30. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Frontal orné d'une face de félin sur les pattes arrière, griffues, de deux autres félins de profil. On a trouvé sur l'un des chevaux trois de ces objets, jusqu'ici inconnus dans le répertoire des Scythes de l'Altaï
31. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Pendeloque à deux protomés de cerfs bouche ouverte. L'étroitesse de la pièce a conduit à une réduction de l'ampleur des bois, réduits à trois andouillers qui se recourbent sur le merrain, donnant une meilleure cohésion à l'objet, mais rappelant aussi de tels rendus d'andouillers sur des bronzes ou même des pétroglyphes d'Asie centrale. Les yeux sont agrandis, comme les oreilles et un détail « naturaliste » stylisé : les meules à la racine des bois
10. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval, une charrette et un chasse-mouches à Akagawa, village situé à 2 km au nord de celui de Nojiri, Nagano
17. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu couvert par un futon et une planhe. On remarque sur celle-ci une théière et deux tasses sur un plateau
20. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Deux paysannes ouvrant leur boutique de plein air dans une foire. Temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
24. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le bâtiment central du temple bouddhiste de Myosenji à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
25. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Un petit temple à l’entrée d’un cimetière, avec son faîtage de bois sculpté à Kashiwabara, Nagano
04. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 1
09. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 4
10. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 1