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La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan)

L'exposition a été conçue et réalisée par André Pelle à l'automne 2000. L'auteur des textes et des légendes est Henri-Paul Francfort.
Les tirages photographiques ont été réalisés par Martine Esline (MAE, UMS 844).

Texte d'introduction d'Henri-Paul Francfort
"La Maison René Ginouvès, propose une sélection de photographies qui rendent compte de manière succincte et imagée de l'opération de fouille de Berel' dans l'Altaï au Kazakhstan oriental. Cette opération a occupé la MAFAC (Mission Archéologique Française en Asie Centrale : CNRS, UMR 7041 et Ministère des Affaires Etrangères) entre 1997 et 2000, en partenariat avec l'institut d'Archéologie Margulan du Ministère de la Recherche de la République du Kazakhstan et le Centro Studi Ricerche Ligabue de Venise (Italie). La MAFAC a travaillé en Asie centrale de longues années en s'attachant d'abord à l'étude des populations anciennes sédentaires des oasis agricoles irriguées de l'âge du bronze et du fer en Afghanistan, au Tadjikistan et au Xinjiang (Chine). Ensuite est venu le monde de la steppe, et son immense richesse en art rupestre, les pétroglyphes, qui, comme les tombeaux, parsèment les territoires qui furent habités et parcourus dans le passé par des populations qui furent, du chalcolithique à l'âge du fer, d'abord agro-pastorales et peu mobiles, puis pastorales et nomades. C'est à la lecture des comptes-rendus des découvertes russes dans l'Altaï, et au cours des recherches de terrain effectuées dans le Taklamakan depuis le début des années 1990 que s'est formées l'idée de chercher des vestiges organiques, biologiques mais pas seulement. Pourquoi ? Parce que l'étude des artefacts et ecofacts sous leur unique aspect minéral (imputrescible) introduit des biais importants dans nos interprétations des sociétés anciennes. Toutes choses étant égales par ailleurs, il est aussi faux de se contenter des restes minéralisés, pour comprendre, que de limiter comme on le faisait jadis, l'archéologie à l'étude des beaux objets. On a beau gloser sur les « exportations invisibles » (comprendre organiques : laine, cuir, aliments etc.), de la Mésopotamie vers le plateau iranien en échange des minéraux, rien ne remplace les véritables données. Et de même pour ce qui concerne les analyses torturées de nécropoles effectuées pour tenter de démêler les parentés entre les morts et les hiérarchies sociales : l'imputrescible distord les données. Cette opération visait donc à être un test sur des terrains favorables accessibles en Asie centrale, ceux qui fournissent les matériaux desséchés (Taklamakan) et ceux qui les livrent congelés (Altaï). C'est donc d'une archéologie de l'organique et du biologique, bref d'une archéologie du périssable dont il est question. En arrière-plan s »élabore une évaluation des distorsions interprétatives introduites par leur défaut de prise en compte (les tombes du Taklamakan seraient, avec peu de poterie et moins de métal, considérées comme fort pauvres sans les tissus, les vêtements, les fourrures, les aliments, les objets en bois, etc.), ainsi qu'une amélioration des techniques de collecte de ces données. Archéologie également de la couleur et des arts du bois, du cuir, du textile, mais aussi des corps ornés, peints ou tatoués, aux coiffures tressées, nattées, etc. on comprend ainsi que la paléo-génétique humaine, qui exerce parfois de grands prestiges au service d'hypothèses ethno-linguistiques controuvées, mérite que l'on s'y intéresse, mais en même temps qu'à la parasitologie, la bactériologie, la virologie, et aussi à la génétique de ces micro-organismes eux-mêmes, qui ont vécu, se sont reproduits et ont aussi muté, comme l'o fait les gènes des animaux domestiques et sauvages, et ceux des plantes de ces sociétés. Le programme est vaste et ne concerne pas qu'une discipline. Pourtant, la richesse d'informations contenue dans les transits alimentaires et des déjections ne doit pas nous faire négliger les productions symboliques et artistiques les plus élaborées en matériaux périssables, si importantes pour ces sociétés. Les photographies d'André Pelle montrent bien que le bois sculpté peut être plus important à regarder que la feuille d'or qui le rehausse mais l'oblitère parfois."

