.
Diapositives 10-11. Dharih 2004, S10D, bloc 12.204, table offrande.
Diapositive 12. Dharih 2001, xxxD1, reliquaire en marbre (provenance : remblais de la rampe est) vu de dessus.
Diapositive 13. Dharih 2001, xxxD1, reliquaire en marbre (provenance : remblais de la rampe est) vu de côté.
Diapositive 14. Dharih 1985, S3.F.P8, bloc à rainures, Ifpo-FV-71-34.

Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan

L’exposition a été conçue et réalisée par André Pelle (MAE, UMS 844) durant l'hiver 2000-2001.
Les textes et légendes sont d’Arlette Leroi-Gourhan et d’Ichiro Yamanaka.
Les auteurs des tirages photographiques sont Martine Esline et Serge Oboukhoff (MAE, UMS 844).

Texte d'introduction d'Arlette Leroi Gourhan et d’Ichiro Yamanaka
" C’est en mars 1937, après un mois de navigation, qu’André et Arlette Leroi-Gourhan arrivent à Kobé avec, en poche, une bourse d’étudiant obtenue du Japon. Ils vont parcourir toutes les îles, des grandes forêts du Hokkaïdo aux volcans du Kiou Siou. Les japonais voyageaient alors beaucoup, grâce à des petites lignes de chemins de fer complétées par un vaste réseau d’autobus ; les auberges étaient nombreuses. André Leroi-Gourhan qui lisait le chinois, devait maintenant apprendre à lire les mêmes signes en japonais et, surtout le parler. Sur une colline de Kyoto, notre maison dominait les grands toits des temples shintoïstes ou bouddhistes et les ruelles de la vieille ville. A cette époque, les fouilles préhistoriques étaient peu développées et c’est surtout en tant qu’ethnologue qu’André Leroi-Gourhan, particulièrement attiré par les techniques, prendra des certaines de photos. Les maisons dont les toits changent d’une région à l’autre, les détails concernant les pilotis, comme sous notre maison de Nojiri, les installations intérieures avec les différents murs à glissières, la richesse architecturale des temples, qu’ils soient parmi les plus importants ou perdus dans la forêt, les constructions de minuscules ponts de bois dans les rizières. Chaque détail était objet de réflexion. Le harnachement des chevaux l’a, par exemple, beaucoup étonné par sa diversité : très différent sur l’animal de prestige, celui qui court pour un temple, le cheval déifié en bronze grandeur nature ou celui qui travaille dans les rizières. Si, en 1937, Tokyo était déjà influencé par l’Occident, il n’était pas pensable à Kyoto de rencontrer une femme ne portant pas le kimono et, dans la plus grande partie du pays, les traditions restaient très vivaces. Sur le bateau du retour, André Leroi-Gourhan s’était fixé un nombre d’heures de travail journalier pour rédiger, à chaud, l’apport de ces deux années d’exploration du mode de vie japonais et les questions qu’il soulevait. Nous étions en mai 1939, après 1945, tout écrit sur le Japon fut interdit et le manuscrit inachevé se retrouva au fond d’un tiroir. C’est en partie celui qui, 62 ans après, accompagnera les photos prises à l’époque.

