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Vallée de la Bukhtarma

Cette vallée est connue de longue date. Elle offre le seul débouché de l'Altaï sur la steppe Kazakh. En outre, par un col, sa haute vallée permet de communiquer avec le plateau d'Ukok (2 500 m d'altitude).

La vallée est parsemée de nécropoles à kourganes de différentes époques. A Berel' même, le cimetière Scythe (Saka), a fait l'objet de quelques recherches avant notre travail. En 1865,le turcologue russe Radloff a ouvert le plus grand kourgane, y a découvert de maigres restes laissés par les pillards mais aussi 16 chevaux gelés, qui n'ont pas été étudiés et dont rien ne subsiste de nos jours, comme c'est le cas de tous les chevaux trouvés dans les kourganes de l'Altaï russe, sauf deux de Pazyryk qui sont conservés à l'Ermitage, imprégnés de produits de restauration et des morceaux de ceux d'Ukok à Novosibirsk. En 1958, Sorokin de l'Ermitage a repris la fouille du même kourgane et obtenu des informations architecturales sur la fosse et la chambre funéraire. A Ukok, en Russie, au début des années 1990, les archéologues de Novosibirsk ont fouillé des kourganes dont certains ont livré d'intéressants vestiges organiques gelés. La vallée de la Bukhtarma était donc potentiellement intéressante par la possibilité d'y trouver des tombes gardant des restes organiques gelés et des marques de ces grands échanges est-ouest qui ont parcouru les steppes avant l'arrivée des Grecs et des Han.

L'architecture religieuse

La plupart des Japonais croient au bouddhisme mais ne manquent pas, en même temps, de respecter des divinités locales ( le kami); c’est une sorte de shintoïsme. Dans un village à la campagne, un temple bouddhiste (le tera) ainsi qu’un temple shintoïste (le jinja) se rencontrent souvent côte à côte. Les villageois vont dans le temple shintoïste à la naissance de leur enfant, et dans le bouddhiste pour la cérémonie funèbre.

Dans les temples bouddhistes, la maison (le kuri) où le moine vit avec sa famille est accolée au bâtiment central (le hondô). Le hondô est couvert par un grand toit en croupe, fait en tuiles. Seuls les temples assez important s possèdent des pagodes de trois à cinq étages.
Le portail d’un temple shintoïste (toriï) est constitué de deux poteaux verticaux qui soutiennent deux barres horizontales. Ici sont présentés deux temples célèbres à Kyoto, ceux de Heiän et de Yasaka (Giön).

Secteur 215

EM00.S215.001 Vue générale des structures 215 et 228 (prise de l'est).
EM00.S215.002 Vue générale des structures 215 et 228 (prise de l'est).
EM00.S215.003 Vue générale des structures 215 et 228 (prise de l'est).
EM00.S215.004 L'intérieur de la structure 228 (vu de l'est).
EM00.S215.005 L'intérieur de la structure 228 (vu de l'est).
EM00.S215.006 L'intérieur de la structure 228 (vu de l'est).
EM00.S215.007 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.008 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.009 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.010 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.011 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.012 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.013 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.014 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.015 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.016 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.017 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.018 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.019 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.020 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.021 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.022 La structure 228 prise de l'est.
EM00.S215.023 La structure 228 prise de l'est.
EM00.S215.024 La structure 228 : l'ouest.
EM00.S215.025 La structure 228 : l'ouest.
EM00.S215.026 La structure 228 : l'ouest.
EM00.S215.027 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.028 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.029 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.030 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.031 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.032 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.033 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.034 Structures 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.035 Structures 229 et 242.
EM00.S215.036 Structures 229 et 242.
EM00.S215.037 Structures 229 et 242.
EM00.S215.038 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.039 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.040 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.041 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.042 Structure 229
EM00.S215.043 Structure 229
EM00.S215.044 Gros blocs dans le cailloutis (S‐T/96).
EM00.S215.045 Gros blocs dans le cailloutis (S‐T/96).
EM00.S215.046 Coupe en S/95.
EM00.S215.047 Coupe en S/95.

Baptistère, palais, église annexe et maison moderne, zone 2 à 4

Les relevés et plans portent les n° B00/20 à B00/25 et B00/27, BB 94/1, BB 00/2.1, BB 00/2.2, BB 00/3 à BB 00/8, BB 00/10, BB 00/10a, BB 00/13 à BB 00/19, BB 00/28a, BB 00/28b, BB 00/30 à BB 00/34.
Les relevés et plans, minutes des niveaux du Baptistère ont été réalisés par Chrystelle March et Sophie Valeoni (originaux et copies).

