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Film n°358. Khirbat adh-Dharih, Pétra, avril 2004

Négatif n°1. Khirbat adh-Dharih. Temple. Fouille clandestine sur môtab, coin nord-est, dalle soulevée.
Négatif n°2. Khirbat adh-Dharih. Temple. Fouille clandestine d'une pièce d'angle nord-ouest, au sol.
Négatif n°3. Khirbat adh-Dharih. Esplanade devant la façade du temple, vers l'ouest.
Négatifs n°4-5. Khirbat adh-Dharih. Chapiteau et tambours de colonne 3.200, dans le parking est, après retour de l'exposition d'Amman 2002.
Négatif n°6. Khirbat adh-Dharih. "Four" S7B, détail vers le sud-est.
Négatifs n°7-8. Khirbat adh-Dharih. Photographies illisibles.
Négatif n°9. Pétra, secteur Qasr al-Bint. "Château d'eau" (?) en face de Qasr, sur la rive nord du Wadi Musa, vers le nord.
Négatifs n°10-11. Pétra, secteur Qasr al-Bint. Rigoles de collecte d'eau du téménos du Qasr al-Bint : rigole sud, au pied du temple.

Film n°361. Khirbat adh-Dharih, août 2004

Négatifs n°1-3. Chantier B. ensemble, vers le chantier A.
Négatif n°4. Chantier B. Premier plan, ensemble sanctuaire, dans l'axe ; deuxième plan, vers le nord.
Négatifs n°5-6. Sondage A10, tel qu'arrêté.
Négatif n°7. Sondage A10, tel qu'arrêté, partie sud/gros mur arasé, petit "glacis" couvrant le bas des murs ouest, vers l'ouest.
Négatif n°8. A10 : détail du coin sud-ouest, avec "petit glacis", vers le sud.
Négatif n°9. A10 : ensemble, vers le sud-est.
Négatif n°10. Pièce A3, après restauration, vers le nord-ouest.
Négatif n°11. A10, ensemble coupe est, vers l'est.
Négatif n°12. Pièce 13, restauration, vers l'est.
Négatifs n°13-15. S2 coin sud-ouest restauré, après enlèvement S2CC B et Z.
Négatif n°16. Photographie illisible.
Négatif n°17. S2 coin sud-ouest restauré, vers le sud-ouest.
Négatif n°18. S2QQ. Pièce interne, au niveau des banquettes, vers l'ouest.
Négatif n°19. S2PP. Au niveau des mangeoires du mur ouest et au niveau où le mur nord est fondé sur de la terre, vers le nord-ouest.
Négatifs n°20-22. S2QQ. Niveau banquette.
Négatif n°23. S2QQ. Détail contact mur est/mur refend est-ouest, cupule, tubulure.
Négatifs n°24-25. A4. Sol en gros éclats liaisonnés au mortier, associés au mur de partition en petit appareil entre A4 et A8.
Négatif n°26. Bloc 12.179 à feuillure et incisions de lignes perpendiculaires (S11B) (possible inscription grecque).
Négatif n°27. Porte est. S11B rétrécissement byzantin et ottoman, vers l'est.
Négatifs n°28-29. 12.168 : élément de fronton, usé. S11B.
Négatifs n°30-32. 12.171. Gros élément de double départ d'arc, avec claveau rapporté, lié au mortier. S9. Appartient au mur nord du temple ? (sur pilastre n°3 en partant de l'angle nord-est ?).
Négatifs n°33-35. 12.158. Corniche biseautée. S9 (appartient au mur nord du temple ?).
Négatif n°36. Bloc à grande inscription arabe, S11B. 12.187.

Film n°367. Khirbat adh-Dharih, août 2004

Négatifs n°1-22. Bain S2OO-QQ-RR à la fin de la fouille.
Négatif n°23. Bloc en remploi (tracé préparatoire, courbe en ressaut) assise (?) parement (?) du mur sud de S2QQ, vers le nord.
Négatif n°24. Orifice de la chambre de chauffe de S2RR vers S2QQ, vers le nord.
Négatifs n°25-26. Hypocauste sud S2QQ, tunnel ouest, partie nord, vers le nord.
Négatifs n°27-29. Dans l'hypocauste sur S2QQ, tunnel ouest, vers le nord.
Négatif n°30. Partie d'hypocauste sous la limite entre les deux bassins S2QQ. Mur sud enduit, vers le sud-est.
Négatif n°31. Hypocauste sur bassin est (essai), vers le nord (?).
Négatif n°32. Photographie non légendée.
Négatif n°33. Deux demi-colonnes, deux pilastres en réemploi, bassin S6 de S2QQ, vers le nord.
Négatifs n°34-36. Mur nord. Temple, téménos et S9.
Négatif n°37. S8 nord, coupe sud, vers le sud.