Après la parution de son premier ouvrage, la civilisation du renne ( 1936), une bourse de deux ans au Japon est proposée à André Leroi-Gourhan. C’est ainsi qu’il quitte avec sa jeune femme Marseille le 12 mars 1937. Leur bateau fait escale à Naples (Pompeï), Port-Saïd, Ceylan, Singapour, et Hong-Kong, puis à Shanghai. Ils arrivent finalement au Japon, le 19 avril. Ils choisissent de séjourner à Kyoto et s’installent sur la colline de Kujosan ; dans une maison dont les fenêtres dominent la ville, ancienne capitale du pays du Soleil Levant. C’est l’époque où une nouvelle discipline naît : l’ethnologie. Leroi-Gourhan essayera de saisir les apports offerts par les nouvelles façons de voir de cette science au Japon. Ils passent leur premier été, en juillet- août 1937, au bord du lac de Nojiri, juste au nord de la ville de Nagano, dans un coin montagnard du Japon central. C’est autour de leur maison estivale qu’il récoltera des documents sur la vie agricole. Puis, en septembre 1937, le couple partira sur l’île de Sado où André Leroi-Gourhan observera des hameaux de pêcheurs. Kyoto et Nara sont deux anciennes villes qui gardent, encore en ce temps-là, la belle tradition japonaise. C’est principalement dans cette région que Leroi-Gourhan prends de nombreuses photos des fêtes, des actes religieux, de la vie cérémonielle ainsi que quotidienne, et les techniques. Ils célèbrent le Nouvel An de 1938 dans le village montagnard de Daïsenji, tottori, dans le Honshu de l’ouest. A.Leroi-Gourhan va ensuite à Matsuë dans le département voisin de Tottori, et dans l’île de Kyushu : Fukuoka, Dazaifu, Kumamoto, où il gravit le célèbre volcan en activité d’Aso, en mars 1938. Au cours de l’été 1938, le couple part à Gifu et à Nagoya, dans le Honshu du centre, puis, au mois d’août et septembre, voyage au Hokkaïdo, le pays des Aïnous. Pour le Nouvel An de 1939, ils reviennent dans le village enneigé de Daïsenji. En dehors de ces voyages, A.Leroi-Gourhan doit aller plusieurs fois à Tokyo. Il y étudie, en juillet 1937, les collections archéologiques à l’Institut d’Anthropologie de l’Université Impériale de Tokyo, participe, en janvier 1938, aux fouilles à l’amas de coquille de Kami, attribué à l’époque Jomon, et négocie enfin avec l’Association pour l’Avancement de la Culture Internationale qui lui demande d’organiser l’exposition sur « L’ethnologie du Japon » au Musée de Trocadéro à Paris. Il s’agit d’une manifestation de propagande du pays à l’occasion des Jeux Olympiques de 1940 qui devaient avoir lieu à Tokyo. C’est ainsi qu’il parcouru le Japon, notant la variété de la richesse des formes dans les différentes provinces. Pour les détails techniques, les nombreuses photos – plus de 1600 en fait- , plus explicites qu’un texte, ont précédé l’observation et l’analyse. L’étude des objets, jointe à la possibilité de noter les gestes qui accompagnaient leur fabrication et leurs usages, a élargi cette voie nouvelle qui permettait de lier l’ethnologie à la préhistoire. Dans un milieu naturel inchangé depuis 2000ans, le Japon avait conservé ses techniques ancestrales. Cela permit à A. Leroi-Gourhan de rassembler une importante documentation sur les éléments marquant des méthodes traditionnelles. Les ouvrages de L’homme et la matière, puis, Milieu et techniques qu’il publiera en 1943 et en 1945 doivent beaucoup aux documents enregistrés au Japon. Les événements de l’année 1939 le forcent à un inévitable retour en France, bouleversant des mois de travail. Mais il subsiste malgré tout cette importante documentation photographique encore utilisable de nos jours."

Grotte du Lion

Diapositive 1. Sol dégagé avant le début des fouilles (cliché A. Leroi-Gourhan, s.d.).
Diapositives 2 à 4. Tranchée d’exploration (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositive 5. Sol de la falaise (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 6 à 9. Tranchée d’exploration (clichés A. Vila, 1961).
Diapositives 10 à 17. A28-29, coupe du chemin et plaquettes (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 18 et 19. A39, décapage (clichés A. Vila, 1961).
Diapositive 20. Coupe à -92 (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 21 à 23. A39, -145, coupe jusqu’aux sables (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositive 24. Sol de A39 (clichés A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositive 25. A-B30-34, -312, bloc de remblai (cliché A. Leroi-Gourhan, 1961).
Diapositives 26 et 27. A-B30-34, blocs de remblai (clichés A. Vila, 1961).
Diapositives 28 et 29. A-B32-33, fond de la tranchée (clichés A. Vila, 1961).

