- MAI295
- Sous-dossier
- 2000
Les pellicules portent les numéros 151 et 153. Les photographies ne sont pas légendées. Les tirages portent les numéros des négatifs.
Absence de certains tirages.
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Les pellicules portent les numéros 151 et 153. Les photographies ne sont pas légendées. Les tirages portent les numéros des négatifs.
Absence de certains tirages.
Diapositives 1-8. Figurines humaines, n° 1367 à 1369, 1371 bis, 1375.
Diapositives 9-13. Figurines humaines, période II B, provenant du chantier MR 4, n° 1322.
Diapositives 14-16. Figurines humaines et animales, périodes II – III, provenant du chantier MR 2, n° 1337, 1338.
Diapositive 17. Figurine animale, périodes II – III, provenant du chantier MR 4, n° 1323.
Diapositives 18-21. Figurines animales, n° 1376 à 1379.
Diapositives 1-16. Figurines humaines provenant du secteur MR 1, n° 1751, 1757, 1761 à 1767, 1770 à 1772.
Diapositive 17. Figurine humaine provenant du chantier MR C n° 1775.
Diapositives 18-21. Figurines humaines, période I, provenant du chantier MR 3, n° 1825, 1826.
Diapositives 22-24. Figurines humaines, période II A, provenant du chantier MR 3, n° 1828.
Diapositive 25. Figurines animales provenant du chantier MR 1, n° 1774.
Diapositives 26-64. Figurines animales provenant de Sibri, n° 1699 à 1710, 1773.
Part of Expositions de la Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie
Ce sont pour la plupart les éléments des harnachements des chevaux sacrifiés : guirlandes de pendeloques de cou ou de poitrail, ailes de mors, frontaux. Souvent ces guirlandes convergent de façon symétrique vers un élément central qui peut répéter le motif en détachant une partie en relief dans la troisième dimension. Ces ornements sont dorés à la feuille et étamés, mais l'étain a souvent disparu. Cependant, ce n'est qu'après les avoir dépouillés de l'or qui empâte la finesse du relief que l'on peut apprécier véritablement le travail des artistes.
Dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage
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Auberge Furoën, dans le village de Daïsenji, Tottori.
A. Leroi-Gourhan visite le village de Daïsenji, Tottori, dans un coin d’une région montagnarde de l’ouest du Honshu. Il y tombe souvent de la neige et le couple va s’amuser à faire du ski. Ils prennent alors une chambre dans une auberge du style japonais, équipée par le chauffage traditionnel: le kotatsu.
La maison japonaise est bâtie à la façon estivale, sauf au Hokkaïdo. En hiver, on enlève une partie des tatamis (des carrés 90 cm de côté) et on installe un foyer à charbon de bois. Sur le foyer, un cadre en bois est monté, couvert ensuite par un futon carré ; ce système est finalement stabilisé par une planche qui, en outre, sert de table. On y boit du thé avec ses amis, et les familles prennent même leurs repas ordinaires sur cette planche, tout en mettant leurs jambes pliées sous le futon.
Le kotatsu est installé au centre de la salle ou de la chambre des hôtes, mais dans les salles de séjour, d’usage courant, il se trouve dans un coin de la pièce, souvent creusé profondément, ce qui permet de s’asseoir autour comme sur une chaise.
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L'auteur des photographies est André Pelle.
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L'auteur des photographies est André Pelle.
Les couleurs d'Alexandrie (Egypte). Vélos et carrosseries
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L'auteur des photographies est André Pelle.
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L'auteur des photographies est Joël Suire.
Stucs et stèles, figures et cornes
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Le décor sculpté, en partie victime d’un iconoclasme musulman assez tardif (après le milieu du VIIIè siècle), ne régnait qu’aux deux emplacements essentiels du temple : la façade, et la plate-forme (môtab) à bétyles surmontée de son kiosque à baldaquin. Ailleurs, le décor était stuqué et peint. Une petite partie du matériel des IIè – IVè siècles consiste en menus objets votifs. C’est du tout-venant, productions régionales aux formes un peu approximatives, ou importations pas nécessairement éblouissantes : Dharih n’est pas Pétra, qui n’est pas Alexandrie ! La brève époque chrétienne et la phase islamique précoce offrent surtout du matériel de la vie quotidienne, d’où émergent quelques objets de nature plus spirituelle, comme une peu commune amulette prophylactique « pour la salut de Georges, d’Elie et de Job ».