Ajouter au presse-papier 19. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Filtrage des cendres dans des courges munies de bouchons en mousse et récupération de la saumure dans de longs bambous

Ajouter au presse-papier 18. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Le spécialiste baruya filtre les cendres salées à l’eau douce pour en tirer une saumure concentrée

Ajouter au presse-papier 17. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Abris des cendres salées, dispositif de filtrage avec son tas de cendres lessivées et jardins à sel irrigués

Ajouter au presse-papier 16. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après coupe et séchage, les plantes à sel sont regroupées en meule avant combustion

Ajouter au presse-papier 15. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jardins à sel irrigués et bâtiments d’exploitation du sel (abris à cendres, fourneaux…)

Ajouter au presse-papier 14. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Source fortement minéralisée en amont des jardins à sel baruya

Ajouter au presse-papier 13. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Paysage (et jardins) du pays baruya (Eastern Highlands, Papouasie Nouvelle-Guinée)

Ajouter au presse-papier 12. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jeune guerrier Dani de l’Ouest, non marié, soignant son affichage. Les pains de sel lui serviront à participer aux échanges et aux paiements compensatoires

Ajouter au presse-papier 11. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Production de pains de sel pour 1 homme après 15 jours d’exploitation

Ajouter au presse-papier 10. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Les pains devront sécher pendant plusieurs semaines avant d’être transportés

Ajouter au presse-papier 09. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après avoir été réduites en poudre, les concrétions salées sont humidifiées et agglomérées en pains cylindriques chez les Moni ou quadrangulaires chez les Dani

Ajouter au presse-papier 08. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Après combustion, les petites concrétions salées sont triées minutieusement une par une, parmi les charbons de bois et la cendre

Ajouter au presse-papier 07. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Les plantes, gorgées de sel par trempage, sont brûlées sur un bûcher de bois durs produisant peu de charbons de bois

Ajouter au presse-papier 06. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jeune pousse spongieuse sauvage utilisée par les Dani de l’Ouest pour l’extraction du sel

Ajouter au presse-papier 05. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Bassin de captage de la source très salée de Wandai chez les Moni

Ajouter au presse-papier 04. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Expédition de jeunes guerriers Dani de l’Ouest vers les sources très salées du pays Moni, des ennemis traditionnels

Ajouter au presse-papier 03. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. La source salée de Sosiga est utilisée localement pour imprégner des végétaux sauvages comestibles

Ajouter au presse-papier 02. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Jardins d’altitude implantés en forêt primaire. Les papous des Hautes Terres cultivent essentiellement la patate douce, le taro, la banane…

Ajouter au presse-papier 01. Du sel et des hommes : approches ethnoarchéologiques. La Nouvelle-Guinée. Village et paysage des Hautes Terres centrales de Papouasie (Nouvelle-Guinée, Indonésie)

Ajouter au presse-papier 43. Des peintures rupestres d'Afrique Australe. Namibie. A gauche : relevé de Reinhardt Maack en 1917. Pour Maack le personnage central est un homme portant un étui pénien. A droite : relevé d'Henri Breuil dans les années 1950. Pour H. Breuil il s'agit d'une femme au centre du panneau. Elle serait d'origine crétoise et les peintres seraient venus du nord du continent, voire de l'île de Crête pour transmettre l'art de la peinture aux populations du sud du continent. H. Breuil est le seul à voir une femme blanche dans cette figure et c'est lui qui donna à la cavité le nom de Grotte de la Dame Blanche. Pour la majorité des chercheurs, il s'agit d'un homme avec peintures corporelles