Grotte du Lagopède

Diapositives 1 à 4. Courbes de niveau au début (clichés A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositives 5 à 9. Sondage Ouest (clichés A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositives 10 et 11. Vue générale avec foyer (clichés A. Vila, 1962).
Diapositive 12. Vue générale (cliché A. Vila, 1962).
Diapositive 13. Vue générale (cliché A. Leroi-Gourhan, 1963).
Diapositives 15 à 20. Fin du sondage et coupe (clichés A. Vila, 1963).
Diapositive 21. Niveau II et coupe (cliché A. Leroi-Gourhan, 1962).
Diapositives 22 et 29. Couche 3, F26 (clichés A. Vila, 1963).
Diapositive 30. Couche 3, F26-27 (clichés A. Leroi-Gourhan, 1963).
Diapositive 31. Couche III, foyer F26 (cliché A. Vila, 1963).
Diapositive 32. Couche III, foyer F25-26 (cliché A. Vila, 1963).
Diapositives 33 à 42. Couche D, F26 (clichés A. Vila, 1963).

Grotte du Cheval

Diapositive 1. Mammouth (cliché A. Leroi-Gourhan ou Laboratoire Ethnologie préhistorique, UA 275, 1963).
Diapositives 2 et 3. Autre mammouth (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 4. Bison (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 5. Tracés digitaux (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 6. Diapositive non légendée (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 7. Vulve (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 8. Tête de cervidé provenant peut-être d’Arcy (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 9. Autre vulve (duplicata de D. Vialou ? 1982).
Diapositive 10. Tracés végétaux (duplicata de D. Vialou ? 1982).
Diapositives 11 et 12. Diapositives non légendées (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 13. Mammouth (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 14. Grille (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 15. Autre vulve (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 16. Grille (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositives 17-18. Diapositives non légendées (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 19. Tête de cervidé (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 20. Tête de bison ? (duplicata de D. Vialou ? s.d.).
Diapositive 21. Bison (cliché A. Leroi-Gourhan ? s.d.)
Diapositive 22. Diapositive non légendée (duplicata de D. Vialou ? s.d.).

Grotte des Fées

Diapositives 1 à 6. Coupes du sondage au mètre 110 (clichés A. Leroi-Gourhan).
Diapositives 7 et 8. Pendeloque en croche de cerf (clichés A. Leroi-Gourhan).
Diapositives 9 à 15. Pendeloque en croche de cerf (clichés Equipe Ethnologie préhistorique).

Gontsy (Ukraine), un site à cabanes en os de mammouths du paléolithique supérieur récents

L'exposition a été conçue et réalisée par Martine Esline (MAE, UMS 844) au cours du printemps 2008. Les photographies ont été prises par la Mission Archéologique de Gontsy. Les auteurs des textes et légendes sont François Djindjian et Lioudmila Iakovleva (UMR 7041, Equipe Archéologie de l'Asie centrale).

Texte d'introduction de François Djindjian et Lioudmila Iakovleva
"Le site de Gontsy est le premier site paléolithique reconnu en Europe orientale en 1871, dont la découverte revient à G.S. Kyriakov et à F.I. Kaminski. Les anciennes fouilles ont été de durée et d’ampleur limitée (Kaminski, 1873; Guelvig, 1904-1906; Scherbakivski, 1914-1916 ; Levitski, 1935 ; Sergin, 1977-1981) et ont laissé plus de la moitié du site intact. La reprise de fouilles programmées à grande échelle s’est faite en 1993 par une équipe dirigée par L. Iakovleva & F. Djindjian dans le cadre d’une collaboration entre l’Institut d’Archéologie de l’Académie des Sciences d’Ukraine et le CNRS UMR 7041 Arscan (Equipe Asie centrale). De nombreux spécialistes participent aux études scientifiques, notamment de France (CNRS, Université de Paris 1, INRAP) de l’Ukraine (Institut d’Archéologie NAS Ukraine, Université Nationale à Kiev) et de Russie (Institut de Paléontologie RAS de Moscou).
Le site de Gontsy fait partie de la douzaine de sites connus d’Europe orientale dans le bassin moyen et supérieur du Dniepr (Ukraine et Russie) avec des cabanes en os de mammouths datés du Paléolithique supérieur récent entre 15 000 et 14 000 BP. Les autres sites à cabanes en os de mammouths, fouillés depuis la fin du XIX° siècles, ont été étudiés et publiés (Kiev-Kirilovskaia, Mézine, Mejiriche, Dobranichevka, Timonovka, Elisseevichi, Ioudinovo, etc.). Mais le site de Gontsy est exceptionnel parce qu’il fournit la clé de la compréhension totale d’un site (avec ses différentes zones et pas seulement les cabanes), plusieurs cabanes (cinq structures d’habitat dont trois en cours d’étude) et les fameuses zones d’accumulations d’ossements de mammouths fortement anthropisées.