Bosra, pellicule BK22

Négatifs 1-6. Non légendés.
Négatif 7. Ilot 22, palais de Trajan.
Négatif 8. Ilot 22, cathédrale de l'est.
Négatif 9. Ilot 22, palais de Trajan.
Négatif 10. Ilot 22, secteur A, arc nabatéen, façade ouest.
Négatifs 11-20. Non légendés.
Négatifs 21-22. Ilot 16, secteur F, maison du Sheikh, rue nord-sud.
Négatifs 23-24. Ilot 16, secteur F, maison du Sheikh.
Négatif 25. Ilot 15, secteur F, rue nord-sud, du nymphée à la mosquée d'Omar, rue et thermes du Centre.
Négatif 26. Ilot 15, secteur F, rue nord-sud, du nymphée à la mosquée d'Omar, boutique côté est.
Négatif 27. Ilot 15, secteur F, rue nord-sud, du nymphée à la mosquée d'Omar.
Négatif 28. Ilot 17, passage voûté de Saint-Serge.
Négatif 29. Ilot 7, basilique de Bahira.
Négatif 30. Ilot 17, passage voûté de Saint-Serge.
Négatifs 31-33. Non légendés.
Négatifs 34-35. Ilot 14, secteur D, thermes du Centre.
Négatifs 36-37. Ilot 18, rue est-ouest, de Bab el Hawa au tétrapyle.

Pellicule 8

Les légendes des diapositives sont données dans le carnet de la campagne 2000. Les numéros des diapositives utilisés sont écrits sur les caches.
Deux diapositives ne sont pas conservées alors que leurs légendes figurent dans le carnet de la campagne 2000. Il s'agit des numéros 1 et 14. Le numéro 33 n'a pas été utilisé.

Diapositives non répertoriées

Les diapositives portent les légendes suivantes :

  • TSF 2000 2528 terrain (2 diapositives).
  • TSF 2524 (1 diapositive).
  • TSF 2000 chantier H (1 diapositive).
  • 4 diapositives portant les numéros 00D0710, 00D0711, 00D0713, 00D0714 non légendées, représentant des plans.
  • 3 diapositives sans numéro et non légendées.

La vie agricole

Ces photos ont été prises, pour la plupart, dans des hameaux situés autour du lac de Nojiri, au nord de Nagano.

Les chevaux servent au transport ainsi qu’à la culture (cheval de charrue). Ils sont remplacés par des bœufs dans certaines zones plus humides. Le chargement se fait, soit directement sur le dos des animaux, soit sur le chariot ou la charrette. Les chevaux sont donc extrêmement utiles et leur écurie est installée dans la maison même du maître. Aux environs des grandes villes, surtout sur de courtes distances, ce sont les hommes ou les femmes qui tirent les charrettes. Dans le département de Nagano, surtout dans des villages montagnards, l’élevage du ver à soie, qui apporte des fonds non négligeables, s’effectue dans la ferme, en complément de la culture du riz. Après la deuxième guerre mondiale, la vie agricole se transforme au Japon. Dans les années 70, l’introduction du gaz de propane comme combustible fait disparaître progressivement l’usage des bûches à la campagne, changement qui bouleverse les tâches quotidiennes de la cuisine et du chauffage.

Trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs

En 1938, à l’aide d’un photographe, Leroi-Gourhan prend des clichés sur verre de trois fêtes traditionnelles qui sont célébrées successivement :

le 19 juin - la fête du repiquage du riz à Mukomachi,
le 22 juin - la fête de la coupe des bambous au temple de Kurama,
le 17 juillet - la fête de Giön.
Les fêtes du repiquage continueront à s’effectuer partout dans l’archipel, jusque dans les années 50, mais elles disparaîtront par la suite, avec l’introduction de la machine à repiquer des pousses du riz. Au moment de la Guerre puis des désordres de l’après-guerre, la fête de Giön dut être interrompue. Depuis sa reprise, cette fête a tendance à être de plus en plus touristique et attire beaucoup de monde. La fête de la coupe des bambous garde, au contraire, encore une forme assez traditionnelle, grâce à une situation plus isolée.

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