16. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après coupe et séchage, les plantes à sel sont regroupées en meule avant combustion
15. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jardins à sel irrigués et bâtiments d’exploitation du sel (abris à cendres, fourneaux…)
14. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Source fortement minéralisée en amont des jardins à sel baruya
13. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Paysage (et jardins) du pays baruya (Eastern Highlands, Papouasie Nouvelle-Guinée)
12. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jeune guerrier Dani de l’Ouest, non marié, soignant son affichage. Les pains de sel lui serviront à participer aux échanges et aux paiements compensatoires
11. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Production de pains de sel pour 1 homme après 15 jours d’exploitation
10. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Les pains devront sécher pendant plusieurs semaines avant d’être transportés
09. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après avoir été réduites en poudre, les concrétions salées sont humidifiées et agglomérées en pains cylindriques chez les Moni ou quadrangulaires chez les Dani
08. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après combustion, les petites concrétions salées sont triées minutieusement une par une, parmi les charbons de bois et la cendre
07. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Les plantes, gorgées de sel par trempage, sont brûlées sur un bûcher de bois durs produisant peu de charbons de bois