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Chabba, plaques de verre 610-619

Plaque de verre 610. Porte et le colonel Cl. Grausse.
Plaque de verre 611. Le colonel et ses invités.
Plaque de verre 612. Le tétrapyle.
Plaque de verre 613. Colonel Cl. Grausse et druzes.
Plaque de verre 614. Colonnade du temple.
Plaques de verre 615-616. Théâtre.
Plaque de verre 617. Tajal Amer Pacha.
Plaque de verre 618. Fillette druze.
Plaque de verre 619. Chefs druzes.

"Chaîne automatisée pour le traitement de l'information archéologique"

Ce projet a été lancé par l'URA 12 et le Centre de recherches protohistorique en 1973, dans le cadre d'un contrat avec la DGRST "Action concertée Informatique et sciences humaines". B. Soudsky en assure la direction en collaboration avec J.-P. Demoule, responsable du contrat. L'objectif est la mise au point d'une chaîne de traitement automatisé de l'information archéologique pour les fouilles protohistoriques de la vallée de l'Aisne. Le système informatique (STRADES) défini en collaboration avec le Laboratoire d'informatique en sciences humaines (LISH) du CNRS répond à la double nécessité de gérer la documentation de fouilles et d'effectuer des traitements statistiques. Ce système comprend une base de données, élaborée à l'aide de codes descriptifs, ainsi que des programmes de gestion et de calcul. Sont conservés en particulier des documents relatifs à la préparation des codes descriptifs de la céramique néolithique et des structures archéologiques. Ce projet prévu sur trois ans (1974-1976) a été prolongé jusqu'en 1979.

Lettres, rapports, texte de projet, questionnaires, codes descriptifs, notes de travail.

Chaîne d'observations microscopiques : un outil pour la recherche. Images numériques

L'exposition a été réalisée à l'initiative d' Isabelle Sidéra (UMR 7055, Préhistoire et technologie, Nanterre) durant l'été 2007.
Conception, tirages : Martine Esline (MAE, UMS 844).
L'auteur des textes est Isabelle Sidéra.

Texte d'introduction d'I. Sidéra
"L'UMS 844 a acquis une chaîne d'observation optique informatisée en 2001. Le projet, porté par Pierre Rouillard, Sophie Méry, Isabelle Sidéra et Stéphanie Thiébault, était de constituer à la Maison René-Ginouvès archéologie et ethnologie un laboratoire de microscopie moderne, reliant l'optique à des stations informatiques via des appareils numériques de capture d'images. Ceci afin d'automatiser la prise de vue et les mesures ainsi que la reconnaissance des formes et leur quantification.
Trois types d'appareils optiques complémentaires ont été installés, qui forment une chaîne de grossissement continue propre à couvrir le très large champ de recherches représentées dans la Maison. Ils s'appliquent en particulier à la botanique (palynologie, xylologie, carpologie et phytolithologie), la céramologie, la micromorphologie, la pétrographie, la sédimentologie et la tracéologie lithique et osseuse.
Le stéréomicroscope, qui est l'appareil le plus généraliste, permet d'observer les reliefs en gros plans (jusqu'à x111,5) et d'établir une première analyse des éléments de surface. L'analyse approfondie de ces surfaces (jusqu'à x1000) est réalisée au microscope pour discerner et décrire des organismes, des traces et des matières, identifier des fonctions d'objets lithiques ou osseux et analyser la composition de matériaux rocheux. Le microscope optique à lumière réfléchie est utilisé pour les objets opaques (charbons de bois, graines et objets anthropiques) ; le microscope pétrographique à lumière transmise et polarisante, pour des lames transparentes ou des lames minces.

Cette exposition a pour objectif de faire connaître les travaux réalisés au laboratoire de microscopie et d'images. Mais, aujourd'hui, s'il ne s'agit pas d'évacuer complètement le contenu scientifique des objets d'étude, portons sur eux un regard différent, orienté vers leur esthétisme parfois non dépourvu d'un certain mystère. Ainsi, la grande richesse documentaire des témoins inattendus qui apparaissent sur la paroi ou dans le dégraissant d'une céramique ou encore dans le prélèvement d'un sol d'occupation se laisseront-ils apprécier en ce sens, par les formes étonnantes ou les couleurs flamboyantes qu'ils dévoilent. Le grossissement et l'éclairage, selon qu'il est transmis, polarisé ou rasant, font apparaître l'élégance et la beauté des tissus végétaux, des amalgames de roches modifiées par l'homme et les formes cachées d'un objet que l'œil a peut-être deviné mais pas tout à fait envisagé."

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