Affichage de 2461 résultats

Inventaires
Service des archives de la Maison des Sciences de l'Homme Mondes Avec objets numériques
Aperçu avant impression Affichage :

11. Vivre avec les rennes. Environnement et mobilité. Le troupeau domestique est régulièrement ramené près du campement. Région de Nerungri, Sud Yakoutie. Photographie non diffusable

La photographie date de l'été 1998.
Auteur : Alexandra Lavrillier, doctorante, Centre d'études mongole et sibérienne, Groupe de sociologie des religions et de la laïcité, EPHE.

16. Vivre avec les rennes. Santé et comportements alimentaires. Préparation des intestins. Région d’Atchaïvaïam, Nord Kamtchatka

La photographie date du printemps 2000.
Photo : Ethno Renne
Sylvie Beyries, CR CNRS, UMR 6130 Centre d'études de la Préhistoire, de l'Antiquité et du Moyen-Age
Francine David, IR CNRS, UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité, ArScAn-Ethnologie préhistorique
Claudine Karlin, IR CNRS, UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité, ArScan-Ethnologie préhistorique

22. Vivre avec les rennes. Techniques. Le sel est le seul complément apporté à l’alimentation du troupeau qui trouve seul sa nourriture. Région de l'Amour. Photographie non diffusable

La photographie date de l'hiver 1999.
Auteur : Alexandra Lavrillier, doctorante, Centre d'études mongole et sibérienne, Groupe de sociologie des religions et de la laïcité, EPHE.

26. Vivre avec les rennes. Techniques. De jeunes garçons s’entraînent, par le jeu, au lancement du lasso, activité masculine. Région d’Amgouema, Tchoukotka. Photographie non diffusable

La photographie date de l'automne 1997.
Auteur : Virginie Vaté, Post-doctorante au Centre interuniversitaire d'études et de recherches autochtones, Université Laval-Québec (Canada) ; boursière de la Fondation Fyssen ; Chercheur associé au Siberian Studies Centre du Max Planck Institute for Social Anthropology (Allemagne).

32. Vivre avec les rennes. Techniques. Une femme évalue un kamous, peau des pattes de renne, avant de la travailler. Atchaïvaïam, Nord Kamtchatka

La photographie date du printemps 2000.
Photo : Ethno Renne
Sylvie Beyries, CR CNRS, UMR 6130 Centre d'études de la Préhistoire, de l'Antiquité et du Moyen-Age
Francine David, IR CNRS, UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité, ArScAn-Ethnologie préhistorique
Claudine Karlin, IR CNRS, UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité, ArScan-Ethnologie préhistorique

37. Vivre avec les rennes. Techniques. Installation d’un des deux pans qui forment le toit de la yaranga. Chaque pan réunit une trentaine de peaux. Région d’Amgouema, Tchoukotka. Photographie non diffusable

La photographie date du printemps 1999.
Auteur : Virginie Vaté, Post-doctorante au Centre interuniversitaire d'études et de recherches autochtones, Université Laval-Québec (Canada) ; boursière de la Fondation Fyssen ; Chercheur associé au Siberian Studies Centre du Max Planck Institute for Social Anthropology (Allemagne).

39. Vivre avec les rennes. Techniques. En vue de la réparation d'un traîneau, une branche chauffée est courbée en force pour lui donner la convexité voulue. Région d’Atchaïvaïam, Nord Kamtchatka

La photographie date du printemps 2000.
Photo : Ethno Renne
Sylvie Beyries, CR CNRS, UMR 6130 Centre d'études de la Préhistoire, de l'Antiquité et du Moyen-Age
Francine David, IR CNRS, UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité, ArScAn-Ethnologie préhistorique
Claudine Karlin, IR CNRS, UMR 7041 Archéologies et Sciences de l'Antiquité, ArScan-Ethnologie préhistorique

48. Vivre avec les rennes. Aspects symboliques. Lors des fêtes de saison, les planches à feu anthropomorphes, gardiennes symboliques du troupeau, sont nourries de moelle. Région d’Amgouema, Tchoukotka. Photographie non diffusable

La photographie date de l'automne 1997.
Auteur : Virginie Vaté, Post-doctorante au Centre interuniversitaire d'études et de recherches autochtones, Université Laval-Québec (Canada) ; boursière de la Fondation Fyssen ; Chercheur associé au Siberian Studies Centre du Max Planck Institute for Social Anthropology (Allemagne).