Le site paléolithique de Gontsy est situé en Ukraine, près de Lubny, dans la vallée de l’Udaï, affluent de la Soula, qui rejoint le Dniepr moyen. Il est situé à vingt mètres environ au-dessus du lit actuel de l’Udaï, sur un versant orienté nord, sur un promontoire découpé par les lits d’un système de ravines qui descendent du plateau. A Gontsy, la totalité d’un camp de chasseurs-cueilleurs paléolithique est présent et entièrement conservé, et dont les fouilles ont permis, pour la première fois, une reconstitution globale :
• La zone des habitations avec ses structures (cabanes) en os de mammouths et leur cercle de fosses de stockage,
• Les zones d’activités avec les foyers et les distributions spatiales de supports et d’outils en silex, d’outils en bois de renne, en os et en ivoire, de blocs de colorants, de tâches d’ocre de différentes couleurs, de tests de coquillages, de fragments osseux et d’ivoire, qui révèlent les restes d’activités de la taille du silex, du travail des matières osseuses et du bois végétal, du tannage des peaux, de la préparation des colorants et de la fabrication d’outils en silex et en matières dures animales.
• Les zones de rejet et les dépotoirs constitués de vidanges cendreuses de foyers et de rejets de débitage de silex,
• Les zones de boucherie d’animaux amenés entiers dans le site, surtout des rennes et des animaux à fourrure (carnivores, lièvre, marmotte),
• La zone d’accumulation d’ossements de mammouths au fond et sur les bords des paléoravines, qui contiennent de très nombreux ossements de mammouths, mais aussi de rennes, de bisons, d'animaux à fourrure, trouvés mêlés à des outils en silex, en os et en ivoire ainsi qu’à des vestiges de foyers lessivés.
Des échantillons, confiés, pour des datations 14C AMS, au laboratoire d'Oxford (U.K), ont fourni onze dates entre 14 670 BP et 14 110 BP.
La site de Gontsy apparaît comme un habitat semi-sédentaire, saisonnier de longue durée, à partir duquel ont eu lieu de nombreux déplacements rayonnants pour l’approvisionnement en matières premières, les chasses spécialisées ou pour les échanges nécessaires à la vie du groupe.

Fouilles (1993-2007) de L. Iakovleva (Institut d’Archéologie de l’Académie Nationale des Science d’Ukraine) & F. Djindjian (Université de Paris 1-Panthéon-Sorbonne & CNRS UMR 7041 ArScAn)
Le programme Gontsy a reçu le soutien financier du Ministère des Affaires Etrangères, dans le cadre des fouilles archéologiques françaises à l’étranger, sans interruption depuis 1994 (programme n°240), et à travers le programme PAI DNIPRO n°09862VJ, du Ministère de la recherche à travers le programme ECONET n°10148QD, de l’Institut d’Archéologie à Kiev, de l’ambassade de France en Ukraine et de plusieurs mécénats (notamment l’association « Archéologies d’Eurasie »)."

