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Groupe de recherche "Informatique et archéologie"

L'association G.R.I.A. a été créée en décembre 1973. Sa mission est de développer les applications de l'informatique à l'archéologie et de diffuser auprès des chercheurs les différents travaux théoriques réalisés dans ce domaine. L'association regroupe différentes équipes de chercheurs qui développent des programmes d'informatisation de données archéologiques. Dès sa création, l'URA 12 développe des bases de données, en particulier sur la céramique et les structures d'habitat protohistoriques.
L'association semble avoir été dissoute après 1982.

Statuts, programme de cours, rapport d'activité, lettres, liste de membres.

Conseil supérieur de la recherche archéologique

Entre 1990 et 1992, Jean-Paul Demoule est membre du Conseil supérieur de la recherche archéologique. Dans ce cadre, il participe au Comité de pilotage pour la publication des résultats des fouilles du TGV nord, sous la direction de Jean-Claude Blanchet. Une douzaine de volumes devaient être publiés dans une collection intitulée "Archéologie et grands travaux" rattachée à la collection "Documents d'archéologie française", éditée par les Éditions de la Fondation de la Maison des sciences de l'homme.

En février 1992, la plupart des membres du Conseil supérieur de la recherche archéologique démissionnent, dénonçant par cet acte de graves dysfonctionnements quant la gestion scientifique des fouilles archéologiques. En effet, le Conseil ne parvient pas à se prononcer sur la totalité des opérations de sauvetage archéologique et ne peut donc proposer une politique globale en matière d'archéologie nationale. Les membres démissionnaires souhaitent une redéfinition des missions du Conseil, l'obtention de moyens et la mise en place d'un système organisationnel cohérent.

Besoins en locaux pour les archéologues parisiens

En 1983, le Département des sciences de l'homme et de la société (SHS) du CNRS mène une enquête sur les besoins des équipes d'archéologie de la région parisienne en matière de locaux de recherche. Il s'avère alors que les locaux sont très insuffisants, dispersés et que les archéologues ne disposent pas de moyens collectifs adaptés. Jean-Paul Demoule, chargé de mission pour l'archéologie auprès de la direction du Département SHS du CNRS, mène diverses études sur cette question jusqu'en 1986. Dans le cadre du Comité technique pour l'archéologie mis en place en 1984 par la direction du Département, un dossier complet est réalisé et plusieurs projets sont proposés. Il est envisagé de regrouper les équipes d'archéologues travaillant à l'Institut d'art et d'archéologie (rue Michelet à Paris) au sein d'un groupement d'intérêt scientifique (GIS) et, soit de réaménager les locaux de l'Institut, soit de créer de nouveaux locaux. Les options de localisation sont Paris intra muros, ou bien le campus de l'Université de Paris X-Nanterre, ou bien le site de Marne-la-Vallée. En 1985, le Ministère de la Culture a le projet de créer un Institut national d'histoire de l'art au sein des locaux occupés par l'Institut d'art et d'archéologie. Il propose alors de réaménager le site de la Manufacture des Gobelins afin de "reloger" les équipes du CNRS et de l'Université de Paris 1 hébergées rue Michelet. A l'issue de quatre années d'études et de projets, aucune solution n'est finalement retenue. Des documents postérieurs (probablement des années 1987-1990) témoignent du projet d'installation d'une Maison de l'archéologie sur le campus de l'Université de Paris X-Nanterre et du projet de création d'une bibliothèque spécialisée dans le domaine des antiquités nationales.

Documents d'enquête, rapports, notes de travail, textes de projet, comptes rendus de réunion, notes de réunion, lettres, notes de réflexion.

Présence de nombreux documents s.d.

Les revues en archéologie

En 1988, sur proposition du Conseil supérieur de la recherche archéologique, un "Groupe de réflexion sur les publications archéologiques" est mis en place par la Sous-direction de l'archéologie (Ministère de la Culture). L'objectif est de dresser le bilan de l'édition archéologique française afin de permettre aux différents acteurs institutionnels de définir ensemble une politique éditoriale. Cette politique permettrait de répondre aux besoins de l'archéologie française en matière de publication, et en particulier, d'assurer une meilleure diffusion des résultats et une meilleure gestion des financements publics. Jean-Paul Demoule participe à ce groupe de travail jusqu'en 1991. Auparavant, plusieurs bilans sur la situation des revues en archéologie sont réalisés. En 1983, Jean-Paul Demoule, chargé de mission pour l'archéologie auprès de la direction du Département des sciences de l'homme et de la société (SHS) du CNRS, est chargé de mener une "Enquête sur le contenu, la structure rédactionnelle et la politique d'édition de 17 revues européennes". Un rapport, rédigé par J. Dubouloz, est remis en octobre 1983 à la direction du Département SHS. La même année, la Sous-direction de l'archéologie et le CNRS mettent en place le projet de "couvrir" le territoire national par des revues régionales, ce qui entraîne la création de nouvelles revues. En mars 1987, la Sous-direction de l'archéologie présente un bilan de la situation de 9 revues financées par le CNRS et le Ministère de la Culture. Le rapport, établi par D. Jourdy sous la direction de Christine Richet, est complété par une seconde enquête réalisée en mars 1989. En juillet 1988, à la demande de la direction du Département SHS du CNRS, Michel Gras rédige un rapport intitulé "Le CNRS et les revues archéologiques dans les régions françaises". Ce rapport avait pour objectif d'analyser la situation de plusieurs revues "propres" du CNRS, subventionnées à la fois par le CNRS et par le Ministère de la Culture, suivant le dispositif mis en place en 1983.

Rapports d'enquête, lettres, comptes rendus de réunion, notes, documentation.

Films

Film 1 : "Archéologie, Israël, documents M. Perrot, film 6", 2mn58s.
Film 2 : "Archéologie Munhata, Israël, éléments Perrot 1, 1 contre-dupli, film 3", 7mn53s.
Film 3 : "Archéologie, Israël, diapositives, photographies, film 4", 8mn58s.
Film 4 : "Perrot. Embouteillage camions, film 5", 2mn40s.

Les films 1 à 3 sont identiques. Ils contiennent des vues de paysages, des scènes de fouilles à Munhata et dans un abri à flanc de colline près de Neve Ur. Le film 2 a été numérisé car il correspond à la version la plus complète et de meilleure qualité.
Le film 4 contient des vues de paysages, d'un troupeau de moutons, d'une colline au bord d’une rivière et d'une route avec embouteillage de camions.

L'auteur des films est inconnu.

Munhata, campagnes non identifiées, vues de terrain et d'objets, de la diapositive 06B37 à la diapositive 06C751

Diapositives 1 à 10. Céramique (06B37-06B46).
Diapositives 11 à 16. Vénus (06B47-06B52).
Diapositives 17 à 27. Non légendées (06F62-06F72).
Diapositives 28 à 29. Plan et coupe. Non légendées (06C750-06C751).
Diapositive 30. Objets lithiques (diapositive non numérotée).

Munhata, campagne 1967, vues de terrain et d'objets, de la diapositive 06A671 à la diapositive 06A705

Diapositives 1 à 27. Vues de terrain (06A671-06A697).
Diapositive 28. L.803-824-823, mur 809 (06A698).
Diapositive 29. L.803-824, mur 809 (06A699).
Diapositive 30. Sous mur 822 (06A700).
Diapositive 31. Vue de terrain (06A701).
Diapositive 32. L. 822 (06A702).
Diapositives 33 à 34. Vues de terrain (06A703-06A704).
Diapositive 35. Objet (06A705).

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