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Co-organisation de la table ronde internationale " Les sépultures du Néolithique final et du Bronze ancien (2700-2000 av. J. -C.) ", Sion, Suisse (4-5 octobre 2001)

Table ronde organisée avec l'association "Archéologie et gobelets" sous l'égide de l'association et du Département d'anthropologie de l'Université de Genève. Philippe Chambon y a donné une communication intitulée "Que se passe-t-il dans les sépultures collectives en France à l'époque du Campaniforme ?".

Programme, lettres, formulaires d'inscription et documents afférents, texte de la communication, notes, liste des participants.

Fondation Singer-Polignac

En 2000, Philippe Chambon prépare une demande de bourse à la Fondation Singer-Polignac qu'il ne déposera pas. Le projet s'intitule "Gestion des morts et perception de la mort au néolithique moyen 4500-3500 av. J.-C."

Textes de projets, curriculum vitae, bibliographie, lettres, dossier de demande de bourse.

Campagne 2000

Ce dossier comprend :

  • 3 pellicules de négatifs couleur numérotées 1, 2 , 3. Les légendes ne sont pas contenues dans le carnet de légendes de la campagne 2000.
  • 6 planches-contacts portant les numéros des pellicules : 7, 11, 13, 15 à 17. La planche-contact n° 11 est en 2 parties. Les négatifs correspondants ne sont pas conservés dans le fonds. Les légendes sont contenues dans le carnet de la campagne 2000. Y figurent aussi les légendes des autres pellicules.

Campagne 2000

Les diapositives sont réparties en 6 pellicules numérotées de 7 à 12. Leurs légendes figurent dans le carnet de la campagne 2000. On notera que certaines pellicules ne sont pas conservées dans leur intégralité et la présence de diapositives sans numéro (pellicules 11 et 12).

Projet « Twin Rivers »

Projet porté par Luc Bachelot (Equipe Histoire et Archéologie de l’Orient cunéiforme, UMR 7041 Archéologies et Sciences de l’Antiquité) et le professeur F.M. Fales (université d’Udine). Ce projet ne semble pas avoir abouti.

Représentation graphique du projet, arborescences de base de données, notes de travail, documentation.

La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan)

L'exposition a été conçue et réalisée par André Pelle à l'automne 2000. L'auteur des textes et des légendes est Henri-Paul Francfort.
Les tirages photographiques ont été réalisés par Martine Esline (MAE, UMS 844).

Texte d'introduction d'Henri-Paul Francfort
"La Maison René Ginouvès, propose une sélection de photographies qui rendent compte de manière succincte et imagée de l'opération de fouille de Berel' dans l'Altaï au Kazakhstan oriental. Cette opération a occupé la MAFAC (Mission Archéologique Française en Asie Centrale : CNRS, UMR 7041 et Ministère des Affaires Etrangères) entre 1997 et 2000, en partenariat avec l'institut d'Archéologie Margulan du Ministère de la Recherche de la République du Kazakhstan et le Centro Studi Ricerche Ligabue de Venise (Italie). La MAFAC a travaillé en Asie centrale de longues années en s'attachant d'abord à l'étude des populations anciennes sédentaires des oasis agricoles irriguées de l'âge du bronze et du fer en Afghanistan, au Tadjikistan et au Xinjiang (Chine). Ensuite est venu le monde de la steppe, et son immense richesse en art rupestre, les pétroglyphes, qui, comme les tombeaux, parsèment les territoires qui furent habités et parcourus dans le passé par des populations qui furent, du chalcolithique à l'âge du fer, d'abord agro-pastorales et peu mobiles, puis pastorales et nomades. C'est à la lecture des comptes-rendus des découvertes russes dans l'Altaï, et au cours des recherches de terrain effectuées dans le Taklamakan depuis le début des années 1990 que s'est formées l'idée de chercher des vestiges organiques, biologiques mais pas seulement. Pourquoi ? Parce que l'étude des artefacts et ecofacts sous leur unique aspect minéral (imputrescible) introduit des biais importants dans nos interprétations des sociétés anciennes. Toutes choses étant égales par ailleurs, il est aussi faux de se contenter des restes minéralisés, pour comprendre, que de limiter comme on le faisait jadis, l'archéologie à l'étude des beaux objets. On a beau gloser sur les « exportations invisibles » (comprendre organiques : laine, cuir, aliments etc.), de la Mésopotamie vers le plateau iranien en échange des minéraux, rien ne remplace les véritables données. Et de même pour ce qui concerne les analyses torturées de nécropoles effectuées pour tenter de démêler les parentés entre les morts et les hiérarchies sociales : l'imputrescible distord les données. Cette opération visait donc à être un test sur des terrains favorables accessibles en Asie centrale, ceux qui fournissent les matériaux desséchés (Taklamakan) et ceux qui les livrent congelés (Altaï). C'est donc d'une archéologie de l'organique et du biologique, bref d'une archéologie du périssable dont il est question. En arrière-plan s »élabore une évaluation des distorsions interprétatives introduites par leur défaut de prise en compte (les tombes du Taklamakan seraient, avec peu de poterie et moins de métal, considérées comme fort pauvres sans les tissus, les vêtements, les fourrures, les aliments, les objets en bois, etc.), ainsi qu'une amélioration des techniques de collecte de ces données. Archéologie également de la couleur et des arts du bois, du cuir, du textile, mais aussi des corps ornés, peints ou tatoués, aux coiffures tressées, nattées, etc. on comprend ainsi que la paléo-génétique humaine, qui exerce parfois de grands prestiges au service d'hypothèses ethno-linguistiques controuvées, mérite que l'on s'y intéresse, mais en même temps qu'à la parasitologie, la bactériologie, la virologie, et aussi à la génétique de ces micro-organismes eux-mêmes, qui ont vécu, se sont reproduits et ont aussi muté, comme l'o fait les gènes des animaux domestiques et sauvages, et ceux des plantes de ces sociétés. Le programme est vaste et ne concerne pas qu'une discipline. Pourtant, la richesse d'informations contenue dans les transits alimentaires et des déjections ne doit pas nous faire négliger les productions symboliques et artistiques les plus élaborées en matériaux périssables, si importantes pour ces sociétés. Les photographies d'André Pelle montrent bien que le bois sculpté peut être plus important à regarder que la feuille d'or qui le rehausse mais l'oblitère parfois."

Présence d'affiches pour une autre exposition réalisée à partir des photographies de M. Pelle. Cette exposition intitulée "Fouille d'un kourgane au Kazakhstan" a été présentée à l'université de Paris X Nanterre entre le 22 janvier et le 2 février 2001.

Responsable de la section « Archéologie du Moyen Âge » de l’UFR 03 « Histoire de l’art et archéologie » et membre de la Commission pédagogique

Dossiers de demande d’habilitation à délivrer la licence professionnelle d’archéologie (2002 et 2004), comptes rendus de réunions, notamment de la Commission pédagogique, procès-verbal du conseil de l’UFR (15/06/2001), lettres, circulaires, notes de travail, projets de maquette, modèle de convention de partenariat avec l’INRAP, réglementation.

Campagne 2000

Carnet 1. Sans intitulé, 2000 (auteur : J.-F. Jarrige, du 8 au 12 janvier 2000).
Carnet 2. MR 3, 2000, chantier Nord (auteur : C. Jarrige, du 8 janvier au 24 février 2000).
Carnet 3. MR 00 03 North, MR 00 03 South, (auteur : G. Quivron, du 13 janvier au 5 mars 2000).

Présence de notes concernant le site de Dauda Damb dans le carnet 3.
Présence de feuilles volantes à l’intérieur des carnets.

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