L'équipe scientifique
Lioudmila Iakovleva (Directeur de recherches à l’Institut d’Archéologie à Kiev, Ukraine)
François Djindjian(Professeur associé Université de Paris 1 et CNRS UMR 7041 Arscan)
Valera Tsibrik (Responsable technique),
Stéphane Konik (Géologue, INRAP France), en charge des études géomorphologiques,
Jeanna Matviichina (Pédologue, Institut de Géologie, Directeur du département de pédologie), en charge des études géologiques et pédologiques
Evgeni Mashenko (Paléontologue, Institut de Paléontologie, Moscou, Russie), en charge de l’étude des accumulations d’ossements de mammouths,
Anne Marie Moigne (Archéozoologue, maître de conférences au Muséum d’Histoire Naturelle,), en charge de l’étude des mammifères,
Galina Sapozhnikova (Tracéologue, Institut d’Archéologie, Odessa), en charge des études tracéologiques,
Sergei Ryzhov (Maître de conférences, Université Taras Schevchenko à Kiev) en charge de la recherche des gîtes de matières premières,
Sophie Grégoire (Centre européen de recherches préhistoriques de Tautavel, France), en charge de la caractérisation des matières premières,
Alexandra Pakharieva, doctorante en co-tutelle entre l’Université Taras Schevchenko à Kiev et l’Université de Paris 1, en charge des études sur l’industrie osseuse, Laboratoire d’Oxford, en charge des datations 14C AMS.

Exposition à l'Université du Yarmouk (Irbid, Jordanie)

Diapositive 01. Vitrine aux stucs.
Diapositive 02. Stucs.
Diapositive 03. Vitrine céramiques.
Diapositive 04. Fronton.
Diapositives 05-06. Salle aux stucs.
Diapositive 07. Vitrine Motab-Nefesh.
Diapositive 08. Fronton.
Diapositive 09. Coin aux jarres.
Diapositive 10. Stucs.
Diapositive 11. Vitrine byzantin.
Diapositive 12. Méduse, fronton, frise au zodiaque.
Diapositive 13. Fermoir argent de bracelet, DH84 C1 II 3.5.
Diapositive 14. Fermoir argent de bracelet_DH88 C1 III 1.D1.
Diapositive 15. Frise au zodiaque.
Diapositives 16-17. Lampe AE de la FR, DHA.
Diapositive 18. Lampe DH96 S2 U05.1, inscription grecque.

Coupes

Coupes 1-2. Coupe Nord-Ouest-Sud Est et coupe du talus en R.Q (sans auteur, 1959).
Coupes 3-5. Coupes « B » (sans auteur, 1961).
Coupe 6. Coupe Ouest Bison (sans auteur, 1963).
Coupe 7. Coupe Est Bison (sans auteur, 1963).
Coupe 8. Plafond Bison en T.U. (sans auteur, 1963).
Coupe 9. Coupe Nord, mètre 8 (sans auteur, s.d.).
Coupe 10. Coupe dans le mètre S (sans auteur, s.d.).
Coupe 11. Coupe en « T » (sans auteur, s.d.).
Coupe 12. Profil de la Grotte du Bison en TU vers S. (sans auteur, s.d.).
Coupe 13. Sans intitulé (sans auteur, 1963).
Coupes 14-15. Sans intitulé (sans auteur, s.d.).

Cartes

Carte 1. Carte de type 1889, Avallon, Service géographique de l’Armée (s.d.).
Cartes 2 et 3. Cartes de la Mission Vermenton-Montbard, échelle 1 :5000 (1948).
Cartes 4-5. Extrait de la carte de la Mission Vermenton-Montbard dont une avec avec annotations (s.d.).
Carte 6. Extrait de la Carte Cassini, Saint-Moré (s.d.)
Carte 7. Carte de France avec dessin des calcaires jurassiques (sans auteur, s.d.).