Film n°368. Khirbat adh-Dharih, août 2004

Négatif n°1. S8 nord, S9, vers le nord-ouest.
Négatif n°2. S9, général, vers le nord-est.
Négatifs n°3-8. S9 par tronçons ouest-est, jusqu'à S10, vers le nord-est.
Négatifs n°9-10. Mur nord et angle nord-est du temple, mur nord du téménos, vers sud-ouest.
Négatif n°11. Œil (d'une statue) trouvé avec 12.190, en S10B.
Négatif n°12. Fragment avec croissant lunaire, trouvé sur la rampe est du temple.
Négatif n°13. Petite tête féminine en stuc. S176 (S10C.001).
Négatif n°14. S10E et S9, vers l'ouest.
Négatifs n°15-20. S10E, S9 et mur nord temple, d'est en ouest, vers le sud.
Négatif n°21. Mur nord du téménos, face nord, vers le sud.
Négatif n°22. S9, partie centrale (pilastres 2-3, mur nord), vers le sud-ouest.
Négatif n°23. S9, centre, porte bouchée, centrée est-ouest, dans le mur nord du téménos, vers le nord.
Négatifs n°24-25. S9 ouest : porte vers S8, dallage, arc, massif nord-ouest, enduit sur murs, vers le sud-ouest.
Négatifs n°26-29. S8 nord, avec mur oblique du 1er siècle.
Négatifs n°30-32. Autel S10D et environs, vers le sud-est.
Négatif n°33. S10C, fin de fouille, vers l'est.
Négatif n°34. S10D, le long du mur est du temple, vers l'est.
Négatif n°35. S10C, chapiteau tardif, arc nord du hall byzantin à l'est du temple, porte est, vers l'est.
Négatif n°36. Bloc 12.228 (erratique entre S10 est et le mur est du téménos), buste.
Négatif n°37. Abside restaurée en S4, vers le sud-est.

Secteur 202

EM04.S202.001 Vue générale de la structure 202, prise de l'ouest.
EM04.S202.002 Débris autour du foyer 235 : denses à l'est, dispersés à l'ouest.
EM04.S202.003 Débris autour du foyer 235 : denses à l'est, dispersés à l'ouest.
EM04.S202.004 Débris autour du foyer 235 : denses à l'est, dispersés à l'ouest.
EM04.S202.005 Autour du foyer 235, limite des zones denses et dispersées.
EM04.S202.006 Autour du foyer 235 : zone dispersée au sud.
EM04.S202.007 Autour du foyer 235 : zone dense à l'est.
EM04.S202.008 Lentille d'argile en F/99.

Secteur 215

EM04.S215.001 Structures 215 et 228 après démontage de la couronne 228.
EM04.S215.002 Structures 215 et 228 après démontage de la couronne 228.
EM04.S215.003 Structure 228 après démontage de la couronne.
EM04.S215.004 Structure 228 après démontage de la couronne.
EM04.S215.005 Taches cendreuses en Q/96 et Q/97.
EM04.S215.006 Cendres en Q/96 sous une couche de terre non brulée.
EM04.S215.007 Structures 242 (S/97‐98) : petites pierres sous les plus grosses.
EM04.S215.008 Structures 242 et 229.
EM04.S215.009 Secteur 215 : vue générale en fin de saison.
EM04.S215.010 Structures 215 et 228 après démontage de la couronne 228.

