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Inventaires
Expositions de la Maison René-Ginouvès, Archéologie et Ethnologie Français
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Chaîne d'observations microscopiques : un outil pour la recherche. Images numériques

L'exposition a été réalisée à l'initiative d' Isabelle Sidéra (UMR 7055, Préhistoire et technologie, Nanterre) durant l'été 2007.
Conception, tirages : Martine Esline (MAE, UMS 844).
L'auteur des textes est Isabelle Sidéra.

Texte d'introduction d'I. Sidéra
"L'UMS 844 a acquis une chaîne d'observation optique informatisée en 2001. Le projet, porté par Pierre Rouillard, Sophie Méry, Isabelle Sidéra et Stéphanie Thiébault, était de constituer à la Maison René-Ginouvès archéologie et ethnologie un laboratoire de microscopie moderne, reliant l'optique à des stations informatiques via des appareils numériques de capture d'images. Ceci afin d'automatiser la prise de vue et les mesures ainsi que la reconnaissance des formes et leur quantification.
Trois types d'appareils optiques complémentaires ont été installés, qui forment une chaîne de grossissement continue propre à couvrir le très large champ de recherches représentées dans la Maison. Ils s'appliquent en particulier à la botanique (palynologie, xylologie, carpologie et phytolithologie), la céramologie, la micromorphologie, la pétrographie, la sédimentologie et la tracéologie lithique et osseuse.
Le stéréomicroscope, qui est l'appareil le plus généraliste, permet d'observer les reliefs en gros plans (jusqu'à x111,5) et d'établir une première analyse des éléments de surface. L'analyse approfondie de ces surfaces (jusqu'à x1000) est réalisée au microscope pour discerner et décrire des organismes, des traces et des matières, identifier des fonctions d'objets lithiques ou osseux et analyser la composition de matériaux rocheux. Le microscope optique à lumière réfléchie est utilisé pour les objets opaques (charbons de bois, graines et objets anthropiques) ; le microscope pétrographique à lumière transmise et polarisante, pour des lames transparentes ou des lames minces.

Cette exposition a pour objectif de faire connaître les travaux réalisés au laboratoire de microscopie et d'images. Mais, aujourd'hui, s'il ne s'agit pas d'évacuer complètement le contenu scientifique des objets d'étude, portons sur eux un regard différent, orienté vers leur esthétisme parfois non dépourvu d'un certain mystère. Ainsi, la grande richesse documentaire des témoins inattendus qui apparaissent sur la paroi ou dans le dégraissant d'une céramique ou encore dans le prélèvement d'un sol d'occupation se laisseront-ils apprécier en ce sens, par les formes étonnantes ou les couleurs flamboyantes qu'ils dévoilent. Le grossissement et l'éclairage, selon qu'il est transmis, polarisé ou rasant, font apparaître l'élégance et la beauté des tissus végétaux, des amalgames de roches modifiées par l'homme et les formes cachées d'un objet que l'œil a peut-être deviné mais pas tout à fait envisagé."

Les écritures cunéiformes et leur déchiffrement

Auteurs de l'exposition : Brigitte Lion et Cécile Michel (UMR 7041, Equipe Histoire et archéologie de l'Orient cunéiforme).
Conception et réalisation de l’exposition, maquettage de la brochure : Martine Esline (MAE, UMS 844).

Texte d'introduction de Brigitte Lion et Cécile Michel
"À la redécouverte du Proche-Orient ancien et de ses écrits
En 2007, l'équipe Histoire et Archéologie de l'Orient Cunéiforme (laboratoire ArScAn, UMR 7041 du CNRS) a organisé en collaboration avec l'UMS 844, une exposition pour célébrer les 100 ans du déchiffrement de l'écriture cunéiforme. L'ouvrage, qui reproduit les panneaux élaborés à cette occasion, présente les différentes étapes de la redécouverte du proche-Orient ancien et des déchiffrements des écritures cunéiformes. Celles-ci furent utilisées pendant plus de trois millénaires dans une vaste zone du proche-Orient, englobant non seulement la Mésopotamie, mais aussi les régions voisines, jusqu'à l'Egypte, la Turquie et l'Iran. Les signes en "forme de clous" ont été utilisés pour noter diverses langues (sumérien, akkadien, ugaritique, vieux-perse...) selon trois système différents : idéographique, syllabique et alphabétique.

Le livre ci-dessous reprend cette exposition qui s'est tenue à la Maison René-Ginouvès, lors de la fête de la science en octobre 2007. cette brochure est disponible aux Editions De Boccard, 2008 . La fondation de la Poste a subventionné cette publication.
Travaux de la Maison René-Ginouvès. Collection dirigée par Pierre Rouillard. Travaux n° 4, LES ECRITURES CUNEIFORMES ET LEUR DECHIFFREMENT, sous la direction de : Brigitte LION et Cécile MICHEL, Editions : DE BOCCARD 2008 ".

Fouilles, études et restaurations de marae et ahu à Tahiti (1963-1995)

Jusqu'en 1995, José Garanger travailla régulièrement dans les îles de la Société. Ainsi , il étudia et restaura plusieurs structures lithiques pré-européennes : marae et ahu, tel le Marae Ta'ata à Tahiti qu'illustrent ces quelques photos. Couvrant près de 3500 m 2 , le Marae Ta'ata, restauré en 1972, comprend, trois enceintes principales (A, B, C), une petite enceinte (D) et une plate-forme (E) que l'on peut voir sur le plan.

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