Campagne 2007, Khirbat adh-Dharih, film n°374, juillet-août 2007

Négatif n°1. S8 sud : restauration du dallage en cours, vers le nord-est.
Négatifs n°2-4. S8 sud-centre : sondage de décapage du dallage enfoncé, juste au sud du mur byzantin est-ouest avec un petit bloc mouluré tombé le long du mur ouest du couloir.
Négatif n°5. Bloc d'assise à feuille en arc 13.005 (de S11C).
Négatif n°6. Inscription arabe.
Négatif n°7. S8B entre les pilastres 3 et 4 du mur ouest du temple, ouverture du souterrain, dallage du corridor, en place au sud, effondré au nord, mortier du dallage, couverture et mur ouest. Vue de l'ouest.
Négatif n°8. Chantier S2SS-TT, niveau mamelouks-ottomans. Vue d'en haut au nord.
Négatifs n°9-12. S9 au centre et au fond : bouche citerne du dallage.

Campagne 1989

N° 01. Oueili 89, 6/11/H80 (auteur PMA).
N° 02_01-03. Oueili 89 - T35 CA8.8, 17/10.
N° 03. Oueili 89 - T34, 26/10/89.
N° 04. Oueili 89 - 1/25 CA1.68 - 1er état casiers.
N° 05. Oueili 89 - T33, 11/11/89, 1/25° - Casiers Etat II.
N° 06. Oueili 89 - Bâtiment 90 (ob.1) 1/50°.
N° 07. Oueili 89, 29/11/89 - 1/25° - U34 Etat intermédiaire entre casier Ob. 0 et la maison Ob. 0, casier 89.57.
N° 08. Oueili 89 - T34, 17/10/89 - 1/25° coup arrière 1,53.
N° 09. Oueili 22/11/89 - U34 - 1/25° - Niveau Etat I casier Ob. 0, CA : 1,73.
N° 10. Oueili 22/11/89 - U34 - 1/25° - Niveau Etat II casier Ob. 0.
N° 11-14. Sans légende.
N° 15. Maison Obeid 0 B.87.41.
N° 16. Oueili 1989 - 1/100°.
N° 17. Sans légende.
N° 18. Sans légende - Oueili.
N° 19. Oueili 89 - Bâtiment 90 (ob.1) 1/50°.
N° 20. Casier 22/10/89.
N° 21. Sans légende.
N° 22-23. Coupes stratigraphiques.
N° 24. Plan du bâtiment 41.
N° 25-26. Plan du bâtiment 37.
N° 27-28. Plans du bâtiment 90, secteur T.
N° 29. Plan du bâtiment 87.37.
Les tirages sont classés en fin d'article.

Campagne 1987

N° 01. Oueili 87 - D4 (auteur PMA).
N° 02. Construction Obeid 1 - U34, 28/10/1987.
N° 03. Oueili 87 - D12 - V34 (auteur PMA).
N° 04. Oueili 87 - D2 - V35 (auteur PMA).
N° 05. Oueili 87 - D9 - U34 (auteur PMA).
N° 06. Oueili 87 - D10 (auteur PMA).
N° 07. Oueili 87 - D17 - U34 (auteur PMA).
N° 08. Oueili 87 - D19 - V34 (auteur PMA).
N° 09. Oueili 87 - D11 - V34 (auteur PMA).
N° 10. Sans légende - Plan des carrés U35, V35.
N° 11. Sans légende - Plan des carrés W36, X36.
N° 12. Sans légende - Plan du carré X36.
N° 13. Sans légende - Plan du carré U37.
N° 14. DJ2 - U34.
N° 15. T35 O 1/20°.
N° 16. Pile Obeid O. 87.41.13 1/10° - B3.
N° 17. Pile Obeid O. 87.41.12 1/10° - A2 montage avec B2.
N° 18. Pile Obeid O. 87.41.13 1/10° - B2 montage avec A2.
N° 19. Pile Obeid O. 87.41.12 1/10° - A1 montage avec B1.
N° 20. Pile Obeid O. 87.41.13 1/10° - B1 montage avec A1.
N° 21. Tell el Oueili, 1987 - T35 - Paroi Est.
N° 22. Sans légende.
N° 23. Tell el Oueili, 1985-1987 - U36 Paroi Sud.

