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Inventaires
Jean Perrot. Du Village à l'Etat au Proche- et Moyen-Orient Sous-sous-sous-série organique
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Diapositives

Les diapositives portent une identification alphanumérique hormis certaines conservées à la cote JP982.
Cette identification est constituée :

  • du numéro du site (06 pour Munhata)
  • d'une lettre désignant le contenu de la photographie : A pour les vues de terrain, B pour la céramique lors de la campagne de 1963 puis pour tout type d'objet à partir de 1964, C pour les relevés, plans et coupes, F pour le macro-outillage lithique, H pour le funéraire
  • d'un numéro d'ordre.
    Lorsque les diapositives portent le nom de leur auteur, celui-ci est mentionné dans les descriptions.

Fouilles de la Ville royale I de Suse

Dans le courant du IIIe millénaire, Suse s'étend vers l'est. Les occupations successives forment peu à peu une colline que les archéologues nommeront "tepe de la Ville royale". En 1972, un sondage stratigraphique appelé "Ville royale I", est implanté sur le côté occidental du tepe et Jean Perrot en confie la direction à Elizabeth Carter, professeur à l'Université de Californie (Los Angeles, USA). Ce sondage, conduit jusqu'en 1975, a permis d'établir la continuité entre les couches du IVe millénaire à l'Acropole et celles du IIIe millénaire au tepe de la Ville royale, de fixer la séquence archéologique de Suse au IIIe millénaire, et de mettre en lumière les différentes phases de l'histoire politico-culturelle de Suse durant cette période.

Fouilles dans le village moderne de Suse

En 1976, un escalier d'époque achéménide est fortuitement découvert dans un quartier situé au nord-est de la ville moderne. Le Centre iranien de recherche archéologique en confie l'exploration à la Mission de Suse qui dégage l'escalier sur toute sa hauteur en 1977, sous la direction de Hamid Shahidi assisté de Rémy Boucharlat (URA 19 du centre de recherches archéologiques, CNRS) . L'extension des recherches ayant nécessité des expropriations de terrain, il est alors décidé de lever les blocs de l'escalier et de les remonter dans le jardin du Musée de Suse.

Fouilles de la Ville royale II de Suse

Le chantier appelé "Ville royale II" est ouvert en 1975, sous la direction de Pierre de Miroschedji (URA 19 du centre de recherches archéologiques, CNRS). Situé au sud-ouest du tepe de la Ville royale, ce sondage avait pour but de fournir un cadre stratigraphique précis de l'occupation de Suse durant l'époque néo-élamite, de la fin du IIe millénaire au VIe siècle avant notre ère. Il s'inscrit ainsi dans la continuité du sondage de la "Ville royale I" qui couvrait le IIIe millénaire, alors que le IIe millénaire était connu par les fouilles extensives de Roman Ghirshman (Ville royale A) . A l'issue de trois campagnes de fouille menées entre 1975 et 1977, Pierre de Miroschedji a pu définir la séquence archéologique de Suse pour la fin de la période médio-élamite et la période néo-élamite, ainsi que les étapes de l'histoire de son peuplement à partir d'un cadre chrono-stratigraphique et typologique solide.

Fouilles du Palais du Chaour

En 1968, à la suite de la découverte de fragments d'architecture achéménide sur la rive droite du Chaour, un chantier est ouvert dans ce secteur, face aux tepes de Suse. Entre 1969 et 1977, Rémy Boucharlat (URA 19 du centre de recherches archéologiques, CNRS) et Audran Labrousse (architecte) mettent au jour le Palais d'Artaxerxès II, témoin de l'oeuvre des Achéménides à Suse au début du IVe siècle avant notre ère. Sur les ruines achéménides, existent des vestiges d'architecture des époques parthe et sassanide eux-mêmes recouverts par des vestiges islamiques, et notamment une sucrerie découverte en 1973.

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