Environnement et mobilité

En préhistoire, la reconstitution des formes de la mobilité est fondée sur la caractérisation fonctionnelle des sites, sur la possibilité de différencier leurs statuts respectifs et leur place dans les stratégies de subsistance exploitant un environnement partiellement identifié. Dans les limites du cercle polaire, la toundra correspond aux grandes plaines septentrionales semées de marécages et de lacs. Un fragile lichen est la seule végétation qu'autorise un permafrost profond et durable. Dans les vallées fluviales pousse un couloir forestier de bouleaux nains et de cèdres rampants. Au sud, la toundra arborée présente de claires forêts de mélèzes et de bouleaux. Lui succède progressivement la taïga couverte de forêts de conifères et de feuillus. Partout, des hivers très longs et rigoureux sont suivis d’une belle saison courte.
Le renne est l’animal du grand nord car ses propriétés biologiques lui permettent de supporter les basses températures, et il sait, en s'aidant d'un sabot, chercher les lichens sous l'épais manteau de neige. Par ailleurs, une grande variété de poisson peuple les lacs et les rivières.
Face à des environnements hostiles, le renne et l’homme ont lié leurs existences, pratiquant ensemble le seul mode de vie possible, migration/nomadisation. Le rythme et la nature de ce mouvement varient en fonction de la latitude et des saisons. Partout, en dépit de la motoneige, les rennes restent le principal moyen de locomotion. Certains groupes montent régulièrement ou occasionnellement leurs rennes. Tous circulent en traîneau. Lors de la nomadisation, attelés en nombre variable selon le type de chargement, mais aussi la saison, les rennes transportent hommes et biens.
Dans toute la Sibérie, la peau de renne reste la matière première essentielle des couvertures d’habitation, dont les techniques de fabrication varient : peaux d’hiver ou d’été, telles que, tondues ou tannées, etc. La forme de l’habitation varie elle aussi : conique pour le tchoum, ou rectangulaire, cylindrique à voûte hémisphérique pour la yaranga tchouktche ; caravane montée sur patin pour le balok dolgane.
Le nomadisme se fait en groupe plus ou moins important selon les saisons, fonction à la fois des capacités de l’environnement à subvenir aux besoins des hommes, mais aussi de l’intensité des soins à porter au troupeau domestique dont le comportement change tout au long de l’année. Lorsqu’il y a plusieurs cellules familiales, leur positionnement les unes par rapport aux autres varie en fonction de la saison ou de la région, mais reste toujours significatif de la structuration sociale du groupe. De grands rassemblements marquent l'arrivée du printemps et celle de l'hiver.
Dans la mesure où il est possible d’identifier différentes variables environnementales, l’étude cherche à cerner la manière dont les groupes répondent à chacune de ces contraintes, et à identifier les corrélations existantes entre le degré de contrainte de l’environnement (même saisonnier), la taille du groupe, et le degré de mobilité.

Santé et comportements alimentaires

Dans le nord de la Sibérie, une grande part de l'alimentation provient de l'exploitation du renne, qui apparaît aussi prépondérante dans l'alimentation paléolithique. Cette consommation renforce les liens entre l'homme et l'animal, selon le principe que "nous sommes ce que nous mangeons". Tout dans le renne se mange, depuis les œstres qui se développent sous la peau jusqu'aux sabots, en passant par le velours qui couvre ses bois. En fonction des morceaux, la consommation peut se faire crue, séchée, fermentée ou bouillie, en même temps que sont attribuées des valeurs ajoutées ou des interdits selon la partie concernée.
Quoique moins valorisée, la part du poisson dans l'alimentation est essentielle et toujours présente. Mais plus le nomadisme familial fait place à une transhumance qui accompagne une certaine sédentarisation, et donc un accès plus occasionnel au troupeau, plus cette part est importante. Le poisson se mange cru, gelé, séché, fumé ou bouilli.
La part de nourriture liée au végétal, varie considérablement selon les écosystèmes végétaux. Mais dans l'ensemble, la végétation naturelle est aujourd'hui peu exploitée, hormis les baies à l'automne et certaines plantes utilisées dans la cuisine rituelle.
La très faible diversité d'aliments offerte aux populations ne va pas a priori sans soulever des questions relatives aux diètes et à leurs implications sur l'état sanitaire des populations. L’analyse des comportements alimentaires offre l’avantage de relier l’homme à son écosystème, d'aider à percevoir les modalités de son adaptation et saisir les transformations induites par les mutations socio-économiques.
La capacité du renne à s'adapter aux conditions arctiques et péri-arctiques mérite une étude approfondie. La composition en isotopes stables du carbone et de l’azote des tissus d'un mammifère herbivore rend compte de son alimentation et de l’habitat dans lequel il évolue. Or, la Sibérie est une région de forts contrastes aussi bien pour le paysage végétal que pour l’ambiance climatique. L’adaptation du renne à ces différents contextes environnementaux peut être estimée par des analyses isotopiques réalisées sur son poil, travail qui permettra de préciser les interprétations élaborées à partir de l'analyse des matières animales préhistoriques.

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