Campagne 1985

N° 01. Oueili, 1985 (auteur PMA).
N° 02. Plan d'ensemble U36 - Construction principale et installations à casiers.
N° 03. Oueili, 1985 - D41 - Nord vers U36 (auteur PMA).
N° 04. Oueili, 1985 - D32 - Nord vers U36 (auteur PMA).
N° 05. Oueili, 1985 - D51 - Nord vers W36 (auteur PMA).
N° 06. Oueili, 1985 - D17 - Nord vers W36 (auteur PMA).
N° 07. Oueili, 1985 - D16 - Nord vers U37 (auteur PMA).
N° 08. Oueili, 1985 - D15 - Nord vers W36 (auteur PMA).
N° 09. Oueili, 1985 - D14 - Nord vers U37 (auteur PMA).
N° 10. Oueili, 1985 - D12 - Nord vers V37 (auteur PMA).
N° 11. Oueili, 1985 - D13 - Nord vers U35 (auteur PMA).
N° 12. Oueili, 1985 - D9 - Nord vers U36-U35 (auteur PMA).
N° 13. Oueili, 1985 - D6 - W35 (auteur PMA).
N° 14. Oueili, 1985 - D10 - Nord vers W35. (auteur PMA).
N° 15. Tell el Oueili, 1985 - Coupe Ouest des carrés W36 et W37 (partiel) - Echelle 1/20° - Berme W36-W37.
N° 16. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 0 : les niveaux médians, ensemble 87.37 et muret 87.78.
N° 17. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 1.
N° 18. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 0 : les niveaux inférieurs : ensembles 85-87.50, 87.79 et mur 85-87.2.
N° 19. Fouilles 1985. T35 - Les vestiges Obeid 0 : le niveau supérieur (ensemble 87.41) et le muret 87.98 / T34 - Les vestiges Obeid 0.

Campagne 1978

Les auteurs des plans et coupes sont Jean-Daniel Forest et Patrick Desfarges.

N° 01. Plan général. Arrêt de fouilles.
N° 02. 1 -Périodes 3, 4a, 4b, 5, 6.
N° 03. 2 -Périodes 2a, 2b.
N° 04. 4 -Période 3.
N° 05. 1 -Période 3, 4a, 4b, 5, 6.
N° 06. Plan général -Périodes 2a, 2b, 3, 4a, 4b, 5, 6.
N° 07. Coupe sur mur Période 2.
Présence de 4 doubles. Les doubles et les 5 tirages sont classés en fin d'article.

Campagne 1976

N° 01. Plan général (auteur Jean-Daniel Forest).
N° 02. Plan général 2a, 2b (auteur Jean-Daniel Forest).
N° 03. Période 3, 4a, 4b (auteur Jean-Daniel Forest).
N° 04. Plan. Période 3 et 6 (auteur Jean-Daniel Forest).
N° 05. Tell Oueili. Plan topographique, 1976 (auteurs J.-P. Braun et J. Signe).
N° 06. Tell Oueili. Four en AA 27. Echelle 1.20°, 1976 (auteurs J.-P. Braun et J. Signe).
Présence de 4 doubles classés en fin d'article.

Autres sites (Jebel Druze, Moushannaf, Qanawat)

Diapositive 1. Mouchannaf, Jebel Druze, près du parvis du temple (1980).
Diapositive 2. Qanawat, caravansérail (1981).
Diapositives 3-4. Qanawat, "sérail" (1981).
Diapositives 5-8. Qanawat, temple (1981).
Diapositive 9. Jebel Druze (mars 1982).
Diapositives 10-11. Carrières du Tell Shihan, Shahba (mars 1982).
Diapositive 12. Carrières du Tell Shihan, Shahba, Paul Dentzer, Jean-Marie Dentzer et François Villeneuve (mars 1982).
Diapositive 13. Qanawat, "sérail" (1984).
Diapositive 14. Le Jebel Druze à l'aube, vu de la région de Bosra, vers le NE (octobre 1986).