Munhata, campagne 1966, vues de terrain et d'objets, de la diapositive 06A622 à la diapositive 06A656

Diapositive 1. L. 717 (06A622).
Diapositives 2 à 3. Bassin 729 (06A623-06A624).
Diapositives 4 à 6. Stratigraphie (06A625-06A627).
Diapositive 7. Stratigraphie, L.603 (06A628).
Diapositive 8. Stratigraphie, L.733 (06A629).
Diapositive 9. Mur 733 (06A630).
Diapositive 10. L.715, stratigraphie (06A631).
Diapositives 11 à 12. L.715 (06A632-06A633).
Diapositive 13. L.713 (06A634).
Diapositives 14 à 18. Os in situ (06A635-06A639).
Diapositives 19 à 27. Vues de terrain (06A640-06A648).
Diapositive 28. Stratigraphie (06A649).
Diapositive 29. L. 766, mur 792 (06A650).
Diapositive 30. Mur 792 (06A651).
Diapositive 31. L. 766, mur 792 (06A652).
Diapositive 32. L.755 (06A653).
Diapositives 33 à 34. L.789 (06A654-06A655).
Diapositive 35. L.785 (06A656).

Munhata, campagnes non identifiées, vues de terrain et d'objets, de la diapositive 06B37 à la diapositive 06C751

Diapositives 1 à 10. Céramique (06B37-06B46).
Diapositives 11 à 16. Vénus (06B47-06B52).
Diapositives 17 à 27. Non légendées (06F62-06F72).
Diapositives 28 à 29. Plan et coupe. Non légendées (06C750-06C751).
Diapositive 30. Objets lithiques (diapositive non numérotée).

Retoka (Efate, Vanuatu), fouille (1967) de l'ensemble sépulcral de Roy Mata

C'est le besoin d'authentifier les traditions orales qui occasionna les travaux de José Garanger sur l'îlot de Retoka et d'autres sites du centre du Vanuatu. Les travaux engagés démontrèrent la valeur historique des documents oraux, auparavant mise en doute, et le caractère complémentaire des disciplines ethnologique et archéologique « pour éclairer le passé océanien le moins ancien » (Garanger 1972).

La tradition indique qu'« à sa mort, il [Roy Mata] fut inhumé à Retoka », un îlot situé au large de la côte ouest de l'île d'Efate, peu accessible et inhabité à l'arrivée des Européens. La tradition dit encore que « son corps fut exposé dans les différents clans qui lui devaient allégeance, avant d'être transporté à Retoka. Une grande foule accompagnait sa dépouille. Une grande cérémonie, accompagnée de sacrifices, fut accomplie; qui dura plusieurs jours. Une partie de la suite de Roy Mata et des représentants de chaque clan furent enterrés vivants, ils étaient volontaires pour le suivre au pays des morts. Les hommes étaient alors inconscients, drogués par d'absorption d'une très forte dose de kava (Piper methysticum) , mais non les femmes. D'autres individus avaient été sacrifiés pendant la cérémonie funèbre. On dansa et l'on chanta puis Retoka fut déclaré "terre interdite " : nul ne pourrait plus y séjourner sans danger d'y mourir ». Le panneau présente en images les principaux résultats de la fouille archéologique qui offrent un parallèle remarquable avec le récit.

Légende du plan : Retoka (Vanuatu), plan montrant la répartition spatiale des défunts, auteur du plan inconnu.

Résultats 2251 à 2300 sur 2461