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Inventaires
28. La tombe d'un prince scythe (Kazakhstan), les objets d'art scythe. Tête de félin dorée placée au-dessus d'un motif ajouré fait de deux têtes d'élans très stylisées. Ce félin qui semble garder les yeux mi-clos sous son voile d'or, dresse vers l'avant ses deux oreilles dont les pavillons dessinent des crosses. Un tel motif est d'origine plutôt chinoise et rappelle certains bronzes de l'époque contemporaine des Royaumes Combattants (Zhou Orientaux)
01. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un village de pêcheurs, près de la ville d'Aïkawa, l'île de sado, Niîgata
04. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture rurale. Un toit recouvert de pierres d’une maison de pêcheurs, près de la ville d’Aïkawa, île de Sado, Niïgata
07. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un cheval de portage, à Furuma, auprès du lac de Nojiri, Nagano
09. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, la vie agricole. Un boeuf de portage, auprès du temple bouddhiste de Myosenji, ville d'Aïkawa, île de Sado, Niïgata
13. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Des tatamis et un coussin
15. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, dans un intérieur domestique, un système traditionnel de chauffage. Le cadre de la couverture sur le foyer
21. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, les costumes. Une femme rentrant de la cueillette à Ninokura, village situé à 1 km sud-ouest de Kashiwabara, Nagano
28. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, l'architecture religieuse. Le temple shintoïste de Yasaka (Giön) : au premier plan, le bâtiment de danse sacrée et, derrière, le temple principal. Ville de Kyoto
29. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un char en train de changer de direction : fête de Gïon, ville de Kyoto
33. Le Japon de 1937 à 1939 vu par André Leroi-Gourhan, trois fêtes traditionnelles, Kyoto et ses environs. Un prêtre shintoïste, temple de Kurama, dans le village de Kurama, situé juste au nord de la ville de Kyoto
01. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 1
03. Les couleurs d’Alexandrie. Bleu. Ces images proviennent d’émotions vécues à Alexandrie. Qu’évoquerait pour moi Alexandrie actuellement, si je n’avais pas, il y a plus de dix ans, rencontré Jean-Yves Empereur ? Une ville du nord de l’Egypte ? Un port ! sûrement, puisque la chanson de Claude François nous le raconte souvent. Photo 3
06. Les couleurs d’Alexandrie. Vert. Mon voyage vers l’Orient se serait probablement arrêté à Rome, là où pour avoir eu le privilège de vivre deux ans à la Villa Médicis, j’ai commencé à comprendre que la photographie pouvait être autre chose qu’un simple geste technique. Photo 3
11. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 2
12. Les couleurs d’Alexandrie. Jaune. Ma vie, la semaine, est de rejoindre Nanterre-Université, là ou se trouvent mon laboratoire du C.N.R.S. et un enseignement sur la photographie en archéologie que je donne à des étudiants en maîtrise à Paris-I. Un train m’amène à la Gare du Nord, puis je prends le tout-à-l’égout (c’est comme cela que certains parisiens appellent le métro). Photo 3
18. Les couleurs d'Alexandrie. Souk al Goma. Le vendredi matin la ville est calme. Mon œil y est à nouveau neuf. Je pars à pied de la rue des Ptolémées (shara Batalsa) pour aller m’importe où. Ou bien je prends un taxi vers le « souk al goma » (les puces du vendredi)
19. Les couleurs d'Alexandrie. Souk al Goma. Puis je me perds dans Alex. Peu importe le lieu, un taxi me ramènera toujours « shara Batalsa » à l’appartement du Centre d’Etudes Alexandrines
20. Les couleurs d'Alexandrie. Souk al Goma. Ces matins-là, je retrouve ma lumière, mes couleurs, des gens commencent à sortir, de petits commerces s’ouvrent. L’idéal serait d’être seul ! mais de toute façon je ne me suis pas levé assez tôt pour l’être, et puis l’on n’est jamais seul dans Alexandrie !
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