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Inventaires
27. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. La pagode du temple bouddhiste de Myosenji, à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
32. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un bambou qui va être coupé à la fête, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
03. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. L'élevage des chevaux est resté une tradition chez les Kazakhs de l'Altaï. La terrasse de la Bukhtarma où se trouve la nécropole constitue une belle prairie. Dans le lointain vers l'est s'élèvent les montagnes et les hauts plateaux de l'Altaï, enneigés de août-septembre à juin. Là-bas sur le plateau d'Ukok, à 120 km à vol d'oiseau de Berel' mais en Russie, non loin de la frontière avec la Mongolie et la Chine, les archéologues de Novosibirsk ont fouillé des kourganes au début des années 1990 et notamment celui qui a livré le corps momifié dit de la « chamanesse »
07. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Dégagement d'un avant-train de cheval sacrifié au fond de la fosse funéraire. Le gel a conservé sur ce vieil étalon le pelage et les os, mais d'autres, mieux protégés du passage des pillards, ont gardé leurs organes et leurs muscles. Cet animal avait été abattu avec son mors en bouche ainsi que des ornements de bride en bois que l'on voit briller in situ
08. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Après enlèvement de la toiture de la chambre funéraire, on peut examiner sa construction en planches assemblées par des feuillures, et le sarcophage en place. Ce cercueil, posé sur une plate-forme de petites dalles de pierre, était fermé par un couvercle en bois fixé aux quatre angles par quatre clous ornés de griffons rapaces de bronze
14. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Vétérinaires et zoologues au travail (Claire Puyalto-Moussu de l'AFSSA-Dozulé, Sébastien Lepetz et un collègue kazakhstanais). Il s'agissait de pratiquer une véritable autopsie sur des cadavres de chevaux, mais en « transcodant » la méthode habituelle pour l'adapter à des vestiges déformés
17. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. L'archéozoologue Nurumov mesure un os de cheval
18. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Caroline Relier, restauratrice (UTICA) au travail sur un prélèvement : il s'agit de séparer l'artefact de l'organique et de donner à chacun le traitement qui lui est propre
20. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Danièle Molez dessine un griffon en ronde-bosse, sculpté dans du bois avec des ajouts de cuir et crin
21. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. L'un des griffons qui surmonte les clous des angles du sarcophage. Il s'agit du type de griffon rapace, aux ailes éployées
23. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de griffon rapace tenant dans son bec recourbé une tête de mouflon. Derrière les têtes prennent place un rang de perles et une sorte de crinière rayonnante ébouriffée. Cette plaque présente une version réduite aux seules têtes d'une scène très répandue dans les arts des steppes, dite de la « prédation », où un carnassier (terrestre ou avien) attaque un herbivore. Mais ici, le schéma général de la composition comme le décor formé par les perles et les mèches rayonnantes de la crinière dérivent de l'art perse achéménide d'Iran
26. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Barrette de mors aux mouflons. Cette pièce de harnachement était sur le même cheval que la pendeloque au mouflon. Les barrettes ou ailes de mors étaient fixées dans des anneaux aux extrémités du mors, à l'extérieur de la bouche du cheval. Les brides en cuir de la têtière s'y rattachaient
27. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Face de félin dont la partie inférieure dessine une sorte de barbe étalée en forme de palmette. La palmette, inconnue dans les arts plus anciens de la région, a été adoptée d'après des modèles moyen-orientaux
29. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Barrette de mors à protomés d'élan, l'élan est coiffé de grands bois en palette festonnés à l'arrière et lobés à l'avant ; son museau aux grosses lèvres pend de manière caractéristique et on a gardé le détail de l'appendice charnu qui pend sous la mandibule. L'oreille, allongée vers l'arrière, trace un pont entre la tête et les bois, permettant au sculpteur de donner plus de solidité à son œuvre. Ces protomés d'élans sont obtenus par des procédés de stylisation savants qui dégagent l'essentiel du thème sélectionné. Le contraste entre la tête encore revêtue d'or et celle qui a perdu son enrobage d'étain est grand : la qualité de l'ouvrage n'est perceptible que sur la seconde
33. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Plaque pendentif sculptée, Les détails sont bien visibles car cette vue priviligie la plaque en bas-relief qui montre les deux têtes d'élans divergentes, aux immenses oreilles (comparer aux bois) et le corps aux pattes repliées de l'élan sans sa tête
03. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une cour de ferme à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano
05. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Une rue dans un village de pêcheurs, à Aïkawa, île de Sado, Niïgata
12. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Fenêtre d'une écurie de cheval à Harinoki, auprès du lac de Nojiri, Nagano
16. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le Kotatsu (foyer), vu de côté
19. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme lavant son riz dans une canalisation, village de Nojiri , Nagano
22. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une paysanne avec un tapis en paille du riz (mushiro) à Arashiyama, banlieue de la ville de Kyoto
23. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Paysannes du nord de la ville devant le temple shintoïste de Kitano, ville de Kyoto
30. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Le même char vu de côté : fête de Gïon, ville de Kyoto
31. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Des repiqueuses lors de la fêtes du repiquage du riz, à Mukômachi, ville voisine de Kyoto
02. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. Au matin, les deux villageois Kazakh de Berel' qui ont gardé la fouille pendant la nuit rentrent chez eux. Ils montent de petits chevaux qui s'élancent facilement au galop dans la steppe herbue qui pousse à 1 200 m d'altitude
04. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), vallée de la Bukhtarma. Au printemps, si l'on porte le regard vers l'ouest, au-delà d'un défilé de la Bukhtarma, on peut voir la ligne de crêtes enneigées des monts Tarbagatay qui forment la frontière avec la RPC. Au premier plan, le kourgane en pierre (23 m de diamètre), dégagé sur son pourtour. En son centre, la fouille est couverte d'une protection en charpente de bois et bâche
06. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Une des tranchées qui avaient permis de localiser la fosse funéraire en automne 1998 en observant une partie de la construction de pierre a été réouverte au printemps 1999. La couverture a permis de maintenir le chantier à l'abri
11. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Sébastien Lepetz (CNRS) examinant le rapport entre les crânes des chevaux C et D, alors que les ornements sont encore en place
12. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouille d'un kourgane gelé sur le site de Berel'. Sortie du sarcophage de la fosse protégé par du plastique bulle et des planches. Il a été halé à la main sur des planches huilées
16. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), fouilles des blocs gelés à Almaty. Examen d'un organe fraîchement prélevé sur un corps de cheval. Parasitologie, bactériologie, virologie, génétique sont au programme. 40 kg d'échantillons de chevaux ont été rapportés en France (Institut de Pathologie du cheval de l'AFSSA-Dozulé, INRA, Ecole Nationale Vétérinaire de Maison -Alfort)
25. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Cette plaque pendentif est sculptée en forme de deux têtes d'élans adossées aux oreilles énormes et aux bois en palette festonnées, que surmonte un élan en relief à la tête rapportée et aux bois lobés. Un tel ornement se place nettement dans la lignée de représentations d'élans des cultures archéologiques de la Sibérie du sud et de la Mongolie occidentale de l'âge du bronze
28. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de félin dorée placée au-dessus d'un motif ajouré fait de deux têtes d'élans très stylisées. Ce félin qui semble garder les yeux mi-clos sous son voile d'or, dresse vers l'avant ses deux oreilles dont les pavillons dessinent des crosses. Un tel motif est d'origine plutôt chinoise et rappelle certains bronzes de l'époque contemporaine des Royaumes Combattants (Zhou Orientaux)
01. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un village de pêcheurs, près de la ville d'Aïkawa, l'île de sado, Niîgata
04. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un toit recouvert de pierres d’une maison de pêcheurs, près de la ville d’Aïkawa, île de Sado, Niïgata
07. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval de portage, à Furuma, auprès du lac de Nojiri, Nagano
09. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un boeuf de portage, auprès du temple bouddhiste de Myosenji, ville d'Aïkawa, île de Sado, Niïgata
13. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Des tatamis et un coussin
15. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le cadre de la couverture sur le foyer
21. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme rentrant de la cueillette à Ninokura, village situé à 1 km sud-ouest de Kashiwabara, Nagano
28. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le temple shintoïste de Yasaka (Giön) : au premier plan, le bâtiment de danse sacrée et, derrière, le temple principal. Ville de Kyoto
29. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un char en train de changer de direction : fête de Gïon, ville de Kyoto
33. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un prêtre shintoïste, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
04. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 1
09. Les couleurs d’Alexandrie. Rouge. Je réalise deux missions par an avec le Centre d’Etudes Alexandrines. Cela représente, mis bout à bout, pas loin de deux années de vie à Alexandrie. Je suis né dans l’Est. J’habite le Nord, au bord de la Nonette. C’est une petite rivière qui attire l’humidité et le brouillard. Photo 4
10. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 1
02. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 2
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