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Table ronde "Les Sanctuaires autochtones et le roi dans le Proche‐ Orient héllenistique. Entre autonomie et soumission", Nanterre, Maison René‐Ginouvès, 02/12/2011, dans le cadre d'un colloque "Economie et politique dans le Proche‐Orient au Ier millénaire", organisé par ArScan, les 02 et 03 décembre 2011

Intitulé de la communication de D. Agut (en coll. avec Gille Gorre) : "De l'autonomie à l'intégration : les temples d'Egypte face à la couronne, des Saïtes aux Ptolémées (VIe‐IIIe s. av. J.‐C.)".

Versions préparatoires de communications ou publication de différents auteurs dont G. Tolini, texte préparatoire des actes, programme.

Les carrières de El Ferriol et l'atelier de sculpture d'Elche (Alicante)

L’exposition a été réalisée par Fanny Bastien et Martine Esline (MAE, USR 3225) au cours du printemps 2011, sur proposition de Pierre Rouillard , directeur de la Maison René-Ginouvès. Les auteurs des textes et des légendes sont Pierre Rouillard et Gérard Monthel.

Texte d'introduction de Pierre Rouillard, Jésus Moratalla, Laurent Costa, Christian Montenat, Gérard Monthel
"Les techniques d'extraction évoluent peu dans le temps, au moins, bien sûr, jusqu'à la période de la mécanisation violent par l'utilisationdes explosifs au début du XXème siècle. les enlévements sont essentiellement réalisés avec une sorte de pioche ou pic dont le fer possédait un tranchant large d'environ 3 cm, en moyenne, et perpendiculaire à l'emmanchement. On y maniait aussi le taillant ou la polka pour régullariser ou aménager les fronts. quelques levages ont été terminés avec des coins.

Un des intérêts du site de El Ferriol est qu'il réunissait dans des "loges" contiguës, carriers et tailleurs de pierre. Lorsqu'il extrayait un bloc, le carrier était avant tout guidé par la qualité de la roche. Le tailleur orientait ensuite ses choix en fonction de ses besoins, bloc d'architecture, de sculpture de taureau ou de buste. Il choisissait sa pierre dans un "calepin" où les cailloux bruts d'arrachement pouvaient avoir une longueur de 0,80 m, de 1m, de 1,30 m... La découverte d'une ébauche de sculpture d'époque ibérique prouve que ces savoir-faire étaient attenants. La présence d'une vasque abandonnée, car brisée lors de son épannelage, le dit aussi. les éclats de taille de petit calibre, amoncelés en "tas", amas coniques sur lesquels travaillaient les tailleurs, voire les sculpteurs, l'explicitent tout autant. ( De là vient l'expression "travailler sur le tas").

Trois qualités de pierre sont attestées dans cette région. le type présent à El Ferriol est un calcaire bioclastique fin, beige jaunâtre du Miocène inférieur-moyen, celui utilisé pour la Dame d'Elche. Aussi conduisons nous une une autre enquête qui vise à retrouver les usages du calcaire de El ferriol dans les sculptures et les édifices proches. Monforte del Cid et Elche, l'un au nord, l'autre au sud de El Ferriol, à une dizaine de km dans chaque cas, l'ont mis en oeuvre à des époques variées. Nous le savions pour la sculpture ibérique de La Alcudia et d'Elche et les fouilles récentes conduites à Monforte del Cid nous ont confirmé son usage dans la sculpture animale d'époque ibérique.A Elche même, pour la construction de l'Ayuntamieto ( un édifice datant en partie du XVIème siècle) du calcaire de El Ferriol a été utilisé. Mais la principale consommatrice de ce calcaire est l'église Santa Maria, construite au XVIIIème siècle : une partie des mus et les sculptures du somptueux portail sud sont en calcaire de El Ferriol."

Angola

Les recherches actuelles en Angola montrent l'existence d'une cinquantaine de sites d'art rupestre sur l'ensemble du territoire. La diversité de peuples qui habitent le pays et l’extension de territoire, 1248000 km2, sont sans doute à l'origine de la diversité de l'art rupestre du pays. De la même manière que dans d'autres régions du continent, il est très probable que les motivations des artistes et donc les significations des figures soient très variées. Il faut donc tenir compte de ces données pour aborder l'interprétation de l'art de cette partie de l'Afrique.
Les publications sur l'art rupestre d'Angola sont relativement anciennes et c'est en 1818 que J. Tuckey signale l'existence d'un site d'art rupestre sur la rive gauche du fleuve Zaïre/Congo. Depuis cette date d'autres sites ont été découverts, en particulier au sud du pays. Il est fort probable que des campagnes de prospection sur des zones peu connues du point de vue artistique rendraient l'actuelle carte des sites beaucoup plus fournie.

Namibie

Bien que la Namibie soit un pays semi-désertique, il compte des massifs rocheux riches en sites d'art rupestre. Ils se trouvent aussi bien au nord qu'au sud de son vaste territoire, 825000 km2. Au nord c'est notamment dans le massif du Drakensberg que l'on trouve de très nombreux sites de peintures rupestres. Les gravures rupestres sont également très nombreuses et l'on trouve une forte concentration dans l'ensemble de Twyfelfontein, au nord du pays.

A l'autre extrémité du pays, le site d'Apollo 11, dans les montagnes Huns, a livré des plaques en pierre couvertes de peintures représentant des animaux et qu'à l'époque de leur découverte, au milieu des années 1970, étaient considérées comme le plus ancien témoignage de la création artistique africaine (26 000 BP).

L'interprétation de la l'art rupestre de la Namibie a fait l'objet de nombreuses approches et l'un des sites emblématiques des difficultés qui entourent cette partie de l'étude de l'art rupestre est sans doute la grotte Maack devenue, par un concours de circonstances, la "grotte de la dame blanche".

XVe colloque international du réseau Méga-Tchad, "Les échanges et la communication dans le bassin du lac Tchad", Naples (Italie), 13 - 15 septembre 2012

Appel à communications, comptes rendus de réunions, programme, évaluation des résumés, rapports, courriels, liste de courriels, liste des auteurs, consignes aux auteurs, texte de la communication "Echanges internes et externes chez les pasteurs : le système économique des Toubou", texte de la publication, illustrations préparatoires.

Colloque "Regards scientifiques sur l'Afrique. Nouvelles méthodes, nouvelles données en sciences humaines", musée du Quai Branly, 17-18 novembre 2011

Catherine Baroin était dans le comité organiseur du colloque. Elle a aussi présenté cette communication : "Internet au service de la science : histoire et fonctionnement du réseau Méga-Tchad".
Programme, texte du projet de colloque, textes préparatoires de la communication et de la publication, texte publié.

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