Présence d'affiches pour une autre exposition réalisée à partir des photographies de M. Pelle. Cette exposition intitulée "Fouille d'un kourgane au Kazakhstan" a été présentée à l'université de Paris X Nanterre entre le 22 janvier et le 2 février 2001.

Vallée de la Bukhtarma

Cette vallée est connue de longue date. Elle offre le seul débouché de l'Altaï sur la steppe Kazakh. En outre, par un col, sa haute vallée permet de communiquer avec le plateau d'Ukok (2 500 m d'altitude).

La vallée est parsemée de nécropoles à kourganes de différentes époques. A Berel' même, le cimetière Scythe (Saka), a fait l'objet de quelques recherches avant notre travail. En 1865,le turcologue russe Radloff a ouvert le plus grand kourgane, y a découvert de maigres restes laissés par les pillards mais aussi 16 chevaux gelés, qui n'ont pas été étudiés et dont rien ne subsiste de nos jours, comme c'est le cas de tous les chevaux trouvés dans les kourganes de l'Altaï russe, sauf deux de Pazyryk qui sont conservés à l'Ermitage, imprégnés de produits de restauration et des morceaux de ceux d'Ukok à Novosibirsk. En 1958, Sorokin de l'Ermitage a repris la fouille du même kourgane et obtenu des informations architecturales sur la fosse et la chambre funéraire. A Ukok, en Russie, au début des années 1990, les archéologues de Novosibirsk ont fouillé des kourganes dont certains ont livré d'intéressants vestiges organiques gelés. La vallée de la Bukhtarma était donc potentiellement intéressante par la possibilité d'y trouver des tombes gardant des restes organiques gelés et des marques de ces grands échanges est-ouest qui ont parcouru les steppes avant l'arrivée des Grecs et des Han.

L'architecture religieuse

La plupart des Japonais croient au bouddhisme mais ne manquent pas, en même temps, de respecter des divinités locales ( le kami); c’est une sorte de shintoïsme. Dans un village à la campagne, un temple bouddhiste (le tera) ainsi qu’un temple shintoïste (le jinja) se rencontrent souvent côte à côte. Les villageois vont dans le temple shintoïste à la naissance de leur enfant, et dans le bouddhiste pour la cérémonie funèbre.

Dans les temples bouddhistes, la maison (le kuri) où le moine vit avec sa famille est accolée au bâtiment central (le hondô). Le hondô est couvert par un grand toit en croupe, fait en tuiles. Seuls les temples assez important s possèdent des pagodes de trois à cinq étages.
Le portail d’un temple shintoïste (toriï) est constitué de deux poteaux verticaux qui soutiennent deux barres horizontales. Ici sont présentés deux temples célèbres à Kyoto, ceux de Heiän et de Yasaka (Giön).

Secteur 215

EM00.S215.001 Vue générale des structures 215 et 228 (prise de l'est).
EM00.S215.002 Vue générale des structures 215 et 228 (prise de l'est).
EM00.S215.003 Vue générale des structures 215 et 228 (prise de l'est).
EM00.S215.004 L'intérieur de la structure 228 (vu de l'est).
EM00.S215.005 L'intérieur de la structure 228 (vu de l'est).
EM00.S215.006 L'intérieur de la structure 228 (vu de l'est).
EM00.S215.007 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.008 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.009 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.010 Structure 228 dans structure 215.
EM00.S215.011 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.012 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.013 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.014 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.015 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.016 Structures 228, 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.017 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.018 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.019 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.020 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.021 Vue générale de la structure 215 prise du nord‐ouest.
EM00.S215.022 La structure 228 prise de l'est.
EM00.S215.023 La structure 228 prise de l'est.
EM00.S215.024 La structure 228 : l'ouest.
EM00.S215.025 La structure 228 : l'ouest.
EM00.S215.026 La structure 228 : l'ouest.
EM00.S215.027 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.028 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.029 Dépression est‐ouest dans 228.
EM00.S215.030 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.031 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.032 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.033 Détail dans 228 : galets de basalte sur la surface.
EM00.S215.034 Structures 229 et 242 dans 215.
EM00.S215.035 Structures 229 et 242.
EM00.S215.036 Structures 229 et 242.
EM00.S215.037 Structures 229 et 242.
EM00.S215.038 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.039 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.040 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.041 La structure 229 passe sous 242.
EM00.S215.042 Structure 229
EM00.S215.043 Structure 229
EM00.S215.044 Gros blocs dans le cailloutis (S‐T/96).
EM00.S215.045 Gros blocs dans le cailloutis (S‐T/96).
EM00.S215.046 Coupe en S/95.
EM00.S215.047 Coupe en S/95.

Responsable de la section « Archéologie du Moyen Âge » de l’UFR 03 « Histoire de l’art et archéologie » et membre de la Commission pédagogique

Dossiers de demande d’habilitation à délivrer la licence professionnelle d’archéologie (2002 et 2004), comptes rendus de réunions, notamment de la Commission pédagogique, procès-verbal du conseil de l’UFR (15/06/2001), lettres, circulaires, notes de travail, projets de maquette, modèle de convention de partenariat avec l’INRAP, réglementation.

Membre du Comité scientifique « Zones Ateliers » du programme Environnement, vie et sociétés (PEVS) du CNRS

Dossiers des candidats (propositions en réponse aux appels à projets), rapports, compte rendu de réunion, lettres, télécopies, courriels.
Contient un rapport sur les Observatoires de recherche pour l’environnement (ORE) (2002).

JB314. Année 2000.
JB315. Année 2001.
JB316. Année 2002.

Baptistère, palais, église annexe et maison moderne, zone 2 à 4

Les relevés et plans portent les n° B00/20 à B00/25 et B00/27, BB 94/1, BB 00/2.1, BB 00/2.2, BB 00/3 à BB 00/8, BB 00/10, BB 00/10a, BB 00/13 à BB 00/19, BB 00/28a, BB 00/28b, BB 00/30 à BB 00/34.
Les relevés et plans, minutes des niveaux du Baptistère ont été réalisés par Chrystelle March et Sophie Valeoni (originaux et copies).

Bosra, pellicule BK22

Négatifs 1-6. Non légendés.
Négatif 7. Ilot 22, palais de Trajan.
Négatif 8. Ilot 22, cathédrale de l'est.
Négatif 9. Ilot 22, palais de Trajan.
Négatif 10. Ilot 22, secteur A, arc nabatéen, façade ouest.
Négatifs 11-20. Non légendés.
Négatifs 21-22. Ilot 16, secteur F, maison du Sheikh, rue nord-sud.
Négatifs 23-24. Ilot 16, secteur F, maison du Sheikh.
Négatif 25. Ilot 15, secteur F, rue nord-sud, du nymphée à la mosquée d'Omar, rue et thermes du Centre.
Négatif 26. Ilot 15, secteur F, rue nord-sud, du nymphée à la mosquée d'Omar, boutique côté est.
Négatif 27. Ilot 15, secteur F, rue nord-sud, du nymphée à la mosquée d'Omar.
Négatif 28. Ilot 17, passage voûté de Saint-Serge.
Négatif 29. Ilot 7, basilique de Bahira.
Négatif 30. Ilot 17, passage voûté de Saint-Serge.
Négatifs 31-33. Non légendés.
Négatifs 34-35. Ilot 14, secteur D, thermes du Centre.
Négatifs 36-37. Ilot 18, rue est-ouest, de Bab el Hawa au tétrapyle.

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